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La question de la narration dans la peinture

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MIKE KELLEY. Charles E. Burchfield. Best known for his romantic, often fantastic depictions of nature, watercolorist Charles Ephraim Burchfield (1893-1967) developed a unique style of watercolor painting that reflected distinctly American subjects and his profound respect for nature.

Charles E. Burchfield

The Burchfield Penney Art Center features the largest public collection of works by Burchfield. Within the intertwined galleries of the museum, you will find an ever-changing display of his paintings and sketches, a recreation of his studio, the Charles E. Burchfield Rotunda (specifically designed to highlight his seasonal works), and even references to Burchfield in the building's architecture. According to Burchfield's friend and colleague Edward Hopper, "The work of Charles Burchfield is most decidedly founded, not on art, but on life, and the life that he knows and loves best.

" ROBERT GOBER. Par f.aubrit dans ROBERT GOBER le 26 Janvier 2012 à 11:27 Biographie de L’artiste...

ROBERT GOBER

Robert Gober est une grande pointure de l’art contemporain américain depuis ses débuts dans les années 8O. L’artiste n’a eu de cesse depuis de créer le dialogue autour de ses sculptures pour aborder des thèmes et les tabous de société tels que la place des sexes, le rôle de la religion ou les exclus de la société. Le tout évolue dans un univers à la fois à la fois hyper réaliste et irréel, familier et sinistre Robert Gober né en 1954, grandi Wallinford dans le Conecticut. Il obtient son diplôme à la Tylor school, une école de lettre et d’arts, en 1976. C’est finalement grâce à ses lavabos et ses sculptures de fragments de corps que l’artiste acquiert rapidement une renommée mondiale. On a souvent associé les fameux lavabos de Robert Gober à l’urinoir de Marcel Duchamp et par extension, au mouvement du ready-made.

Et voici un lien intéressant vers une interview (en anglais) de l'artiste : Milan Kunc. Marnie Weber. Joseph Cornell. PIERRE ROY. Joe Coleman. Gérard Schlosser. Shlosser est un peintre français né en 1931.

Gérard Schlosser

Dès ses premières toiles il fait le choix de la figuration. Il devient très vite le peintre du choix parcellaire. Les personnages n’apparaissent que par des éléments corporels : jambe épaule nuque poitrine main. …Schlosser recrée l’intensité de leur présence dans l’espace de leur plus grande intimité où leur corps parle à la fois d’eux-mêmes et d’instants de vie qui peuvent concerner chacun d’entre nous. Les thèmes sont choisis d’après des photos qu’il prend personnellement. Les titres de ses œuvres viennent confirmer cette idée : ils évoquent l’histoire individuelle de ses personnages. Se reflètent également dans ses tableaux des artistes qu’il affectionne tout particulièrement tels que Fernand Léger ou Gilles Aillaud. Schlosser progresse sans cesse dans sa réinvention de l’image il joue encore et toujours avec la réalité des personnages du lieu et du tableau lui-même.

Jacques Monory. ÖYVIND FAHLSTRÖM. James Rosenquist. Chéri Samba. MAX ERNST-vidéos. Max Ernst. Max Ernst (allemand, – 1976) Max Ernst Fille et mère, 1959 Samuelis Baumgarte Galerie Prix sur demande Sans titre Le Coin des Arts Composition avec deux oiseaux, 1958.

Max Ernst

Jean Jacques Rullier. Arnaud Labelle-Rojoux. 6, rue Jacques Callot75006 Paris t +33 1 53 10 85 68f +33 1 53 10 89 72 contact@loevenbruck.comwww.loevenbruck.com Actualité en savoir plus Expositions CalendrierPrésent / À venir / Passé /Extra muros Foires CalendrierPrésent / Passé Artistes Masquer les aperçus Virginie Barré oeuvres / bio / biblio / presse / download Alain Declercq oeuvres / bio / biblio / presse / download.

Arnaud Labelle-Rojoux

Arnaud Labelle-Rojoux. Jim Shaw. Apparu quelque peu en retrait de la scène néo-conceptuelle californienne des années 80, le travail de Jim Shaw participe à l’élaboration des enjeux majeurs de sa génération – critique du statut de l’auteur et négociation de la perte conséquente de l’aura de l’œuvre, renvoi du spectateur à sa condition malaisée d’arbitre idéologique au sein d’un champ sémantique impur.

Jim Shaw

La grande singularité de sa démarche tient dans la mise en place de dispositifs narratifs appelant ouvertement l’observateur à prendre part à l’élaboration de fictions. Ainsi, « My Mirage » (1986-1991), une série de près de 170 pièces faisant état des errances de Billy, un Américain de classe moyenne noyé dans le tourbillon des années 60 et 70. Enfant anxieux de comprendre le monde, Billy se soustrait aux spasmes de l'adolescence pour se perdre dans l'utopie du psychédélisme. Il en va de même pour « Dream », une série commencée en 1992 : J. Cette première rétrospective de J. Jim Shaw. Jim Shaw (American, born ) Jim Shaw Untitled, 1977 Heather James Fine Art Price on Request Untitled, 1977 Untitled, 1977 Untitled, 1977 Untitled, 1977.

Jim Shaw

Ed Ruscha. Glen Baxter. Ray Pettibon. Raymond Pettibon. Raymond Pettibon (American, born ) Raymond Pettibon I taught my Ape to Take My Place, 1987 Jim Kempner Fine Art Price on Request I Do Not Seek Out The Pathetic, 1990 The Real Empire is Effectual, 1989 Vavoom, 1988 Untitled (They say water finds the lowest place.), 2005 Los Angeles Modern Auctions Est. 15,000–20,000 USD Untitled (Playball), 1989 Lora Schlesinger Gallery No Title (The tea Kettle...), 1991 Track 16 Gallery Illegal Procedure, 2000 Peach Editions No Title (Projective saying is...), 2014 David Zwirner No Title (If indeed it...), 2013 No Title (It tastes better...), 2013 Untitled (The Noblest of Sports), 2000 Patricia Low Contemporary Untitled (Till the Sky Turns Blue), from Plots on Loan I, 2000 Leslie Sacks Contemporary Untitled (How Comes it so Great a Silence...), from Plots on Loan I, 2000.

Raymond Pettibon

Thomas Huber.