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Nucléaire dernière

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Explosions atomiques. Devenez producteurs! "Nucléaire, la voie du génocide" - par Médiapart Le Club. "En 2006, l’Australie révèle à la France son intention de créer sur les terres aborigènes la plus grande « poubelle nucléaire » du monde.

Devenez producteurs! "Nucléaire, la voie du génocide" - par Médiapart Le Club

À raison d’un million de dollars la tonne de déchets hautement radioactifs, cette déchetterie rapporterait dans l’absolu à l’Australie la somme de neuf milliards de dollars par an. Ainsi depuis quelques années, pour faire place nette à l’enfouissement de nos futurs déchets, l’Australie, prise dans l’engrenage du monstre nucléaire, replonge dans le génocide de son peuple autochtone… Vanessa Escalante, réalisatrice en quête du monde et François Mativet, auteur éclairé, Nucléaire, la voie du génocide, nous plongent dans l’immensité australienne, au cœur des territoires et de son peuple : les aborigènes. Le nucléaire met ainsi en œuvre le premier génocide du XXI siècle. À l’écoute de Vanessa et sensible aux arguments de François, nous avons décidé de produire ce film afin que cette histoire soit connue du plus grand nombre. Réunis à ce jour : 860 euros. OBSERVATOIRE du NUCLEAIRE.

Fukushima, l'en pire Japonais. Monopolisés par les élections, les médias ont fait l’impasse sur le nucléaire, et surtout, sur les rebondissements de la situation japonaise qui empire de jour en jour.

Fukushima, l'en pire Japonais

C’est le 22 avril que la situation s’est dégradée encore plus au Japon, puisqu’un incendie et une explosion rendent la situation à Fukushima toujours plus intenable. Suite à l’incendie qui s’était déclaré vers le 18 avril, dans une installation industrielle nucléaire japonaise, site dans lequel est stocké de l’uranium appauvri, une explosion s’est produite le 22 avril à 8h00, provocant la mort d’un ouvrier de l’usine, en en blessant 11 autres. Ce n’est qu’à 17h15 que cet incendie a été finalement maitrisé. Le black out médiatique a donc bien fonctionné, et à cet instant, on ne sait pas si une pollution radioactive s’est dégagée du site. lien Récemment, une nouvelle fuite d’eau hautement radioactive s’était échappée d’une cuve de la centrale dévastée, direction l’Océan Pacifique. lien Le rapport complet est sur ce lien.

Fukushima, un futur sans avenir. Alors que les médias continuent de faire l’impasse sur la situation au Japon, la situation continue inexorablement à se dégrader, et les jours qui viennent pourraient se montrer décisifs.

Fukushima, un futur sans avenir

C’est le 25 mai 2012 que des journalistes japonais de la chaine « TV Asahi » lors de l’émission « Hodo Station » ont révélé l’importance de la dégradation de la situation. C’est toujours la piscine du réacteur N°4 qui pose le plus de problèmes. Installée à 20 mètres au dessus du sol, contenant 1535 assemblages neufs, ou usagés, pour un poids total de 264 tonnes, elle a été dégradée par les explosions et les incendies qui ont eu lieu le 15 mars 2011 et elle contient beaucoup plus de combustibles qu’il ne le faudrait. Or la surcharge d’assemblage a réduit la proximité entre les casiers d’assemblages, ouvrant la possibilité d'une criticité en cas de surchauffe. « Même si les murs existent, il n’y a pas de manière simple d’en connaître la stabilité.

La situation en ce début juin ne s’arrange pas : Danger mondial : les combustibles usés de Fukushima. [Mis à jour le vendredi 15 juin 2012] - Selon des géologues japonais, un nouveau séisme de forte magnitude pourrait se produire à Fukushima.

Danger mondial : les combustibles usés de Fukushima

Des experts et des diplomates pointent le danger d’une nouvelle catastrophe, dont la gravité surpasserait largement Tchernobyl. Dans le bâtiment du réacteur n°4 de la centrale de Fukushima Daiichi, la piscine de stockage des combustibles usés risque de s’effondrer si un nouveau séisme important se produisait à proximité du site – ce que craignent des géologues. Sa structure a subi d’énormes contraintes mécaniques et thermiques lors des explosions et incendies qui ont eu lieu en mars 2011.

Perchée à 30 mètres au-dessus du sol, elle contient 1535 assemblages combustibles, soit environ 264 tonnes de matériaux extrêmement radioactifs [1]. Son effondrement pourrait provoquer une catastrophe d’une ampleur sans précédent, d’un ordre de gravité encore bien supérieur à celui de Tchernobyl. #Nuclear #Nucleaire news. « Récits de Fukushima » : huit petits films, huit témoignages poignants. Une websérie poétique et émouvante nous mène à la rencontre de ces Japonais vivant dans l’enfer de la radioactivité, ce poison invisible.

« Récits de Fukushima » : huit petits films, huit témoignages poignants

Angoissés, ils commencent tout juste à se révolter contre un gouvernement qui continue de leur jurer que tout va bien. Un an après l’accident à la centrale de Fukushima, la catastrophe « n’est pas finie, elle vient de commencer ». C’est le constat dressé par Alain de Halleux, réalisateur de la série de huit petits films qu’Arte nous autorise exceptionnellement à publier. A la fin du premier épisode, les larmes d’Eiko nous font comprendre ce qui est dit explicitement dans le dernier des huit films : « Nous avons perdu le Japon que nous connaissons. » Rien ne sera plus jamais comme avant pour ceux qui refusent de croire le discours trop rassurant du gouvernement.

Le blog de Fukushima.