background preloader

Philosophie grecque

Facebook Twitter

Grèce. République hellénique (el) Ελληνική Δημοκρατία (el) Ellinikí Dimokratía La Grèce, en forme longue la République hellénique, (en grec : Ελλάδα / Elláda ou officiellement Ελληνική Δημοκρατία / Ellinikí Dimokratía, en grec ancien et en katharévousa Ἑλλάς / Hellás) est un pays d’Europe du Sud et membre de l'Union européenne (UE), situé dans l'extrême Sud des Balkans.

Sa capitale et sa plus grande ville est Athènes. La Grèce, d'une superficie de 131 957 km2 pour un peu moins de onze millions d'habitants, partage des frontières terrestres avec l’Albanie, la Macédoine du Nord, la Bulgarie et la Turquie et partage des frontières maritimes avec l'Albanie, l'Italie, la Libye, l'Égypte et la Turquie (cette dernière est la source du contentieux gréco-turc en mer Égée). La mer Ionienne à l'ouest et la mer Égée à l'est, parties de la mer Méditerranée, encadrent le pays dont le cinquième du territoire est constitué de plus de 9 000 îles et îlots dont près de 200 sont habités. La Grèce vue par satellite.

Parménide

Orphisme (religion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Orphisme. L’orphisme était un courant religieux de la Grèce antique connu par un ensemble de textes et d'hymnes, ainsi que par quelques attestations archéologiques : outre Les Lamelles d'or[1], on en connaît certaines représentations ou descriptions au travers de gravures, tablettes ou autres vestiges retrouvées dans des tombes. Le mythe d'Orphée, d'origine obscure et très ancienne, dont l'épisode le plus célèbre est la descente aux Enfers du héros à la recherche de son épouse Eurydice, donna naissance à une théologie initiatique. La doctrine orphique est une doctrine de salut marquée par une souillure originelle ; l'âme est condamnée à un cycle de réincarnations dont seule l'initiation pourra la faire sortir, pour la conduire vers une survie bienheureuse où l'humain rejoint le divin.

C'est par la naissance qu'on est inséré dans les cadres de la religion civique grecque. On devient « orphique » par choix. Sibylle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une sibylle est une « prophétesse », une femme qui fait œuvre de divination. Différences entre sibylle et pythie[modifier | modifier le code] La Pythie[1] a un statut institutionnel, elle est associée au sanctuaire de Delphes. La sibylle donne une divination occasionnelle, indépendante, nomade. La Pythie n'est que le porte-parole du dieu, elle répond aux questions qui lui sont adressées, alors que la sibylle parle à la première personne, revendique l'originalité de sa prophétie et le caractère indépendant de ses réponses.

On représente la Pythie jeune (c'est, à l'origine, une jeune fille vierge), la sibylle mûre sinon vieille. La Pythie apparaît en Grèce après la première sibylle (Hérophile), les Sibylles, à l'origine servantes de la grande déesse Cybèle (Agdistis), sont venues de Pessinonte, en Asie Mineure au VIIIe siècle av. La sibylle dans l’Antiquité[modifier | modifier le code] Les douze sibylles[modifier | modifier le code] Pythagore. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pythagore (Πυθαγόρας) Philosophe présocratique Antiquité Buste de Pythagore - Musées du Capitole - Rome Pythagore (en grec ancien Πυθαγόρας / Pythagóras) est un réformateur religieux et philosophe présocratique qui serait né aux environs de 580 av. J. -C. à Samos, une île de la mer Égée au sud-est de la ville d'Athènes ; on établit sa mort vers 495 av.

Le néopythagorisme est néanmoins empreint d'une mystique des nombres, déjà présente dans la pensée de Pythagore. D'après un écho marquant d’Héraclide du Pont, Pythagore serait le premier penseur grec à s’être qualifié lui-même de « philosophe[4] » . « Par la même raison, sans doute, tous ceux qui se sont attachés depuis aux sciences contemplatives, ont été tenus pour Sages, et ont été nommés tels, jusques au temps de Pythagore, qui mit le premier en vogue le nom de philosophes.

. — Cicéron, Tusculanes, V, 3, § 8 Biographie de Pythagore Naissance — Jamblique, Vie de Pythagore, § 7[7]. Instruction. Grèce antique. Cette civilisation de culture grecque prend forme durant les « siècles obscurs » (v. 1200-800 av. J. -C.), à partir des décombres de la civilisation mycénienne, et se développe en particulier durant l'époque archaïque (v. 800-480 av. J. -C.), et s'épanouit pleinement durant l'époque classique (480-323 av. À compter de l'époque archaïque et plus fortement durant l'époque classique, la Grèce voit le développement d'une civilisation novatrice par bien des aspects, qui se singularise par rapport aux plus anciennes civilisations antiques des pays orientaux, et entame une phase d'expansion maritime (la colonisation grecque).

Les revers de ce dynamisme sont l'existence de nombreuses destructions créées par les guerres et des inégalités traversant les sociétés civiques, excluant les femmes des responsabilités politiques et reposant souvent sur l'existence d'une importante population ayant un statut d'esclave ou de dépendant. Contours et définitions[modifier | modifier le code] Au VIIIe siècle av. Diogène Laërce. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Diogène. Diogène Laërce (en grec Διογένης Λαέρτιος / Diogenês Laertios) (ou Diogenes Laertius ou Diogène de Laërte[1]) est un poète, un doxographe et un biographe grec né à Laërtès, en Cilicie, au début du IIIe siècle après J.

-C. On ne sait que peu de choses sur Diogène Laërce. Le fait est d'autant plus ironique qu'il représente souvent l'unique source que nous ayons sur la vie et les doctrines de nombreux philosophes. C'est, par exemple, uniquement par lui que nous connaissons les lettres d'Épicure et ses maximes capitales, ainsi que les testaments de certains philosophes. Biographie[modifier | modifier le code] Doctrine[modifier | modifier le code] Diogène Laërce est en fait un doxographe : il a retranscrit les doctrines et les vies des philosophes considérés comme les plus importants à son époque. Œuvre[modifier | modifier le code] Publications anciennes[modifier | modifier le code]