background preloader

Politiquesd'égalité

Facebook Twitter

Elles auront un amphi de l'Université de Lille à leur nom. La compétition était rude.

Elles auront un amphi de l'Université de Lille à leur nom

Sur les 45 femmes proposées lors d’un vote ouvert dans le cadre de la mission d’égalité femmes-hommes, 15 ont finalement été retenues pour voir leur nom inscrit sur un des nombreux amphithéâtres de l’Université de Lille. Les résultats sont tombés ce lundi 18 mai. L'Université de Lille va donner des noms de femmes à ses amphis, et c'est à vous de voter. Et si vous décidiez du nom des amphithéâtres dans lesquels vous étudierez l’année prochaine ?

L'Université de Lille va donner des noms de femmes à ses amphis, et c'est à vous de voter

C’est ce que propose l’Université de Lille à travers un vote ouvert à tout le monde, qui se déroule dans le cadre de sa mission d’égalité femmes-hommes. 15 amphithéâtres seront nommés avec les noms des femmes les plus plébiscitées par le vote. Attention, il ne reste plus que quelques jours pour faire son choix ! 2%. Safe Campus, 1er outil contre les violences sexistes dans les universités et grandes écoles.

Un MOOC sur les violences sexuelles et sexistes au travail. Le Mans. L’université poursuit son action en faveur de l’égalité femme/homme. Angélina Etiemble succède à Erika Flahault en tant que chargée de mission égalité femme/homme à Le Mans université.

Le Mans. L’université poursuit son action en faveur de l’égalité femme/homme

La mission égalité femme/homme à Le Mans université sera désormais l’affaire d’Angélina Etiemble. Sociologue de formation, Angélina Etiemble arrive en 2010 à l’Université du Mans. Elle est depuis 2013 enseignante-chercheure au département de STAPS et au sein du laboratoire VIPS2 de la faculté des sciences et techniques. Ses thématiques de recherche sont liées aux minorités, notamment ethniques, mais aussi de sexe et de genre. « Je me suis inscrite très rapidement dans les réflexions de la mission égalité femme/homme, via le groupe de travail autour des violences sexistes et sexuelles mais aussi lors de séminaires et journées d’études portant sur le sexisme dit « ordinaire » et les stéréotypes de genre, indique Angélina Etiemble.

European Platform of Women Scientists EPWS. EPWS: Could you explain the organisation of your association?

European Platform of Women Scientists EPWS

The members meet every four months, for two days, and share practices with respect to various subjects. The association also has thematic working groups (gender-based violence, discriminations, women’s careers, maternity leaves, etc.) and works with many academic and non-academic partners. EPWS: What are its recent achievements? In 2017 and 2018 the CPED mainly addressed two issues: gender-based violence and discriminations against transgender students. Université de Nantes : une campagne de lutte contre le harcèlement - France 3 Pays de la Loire. Le 5 mars dernier, l’Université de Nantes a mis en place une cellule interne d'écoute des victimes et des témoins de harcèlement dans l’établissement.

Université de Nantes : une campagne de lutte contre le harcèlement - France 3 Pays de la Loire

Les membres de la cellule, volontaires et représentatifs de la communauté universitaire, ont été formés pour accueillir les personnels et étudiant·e·s qui souhaiteraient s’exprimer sur une situation de harcèlement, et ceci en toute confidentialité. Pour accompagner la création de cette cellule, l’Université de Nantes lance une campagne de sensibilisation à destination des personnels et étudiant·e·s : #UNunie contre tous les harcèlements. "La question du harcèlement est un véritable enjeu de société", déclare Olivier Laboux, président de l’Université de Nantes. Il nous paraissait inimaginable que l’université ne s’en empare pas. En lançant une cellule d’écoute et une campagne de sensibilisation, nous souhaitons libérer la parole sur ce sujet qui ne doit plus être un tabou.

"A l'université Paris Nanterre, nous adoptons l'écriture inclusive" C’est l’une des plus jeunes à occuper ce poste dans le monde universitaire.

"A l'université Paris Nanterre, nous adoptons l'écriture inclusive"

La feuille de route de Maïlys Derenemesnil est chargée : pérenniser la cellule de prévention, d’écoute et d’accompagnement contre les violences sexistes et sexuelles, mettre en place une politique de non-discrimination au sein de l’établissement et déployer un plan de sensibilisation et de communication. Elle nous en dit plus sur le sexisme à l’université et ses ambitions pour Paris Nanterre.

Avant votre nomination, quel a été votre parcours ? À la suite de mes classes préparatoires littéraires, j'ai poursuivi en recherche, notamment à l'EHESS et à l'étranger, afin de me pencher sur les questions liées à la sexualité, son langage et à l'obscène. Enseignante de lettres modernes, j'ai tâché d'adapter ma pédagogie aux enjeux d'égalité femmes/hommes.

