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Réseaux collaboratifs

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Encyclopédie des initiatives positives, créativité et innovation citoyenne. Ça fonctionne ainsi | Pumpipumpe. Commande tes autocollants ici, colle-les à ta boîte aux lettres et fais ainsi savoir à tes voisins ce qu’ils peuvent emprunter chez toi. Ainsi tu peux t’engager simplement et localement pour une utilisation consciente des biens de consommation, apprendre à mieux connaitre tes voisins et acheter moins d’objets.

Les 5.- CHF/EUR par commande nous permettent de continuer à exploiter le projet sur le long terme. Nous continuons à travailler sans but lucratif et nous nous engageons inlassablement pour le développement du projet et de l’association. Nous te laissons définir les conditions de prêt et d’emprunt avec tes voisins. Tu aimerais demander un gage pour plus de sécurité? Est-ce que vous vous partagez les frais d’un abonnement à un journal? Une part de gâteau en guise de remerciement pour la forme à gâteau empruntée? Tu as des questions concernant le projet? MAJ : Liste réactualisée : 100 sites pour consommer sans posséder.

La liste réactualisée de ces 100 sites qui méritent d’être soutenus et popularisés et qui ne peuvent qu’aider. Mais si ces sites ont leur importance, il ne faut pas oublier non plus ceux qui en sont à l’origine ou qui relaient cette liste et qui eux aussi, font leur part du colibri. Chaque action, aussi minime soit-elle, est toujours un pas en avant pour tenter de changer l’ordre des choses pour un monde meilleur, alors vous aussi, faites circuler cette liste, vous aussi, faites « votre part du colibri« . Dernière mise à jour de cette liste que nous avions publiée l’année dernière.Si vous avez des liens utiles à partagerdans les commentaires,surtout n’hésitez pas !

Alimentation, autopartage, troc… voici une liste d’initiatives françaises de consommation collaborative. Jerry, Do It Together. Trade School. E-180 | Brain Dates for Learning Humans. La consommation collaborative, le nouveau visage de la consommation. Véritable pied-de-nez à la consommation dite « classique », la consommation collaborative invente une nouvelle façon de consommer en se basant sur des logiques de partage et d’entraide.

S’inscrivant dans un contexte de crise économique et de développement des technologies numériques, la consommation collaborative porte en elle les prémices d’un nouveau visage de la consommation. Décryptage. Privilégier l’usage d’un bien plutôt que sa propriété, voilà le principe de base qui prime dans un modèle de consommation collaborative. La location entre particuliers, le prêt entre particuliers ou encore l’autopartage : ses nouvelles pratiques ont en commun d’appartenir à cette mouvance collaborative.

Et pour permettre cet essor, Internet et les nouveaux modes de communication jouent un rôle central. Derrière ces nouvelles manières de consommer, se dessine en filigrane, une nouvelle économie basée sur le partage. Déborah. OuiShare. OuiShare est une communauté, un accélérateur d’idées et de projets dédié à l’émergence de la société collaborative: une société basée sur des principes d’ouverture, de collaboration, de confiance et de partage de la valeur. Nous pensons que des structures économiques et sociales basées sur ces principes, peuvent résoudre nombre de défis de notre époque, et permettre à chacun d'accéder ressources et aux opportunités nécessaires sa prospérité.

Nous souhaitons accompagner le développement de telles structures, tout en analysant de façon critique les enjeux de la transition collaborative. Les activités de OuiShare sont structurées en 4 grands domaines : animation de communauté (événements locaux, groupes en ligne, OuiShare Fest, ...) production intellectuelle (études et recherche, publications, méthodologies, ...) incubation et accélération de projets collaboratifs, et formation/accompagnement (étudiants, professionnels, entreprises, collectivités) Nos valeurs Notre parcours.

Fab lab. Un fab lab ou fablab[1] (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[2] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[3] en proposant un inventaire minimal[4] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[5], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[6]. Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[7] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[8]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[9]. Les couleurs du logo représentent[10] : le vert : modèle commercial et économique ;le bleu : impact social et durabilité ;le rouge : recherche et éducation.

Historique[modifier | modifier le code] Principes des fab labs[modifier | modifier le code] Fab City[modifier | modifier le code] HacKIDemia. Hacklab. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un hackerspace, hacklab ou media hacklab est un lieu où des gens avec un intérêt commun (souvent autour de l'informatique, de la technologie, des sciences, des arts...) peuvent se rencontrer et collaborer.

Les Hackerspaces peuvent être vus comme des laboratoires communautaires ouverts où des gens (les hackers) peuvent partager ressources et savoir[1]. Beaucoup de hackerspaces utilisent et participent à des projets autour du logiciels libres, du hardware libre, ou des médias alternatifs. Ils sont souvent physiquement installés dans des maisons des associations ou des universités, mais dès que le nombre d'adhérents et l'éventail des activités augmente ils déménagent généralement dans des espaces industriels ou d'anciens entrepôts. Fonctions[modifier | modifier le code] Les activités qui prennent place dans un hackerpace peuvent être très variables selon l'endroit.

Organisation[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code]