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Culture, politique, divers

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Le blob, l’extra-média. L’inversion accusatoire : un artifice de propagande aux mains de l’oligarchie, qu’il faut dénoncer. Michel Geoffroy, essayiste ♦ A côté de la novlangue, l’inversion accusatoire tient une place de choix dans les outils de propagande de l’oligarchie.

L’inversion accusatoire : un artifice de propagande aux mains de l’oligarchie, qu’il faut dénoncer

Décryptage. Une défense et une arme L’inversion accusatoire est un processus de défense bien connu des prétoires consistant à imputer la cause finale d’un délit non pas au coupable mais… à sa victime. Ainsi, par exemple, si un touriste a été victime d’un pickpocket, c’est parce qu’il a été imprudent en faisant étalage de son argent : en quelque sorte il a incité le voleur à passer à l’acte. Ne riez pas ! Voxe.org. Joyeuses fêtes : 37 exercices d'art-thérapie pour se détendre pendant les fêtes de fin d'année. BIEN-ETRE - Les vacances de Noël arrivent enfin et, avec elles, la ribambelle de réunions familiales et de repas, qui génèrent pas mal de stress chez bon nombre d’entre nous.

Joyeuses fêtes : 37 exercices d'art-thérapie pour se détendre pendant les fêtes de fin d'année

Vous redoutez les conversations sans fin avec votre grand-tante Judith? Les résolutions du Nouvel An vous angoissent? Laissez-vous tenter par nos modestes suggestions et servez-vous de votre créativité pour vous relaxer intérieurement. L’art-thérapie prône l’idée que l’expression artistique peut nous faire du bien, nous aider avec davantage confiance en nous ou simplement nous détendre. A l’inverse de la plupart des thérapies, qui reposent sur le langage comme mode principal de communication, l’art fait appel à d’autres ressources, bien plus difficiles à définir. Nous n’avons pas la prétention de nous considérer comme thérapeutes, mais nous avons sélectionné ci-dessous quelques conseils de base inspirés des techniques habituelles de l’art-thérapie. Alors, tenez-vous prêts! 1. 2. 3. 4. 5. 6. Le Royaume - Emmanuel Carrère (extrait) Changer de vie, le syndrome de la chambre d'hôte. Leurs parents partaient élever des chèvres dans le Larzac.

Changer de vie, le syndrome de la chambre d'hôte

Les cadres d’aujourd’hui quittent leur entreprise pour ouvrir des maisons d’hôte. Crise de l’âge adulte ou choix rationnel ? Pour dissuader ses lycéens de faire les Beaux-Arts, l’École du cirque ou un deug d’arts du spectacle, un proviseur avait coutume de leur raconter cette histoire : « J’avais deux copains. Ils adoraient tous les deux la montagne.

Chaque week-end, ils partaient ensemble en randonnée dans les Alpes. Ce cas n’est pas isolé. La fin des parcours linéaires Plus qu’à un changement de métier, c’est à un changement de vie auquel aspirent ces individus. Pour la sociologue Catherine Négroni, auteur de Reconversions professionnelles volontaires [1], ce mouvement est à la fois individuel et social. Vers une société de «jobs à la con» ? Avez vous un «job à la con» ?

Vers une société de «jobs à la con» ?

Si vous avez le temps de lire cet article devant votre ordinateur au boulot, la réponse est probablement oui. Et à en croire la viralité (1) du pamphlet consacré aux «bullshit jobs» (en VO) signé David Graeber, anthropologue à la London School of Economics et une des figures du mouvement Occupy Wall Street, vous n’êtes pas pas le seul. Dans un court essai (2) publié dans le magazine de la gauche radicale britannique Strike ! Le 17 août, l’universitaire, qui n’aime pas qu’on le définisse comme anarchiste, décrit ce qu’il a baptisé le «phénomène des jobs à la con». Soit, selon lui, l’aliénation de la vaste majorité des travailleurs de bureau, amenés à dédier leur vie à des tâches inutiles et vides de sens, tout en ayant pleinement conscience de la superficialité de leur contribution à la société. «Tout un tas d’emplois inutiles» Comment définir un emploi inutile ? Tâches absconses Modes de vie anxiogènes, ultracontrôlés et aseptisés Guillaume Gendron. « Peut-être l’intellectuel vivant le plus important… » [New York Times]

Statut-de-la-femme-la-regression-ne-passera-pas. «J’ai voté pour le parti Ennahdha afin qu’il nous débarrasse de ces «salopes» en les cloîtrant dans leurs maisons ; qu’il leur retire leurs permis de conduire ainsi que les licences de taxis qu’on leur a accordées et qui nous reviendront d’office; ainsi nous pourrons circuler en toute liberté dans une ville nettoyée et il n’y aura plus d’accidents de la route.

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Mais ils n’en ont rien fait et elles continuent de nous polluer l’atmosphère. Je suis très déçu». Ainsi s’exprimait récemment un digne représentant de la Fédération des taxis. Si personne n’a vu dans le programme électoral d’Ennahdha de telles promesses, il faudrait rechercher l’origine de ce fantasme d’un espace public «nettoyé» de l’espèce féminine, dans le fonds commun patriarcal qui a traversé les âges et la géographie. Tous les courants conservateurs y puisent sans modération. La question qui se pose, c’est pourquoi ce courant s’exprime avec une telle arrogance et une telle ostentation aujourd’hui?