Quelles formes prend le sexisme dans les universités ? Les établissements du réseau CPED mobilisés autour du 25 novembre, journée internationale pour l’élimination des violences envers les femmes - CPED. Comme chaque année, la période entourant le 25 novembre a été l’occasion pour de nombreux établissements d’enseignement supérieur et de recherche (ESR) de mobiliser l’ensemble de sa communauté autour de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

Les établissements du réseau CPED mobilisés autour du 25 novembre, journée internationale pour l’élimination des violences envers les femmes - CPED

Vannes. L’UBS primée pour son action en faveur de l’égalité hommes-femmes - Vannes. L’université Bretagne-Sud et sa chargée de mission à l’égalité hommes-femme Nathalie Bourgougnon ont reçu un prix « Orange day », décerné par le comité ONU femmes France, le 23 novembre, deux jours avant la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

Vannes. L’UBS primée pour son action en faveur de l’égalité hommes-femmes - Vannes

Enseignante-chercheuse en biologie végétale, Nathalie Bourgougnon occupe ce poste de chargée de mission depuis 2017. Violences faites aux femmes : les universités alertent et agissent. Conférences, tables rondes, pièces de théâtre, projections de films, concours d’œuvres artistiques, stands d’information et d’animation : les idées foisonnent dans les universités à l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes du 25 novembre.

Violences faites aux femmes : les universités alertent et agissent

Une journée pour rappeler l’importance des violences faites aux femmes et aux filles partout dans le monde, celles-ci constituant une violation manifeste des droits humains les plus fondamentaux. Le 25 novembre vise à mettre en place une mobilisation collective contre toutes les violences faites aux femmes, à définir le phénomène et à donner la parole aux professionnels qui accueillent, écoutent et accompagnent les victimes.

De nombreuses actions sont mises en place dans les universités. A titre d’exemple, on peut citer : Prévention des violences sexistes et sexuelles à l'université : les associations étudiantes obligées de se former. Une formation obligatoire pour les associations étudiantes, sur les violences sexistes et sexuelles, c'est ce qu'a décidé Sandrine Rousseau, vice-présidente de l'université de Lille, en charge de la vie étudiante, de la vie de campus, et de l'égalité femmes-hommes.

Prévention des violences sexistes et sexuelles à l'université : les associations étudiantes obligées de se former

Ancienne vice-présidente EELV du Conseil régional, elle s'engage depuis pour faire bouger sur le sujet et a notamment écrit en 2017 le livre "Parler". Depuis mars dernier, une fois par mois et pendant deux heures, les représentants d'associations viennent en savoir plus. Sandrine Rousseau insiste sur deux aspects : la loi d'abord mais aussi le comportement à adopter. 85 associations ont déjà suivi cet atelier, sur les 150 que compte l'université. Si une association refuse d'y participer, l'université lui retirera son agrément. Toutes les associations de la fac vont être formées à la prévention des violences sexuelles et sexistes. C’est l’une des nouveautés de cette rentrée, menée par Sandrine Rousseau, vice-présidente de l’université : les membres des bureaux des associations du campus lillois vont suivre une formation à la prévention des violences sexuelles et sexistes.

Chaque asso’ devra également engager l’un de ses membres comme “référent” lors des soirées et autres événements organisés suite à cette formation. Son rôle : faire de la prévention mais également intervenir, témoigner ou même appeler les autorités s’il est témoin de violences sexuelles commises en soirée ou sur le campus. La formation en amont doit lui permettre de connaître et, surtout reconnaître, ce genre de situation. Déjà mise en pratique dans pas mal de festivals en Suède, cette formation de deux heures “est obligatoire pour chacune des associations de l’université, précise Sandrine Rousseau qui se charge de la donner en personne. L'Université Côte d'Azur dit stop aux violences sexistes et sexuelles. L’Université Côte d’Azur dit « stop aux violences sexistes et sexuelles dans l’enseignement supérieur ». L’ouverture d’une boîte mail permet le recueil de témoignage confidentiel.

De l’autre côté, un personnel écoute les étudiants. Dans les amphithéâtres, à la bibliothèque, au Crous, dans les instituts de recherche et dans les bureaux. Les violences sexuelles peuvent intervenir partout à la fac. IEP: La Charte d’Egalité de Genres finale ! Voici (enfin) la charte d’Egalité de Genres signée par le Conseil d’Administration du 14 décembre. Préambule 2. Harcèlement sexuel : des mesures pour l’université. Une campagne de prévention et de sensibilisation va être lancée sur les campus en mars 2018. Frédérique Vidal, une universitaire nommée ministre de l’enseignement supérieur. Pour la première fois, une présidente d’université prend la tête d’un grand ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Camille Stromboni C’est une première : une présidente d’université, Frédérique Vidal, a été nommée à la tête du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.

