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EVOLUTION

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Accueil - Evolution of life. Modélisation de l'évolution des pinsons des Galapagos avec le logiciel Vensim PLE - SVT Lyon. Contexte scientifique Depuis une quarantaine d’années, les populations de pinsons des îles Galapagos (genre Geospiza) font l’objet d’un suivi poussé par l’équipe de Peter et Rosemary Grant, notamment sur la petite île de Daphne major. Dans les années 1970 cette île était principalement occupée par une population de pinsons à becs moyens, de l’espèce Geospiza fortis. Deux phénotypes sont principalement représentés : des G. fortis à becs plus petits, majoritaires, se nourrissant essentiellement de graines de plantes herbacées, et des G. fortis à becs plus gros et plus puissants, minoritaires, capables de se nourrir des graines dures d’un arbuste dominant sur l’île (Tribulus cistoides). En 1977 une forte sécheresse a empêché la production de petites graines.

Les pinsons à gros becs ont donc mieux survécu, en se nourrissant des graines plus dures. Geospiza magnirostris Modélisation Critères de construction des modèles : Durée de 5 trimestres conforme aux données scientifiques ; Fiche de consignes. ADN mitochondrial, Homo sapiens et Homo neanderthalensis. Retour au début Homo neanderthalensis et Homo sapiens Si de nos jours seule l’espèce Homo sapiens est présente sur Terre, les études paléoanthropologiques montrent que plusieurs espèces du genre Homo ont existé par le passé, et sur des périodes de temps qui parfois se recouvrent.

ADN mitochondrial, Homo sapiens et Homo neanderthalensis

Ainsi, l’homme de Néandertal (Homo neanderthalensis) a vécu de – 200 000 ans B.P. à – 30 000 ans B.P. environ (B.P. : « before present », âge par rapport à nos jours) ; dans le même temps, l’homme moderne (Homo sapiens) est apparu il y a probablement environ 130 000 ans (les premiers Homo sapiens sont couramment nommés « hommes de Cro-Magnon »). De ce fait, ces deux types d’homme ont coexisté pendant près de 100 000 ans. De nombreuses questions se posent donc quant aux relations précises entre l’homme de Néandertal et l’homme de Cro-Magnon (voir la bibliographie et webographie pour une hypothèse sur la disparition de H. neanderthalensis). Utilisation de l’ADN mitochondrial Figure 5 : Carte du génome mitochondrial. Enseigner Classification Evolution (ECEV): Les différences génétiques Homme/Chimpanzé. Parenté entre êtres vivants actuels et fossiles - Phylogenèse – Évolution « Activité envisageable : Comparaisons chromosomiques et moléculaires Chimpanzé-Homme. » Niveau Terminale S Quelles différences génétiques entre l’homme et le chimpanzé ?

Enseigner Classification Evolution (ECEV): Les différences génétiques Homme/Chimpanzé

Par Delphine Trochet, chercheur post-doctorante dans l’équipe SANTE du MNHN (INSERM U565, CNRS UMR 7196). Cet article propose de faire le point sur des « comparaisons chromosomiques et moléculaires entre homme et chimpanzé » (B.O. de TS n°5, 30 août 2001). I. Annexe A : premiers arguments pour une faible différence génétique entre l'homme et le chimpanzéAnnexe B : le séquençage des génomes I. Les différences génétiques structurales comprennent toutes les variations que l’on peut observer au niveau l’ADN : les réarrangements chromosomiques, les inversions, les délétions, les insertions, les duplications et les substitutions.

[ Wikidébrouillard ] Homo sapiens, un singe comme les autres ? Question pour une (re)médiation scientifique. De Wikidebrouillard.

[ Wikidébrouillard ] Homo sapiens, un singe comme les autres ? Question pour une (re)médiation scientifique

Avant propos L'année Darwin (2009) a été pour beaucoup de médiateurs scientifiques et nous "petits débrouillards" une belle année de mutualisation autour du darwinisme et de la théorie de l'évolution. Enfin la recherche continue ("association des petits débrouillards" oblige !) D'une médiation scientifique différente d'une simple communication d'experts face à des auditoires captivés (mais captifs et peu critiques) m'a incité à écrire et exposer la proposition de (re)médiation scientifique qui suit.

Ce texte a servi de support à une présentation publique ce début juillet 2012. Homo sapiens, un singe comme les autres ? Quelle que soit la réponse qu'on lui apporte, voilà une question qui fait recette (dans tous les sens du terme). Mais qu'avons nous appris sur la science et son fonctionnement ? D'où venons nous ? Ce premier aspect ne fait plus discussion depuis bien longtemps. Que sommes nous ? Toutes ces recherches sont directement liées à la question du propre de l'homme. Login - Solerni.org - Homo naledi, l’homme préhistorique qui pourrait bousculer notre arbre généalogique. ©Mark Thiessen, équipe du NGM Mi-homme mi-australopithèque, Homo naledi a été mis au jour dans une grotte d’Afrique su Sud.

Homo naledi, l’homme préhistorique qui pourrait bousculer notre arbre généalogique

Il pourrait être le chaînon manquant de l’histoire de notre évolution. Un scoop National Geographic. Au fond d’une grotte, en Afrique du Sud, une mission paléontologique financée par National Geographic a permis la découverte de centaines d’ossements. Des restes qui dessinent un hominidé d’un genre inédit, baptisé Homo naledi, à mi-chemin entre l’homme moderne et l’australopithèque. L’aventure commence en 2013 lorsque deux jeunes spéléologues s’aventurent dans la grotte Rising Star, à quelque 50 km de Johannesburg. Cliquez sur la carte pour l’agrandir. Lee Berger, paléoanthropologue à l’université de Witwatersrand (Johannesburg), est immédiatement prévenu. >> Un étonnant mélange : ce squelette composite révèle la constitution générale d’Homo naledi. Squelette : Stefan Fichtel / Source : Lee Berger et Peter Schmid, Wits ; John Hawks, université du Wisconsin à Madison.