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Agrégation philosophie 2016

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Bergson et la religion. La philosophie de Bergson part des faits et se fonde sur la raison pour les expliquer, car tout fait a une raison d’être que le philosophe doit envisager avec le degré de certitude le plus haut possible [1][1] Pour les références, nous adoptons les abréviations....

Bergson et la religion

Par rapport à la religion, Bergson va donc faire de même. L’erreur du jeune Albert Camus, quand il lut en 1932 Le deux sources de la morale et de la religion, fut d’attendre de Bergson un message quasi prophétique, une philosophie-religion qui aurait fait de son auteur un « maître de vérité ». Mais Bergson ne cherche en fait qu’à comprendre chaque problème étudié et, dans le cas qui nous intéresse, la religion comme un fait humain. I. Les faits religieux comme point de départ Les faits religieux dont Bergson est parti sont de trois ordres différents : 1 / Tout d’abord, l’expérience mystique l’a intéressé, dès les premières années du siècle. Comment interpréter ces faits ? II. III. IV. La conscience. Sans évoquer ici de façon détaillée ces découvertes, on peut néanmoins y souligner la volonté de prendre au sérieux cette donnée : c´est avec son cerveau que l´homme pense.

La conscience

Donnée empiriquement constatable : des interventions chirurgicales requises pour soigner certains troubles font apparaître que les fonctions de la conscience, y compris celle qui assure son unité et nous permet ainsi de dire « je », en rapportant à notre Moi une multiplicité d´états mentaux, s´enracinent dans la cartographie des hémisphères cérébraux. Qui plus est, on considère aujourd´hui que, de la souris à l´homme, il n´y a pas eu d´autre événement majeur, dans l´évolution du cerveau des mammifères, que l´expansion de certaines parties de l´encéphale correspondant à ce qu´on appelle le « néocortex ». Pour simplifier à l´extrême et sachant qu´on appelle « cortex » la partie superficielle du cerveau, où se concentrent les zones les plus porteuses d´opérations mentales : I. 1 - Conscience et aperception II.

III. Le sujet. La notion de sujet, telle qu´on l´entend en philosophie (pour s´y référer aussi bien que pour la discuter, voire pour la combattre), est une construction proprement philosophique.

Le sujet

Construction progressive et complexe, qui constitue elle-même un objet d´interrogation pour les philosophes quand ils tentent de faire apparaître comment s´est développée l´histoire du sujet au sens où ils entendent ce terme. Pour comprendre en quoi cette notion a pu devenir aux yeux des philosophes l´enjeu de débats multiples et souvent vigoureux, il faut en tout cas commencer par la distinguer avec soin des emplois usuels du terme de sujet. Partir, donc, de l´utilisation que nous faisons couramment de ce terme pour en distinguer l´usage ou les usages philosophiques. La distinction recherchée a ici un caractère avant tout méthodique. Elle n´exclut pas que, sur les usages courants, des interrogations philosophiques puissent venir se greffer directement. I. Copie agrégation 2007 texte de Nietzsche (note 15)

Par Saturnin Copie ayant obtenu la note de 15/20 à l’épreuve écrite d’histoire de la philosophie de l’agrégation externe, session 2007.

Copie agrégation 2007 texte de Nietzsche (note 15)

Le texte reproduit ci-après, cela va de soi, reprend l’exact contenu du devoir effectivement rendu : les éventuelles maladresses de style tout comme les éventuelles imprécisions référentielles (inévitables dans une épreuve en temps limité) ont donc été reproduites telles quelles… Le paragraphe 36 de Par delà le Bien et le Mal appartient à la première partie de l’ouvrage intitulé «Des préjugés des philosophes». C’est donc l’un de ces «préjugés» – au sens d’une pensée reçue dont on a oublié selon quelles modalités elle s’est constituée -, qui va trouver à s’y voir déconstruit. Ce «préjugé», quel est-il ? La première hypothèse est la «supposition» pour le moins polémique que la «donné» première, la première des «réalités» qui nous soit connue, est constituée par notre «monde de désirs et de passions». Or, qu’est-ce qu’un corps ? Inventio subiecti. L'invention du sujet moderne - Histoire de la philosophie médiévale - Alain de Libera - Collège de France - 06 mars 2014 10:30.

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