Professeure en sciences de la vie, elle fait partie des personnalités issues de la société civile qui entrent dans ce gouvernement. Bretagne. Les universités s’engagent contre le harcèlement sexuel. L’union fait la force. Les présidents des universités bretonnes se sont engagés, à Rennes, ce lundi 20 novembre, par une charte, dans la lutte contre les violences sexuelles dans leurs établissements. « Nous n’avons pas attendu l’actualité pour nous mobiliser contre le harcèlement sexuel », assure Pascal Mognol, président de l’Ecole Nationale Supérieure de Rennes. 14 universités et écoles supérieures bretonnes s’engagent Rassemblés ce lundi sur le campus de Kerlann, près de Rennes, les responsables de 14 universités et écoles supérieures bretonnes se sont engagés, par la signature d’une charte, contre le harcèlement et les violences sexuelles dans leurs établissements. « Notre objectif est simple, changer les comportements individuels et les normes sociales », prévient Olivier David, président de l’université Rennes 2.

"Signaler les faits au procureur" et "libérer la parole" Comment changer les comportements ? "Le harcèlement est banalisé et tellement fréquent" Guérir. Eloge de la diversité. Louis Georges-Tin devient chargé de mission "égalité diversité" - Orléans (45000) - La République du Centre. Apron for my 3A – The Sundial Press. By Diana Grote This letter is in response to an email I received yesterday from the SciencesPo Careers service, to help with my search for an internship for my 3A.

The email contained a section publicizing a series of events in conjunction with the administration’s gender equality pôle. This is a letter to thank the gender equality pôle for what they have offered. Dear SciencesPo Pôle Hommes-Femmes, I wanted to thank you, from the bottom of my heart, for the email that I received in my inbox earlier today. Un livre féministe provoque un désir de censure au ministère de l’égalité femmes-hommes. Conférence de Marlène Schiappa : « Pourquoi ne démissionnez-vous pas ? » - LA MANUFACTURE. Danielle Bousquet : «Les droits des femmes ? La grande cause mais le plus petit budget…» Adolescente, elle sillonnait les routes de la campagne bretonne avec son père.

Violences faites aux femmes : des mots forts sans moyens nouveaux. Les principales annonces de Macron pour l’égalité entre les femmes et les hommes. Le chef de l’Etat a fait observer une minute de silence en hommage aux 123 femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint en 2016, avant de détailler ses « trois priorités » pour les cinq prochaines années. Edouard Philippe décide de bannir l’écriture inclusive des textes officiels. L’écriture inclusive, qui fait polémique en France, remet en cause la règle d’accord selon laquelle, au pluriel, « le masculin l’emporte sur le féminin ». Il n’y aura pas d’écriture inclusive dans les textes officiels. Le premier ministre, Edouard Philippe, a donné consigne aux membres du gouvernement de bannir des textes officiels cette forme d’écriture qui remet en cause la règle d’accord de la langue française selon laquelle, au pluriel, « le masculin l’emporte sur le féminin ». « Je vous invite, en particulier pour les textes destinés à être publiés au Journal officiel de la République française, à ne pas faire usage de l’écriture dite inclusive », écrit le chef du gouvernement, dans cette circulaire à paraître mercredi 22 novembre dans ce même JO.

Lire aussi : Egalité femmes-hommes : l’écriture dite « inclusive », sujet qui divise. Blanquer ne veut pas d’écriture inclusive à l’école. Une loi sur les violences sexuelles et le harcèlement de rue annoncée pour 2018. La secrétaire d’Etat Marlène Schiappa a dévoilé les contours d’un projet de loi qui devrait voir le jour au premier semestre 2018 après une consultation citoyenne. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gaëlle Dupont Alors que la mise en cause du producteur américain Harvey Weinstein pour harcèlement sexuel continue à faire réagir des victimes célèbres ou anonymes de tels agissements, l’annonce du gouvernement ne pouvait mieux tomber. Untitled. Egalité femmes-hommes : un bilan mitigé du quinquennat Hollande.

Des avancées ont eu lieu sous la gauche, mais elles restent insuffisantes, estime l’association Laboratoire de l’égalité, dans un état des lieux publié mardi 10 janvier. LE MONDE | 10.01.2017 à 06h43 • Mis à jour le 12.01.2017 à 19h38 | Par Gaëlle Dupont Malgré le volontarisme affiché par la gauche depuis son arrivée au pouvoir, un très long chemin reste à parcourir pour atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes. Réjane Sénac : « La cerise de la performance empoisonne le gâteau de l’égalité.