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Nous sommes ici pour nous éveiller

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Le 4eme singe - Éveillons-nous ! Nous sommes ici pour nous éveiller. Elle décide d'enseigner du bonheur a ses élèves moyenne version. Ce qu'on appelle "Socialisme" ? Du sens aux mots. Territoires en Transition France. « Voyageurs en transition. Indigné ! et après ? Vivre l'utopie. ▶ Ne vivons plus comme des esclaves ! Le chômage ou l'autogestion : quand des salariés décident de licencier leur patron. « En 2008, le patron a décidé de fermer notre entreprise de fenêtre à Goose Island (Illinois, États-Unis) et a mis à la porte tout le monde.

Le chômage ou l'autogestion : quand des salariés décident de licencier leur patron

En 2012, nous avons décidé d’acheter l’entreprise et de licencier le patron. Nous détenons ensemble l’usine et la dirigeons démocratiquement. Voila notre histoire… », peut-on lire sur le site internet de New Era Windows, une entreprise pas comme les autres. Récit d’une reprise en main par les salariés de leur outil de travail. Fin 2008, la crise financière et bancaire fait de nombreuses victimes. Le 5 décembre 2008, le syndicat de l’entreprise, la section 1110 de l’United Electrical Workers décide très vite une occupation du site de production.

Nouvelle fermeture, mêmes méthodes De son côté, le procureur général Lisa Madigan lance une enquête, non aboutie à ce jour, sur les violations du droit du travail dans l’entreprise. . « Si personne n’achète la société, nous pouvons créer une coopérative » « Nous avons décidé de licencier le patron » Vivre en autonomie en France : une réalité. Si vous pensez que tout plaquer pour une vie d’aventures n’est possible qu’à l’étranger, détrompez-vous.

Vivre en autonomie en France : une réalité

Pas besoin d’habiter à l’autre bout du monde pour vivre sa liberté. Une halte nécessaire : Trémargat, la commune solidaire. À moins d’y habiter ou d’y connaitre quelqu’un, on ne va pas à Trémargat.

Une halte nécessaire : Trémargat, la commune solidaire

Ou alors par hasard, égaré entre Saint Nicodème et Lanrivain, tout près des gorges de Toul Goulig. Trémargat est comme une île sans l'océan, une île perdue dans les terres rocaileuses de la Bretagne centrale. L'île, à chaque élection, émerge dans l'actualité régionale. Depuis des lustres, les Trémargatois penchent en effet très nettement à gauche, versant écologie. À la dernière élection présidentielle, c'est la verte Eva Joly qui est arrivée en tête au premier tour devant Jean-Luc Mélenchon puis François Hollande.

Vivent ici, parmi les landes, le bocage et les chaos rocheux, les héritiers des valeurs du parti communiste. Aurélie travaille au Tremargad Kafe : "Il y a une envie commune de travailler tous ensemble. " Réagissons. Les initiatives. Onpassealacte: ses vidéos. Grèce : une vie en autarcie loin de la crise. Grèce : l'autogestion en pratique, après un hôpital, un journal. Les travailleurs d’Eleftherotypia sont de retour avec leur propre journal !

Grèce : l'autogestion en pratique, après un hôpital, un journal

Ça y est ! C’est fait! Les travailleurs d’Eleftherotypia, un des plus grands et plus prestigieux quotidiens grecs, vont de l’avant dans la grande entreprise de l’édition de leur propre journal, “Les Travailleurs à Eleftherotypia” ! Depuis le mercredi 15 février, les kiosques dans tout le pays affichent à côté des journaux habituels un journal de plus, écrit par ses propres salariés. Un journal qui ne cherche pas seulement à mettre en évidence la lutte des travailleurs d’Eleftherotypia, mais qui veut aussi être un journal d’information complète, spécialement en cette période si critique pour la Grèce. Apparition de monnaies alternatives en Grèce boostées par le Net et l'Open Source. Les systèmes d’échange local (ou SEL) existent depuis bien longtemps.

Apparition de monnaies alternatives en Grèce boostées par le Net et l'Open Source

Dans la situation actuelle de la crise européenne, ils pourraient bien retrouver une seconde jeunesse grâce au réseau et à son esprit libre. La montée des monnaies open source en Grèce Open-source currencies on the rise in Greece. YURTAO, la voie de la yourte. Plantes, poubelles et frugalité : « L’Homme qui renonça à l’argent » C’est bien connu, l’argent ça craint.

Plantes, poubelles et frugalité : « L’Homme qui renonça à l’argent »

Surtout quand on n’en a pas. En bon précaire que je suis, c’est avec une curiosité certaine que j’ai accueilli « L’Homme qui renonça à l’argent » de Mark Sundeen. Edité par Globe (qui, bien que nouveau venu, propose nombre de choses intéressantes dans le domaine de la non-fiction), ce livre conte l’histoire de Daniel Suelo. A la fin de l’année 2000, cet homme prend la décision radicale de ne plus intégrer l’argent dans son mode de vie. Plus précisément, il décide de refuser d’avoir, de près ou de loin, un quelconque rapport avec cette notion.

Laissez moi vivre à poil sur mon île ! A 76 ans, Masafumi Nagasaki n'a plus peur de rien: la violence des typhons et les morsures d'insectes ne sont rien en comparaison avec la vie en société.

Laissez moi vivre à poil sur mon île !

Du coup, ce Japonais préfère vivre seul sur sa petite île, aussi inhospitalière soit elle. Depuis vingt ans, Masafumi ne veut plus entendre parler de la race humaine, raison pour laquelle il s'est installé sur la petite île japonaise de Sotobanari, située à seulement un kilomètre du rivage, mais où les courants sont si dangereux que les pêcheurs locaux n'osent pas s'y aventurer. Sur l'île, la vie n'a rien de tendre.

Aucune source d'eau douce, des insectes hargneux et de temps en temps des typhons qui viennent malmener le vieil homme et le peu qu'il possède. Mais rien n'y fait, Masafumi préfère encore subir toutes ces contrariétés que de revenir parmi les siens. Transition.