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Travail coopératif

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Mais qu’est-ce qu’un Réseau Social d’Entreprise ? On entend parler depuis quelques mois régulièrement de Réseaux Sociaux d’Entreprise (ou RSE), mais qu’est-ce exactement ? À quoi ça sert ? À qui est-ce destiné ? Qu’est-ce que ça rapporte ? Un petit billet généraliste pour décrypter tout ça… RSE, qu’est-ce que ça veut dire ? Un Réseau Social d’Entreprise (ou « RSE » — à ne pas confondre néanmoins avec « Responsabilité Sociale d’Entreprise ») est un outil destiné à mettre en place, au sein de l’entreprise, des moyens de communication valorisant autant le contenu que l’interaction entre les individus qui le produisent. Attention, on entend souvent parler des Réseaux Sociaux dans le cadre business, mais cela peut recouper deux notions qui n’ont rien à voir : la communication d’entreprise sur les Réseaux Sociaux Grand-Public (type Facebook, Twitter, …) d’un côté et les Réseaux Sociaux d’Entreprise, mais internes, de l’autre.

Dans un intranet « traditionnel », le fonctionnement est centré autour du contenu. Un RSE, pour qui ? Voir aussi : Les réseaux sociaux dans l’entreprise : de la sphère privée à l’usage professionnel. Des réseaux sociaux d’entreprise omniprésents, mais inconnus des salariés. 01net le 12/03/12 à 13h04 L’importance croissante des médias sociaux (Facebook, Viadeo…) dans le quotidien des entreprises a été chiffrée par un sondage Cegos, présenté lors de la récente conférence Media Aces. Selon les responsables de ces plates-formes, une entreprise sur deux serait aujourd’hui présente sur les réseaux sociaux… Mais, étrange paradoxe, jusqu'à 40 % des salariés l’ignorent. Certes, la progression du nombre d’entreprises ayant investi les médias sociaux depuis quelques années est impressionnante (elles étaient moins de 4 % il y a trois ans).

De la même manière, 23 % des responsables de réseaux sociaux affirment que leur entreprise dispose d’un RSE (réseau social d'entreprise) comme Jive ou Bluekiwi, mais seuls 13 % des salariés pensent la même chose ! Des usages professionnels encore trop peu développés Peu de postes dédiés aux réseaux sociaux sont créés par les entreprises, ce qui explique peut-être en partie leur manque de visibilité. Les paradoxes des réseaux sociaux d’entreprise. Coopération ou compétition au coeur de la 18 ème Université Hommes-Entreprises.

Pour la 18ème Université Hommes-Entreprises quise déroulera fin août, vous avez choisi les thèmes de la coopération et de la compétition. Pourquoi ? De nombreux décideurs croient que la compétition est le mode de relation naturelle de la société. " L'homme est un loup pour l'homme ", disait le philosophe Hobbes. Pourtant de nombreux chercheurs s'opposent à ce postulat. L'éthologue Frantz de Waal avance que le loup est beaucoup plus dans un processus de coopération que de compétition, contrairement à une idée répandue. Les événements politiques et économiques comme le 'Printemps arabe' et la dette de la Grèce nous ont amenés à nous poser des questions sur le thème de la coopération. Faut-il coopérer ou pas ? Comment changer son attitude face à la compétition entre entreprises sur les mêmes marchés ?

Le bon modèle n'est plus celui des années 80, où Bernard Tapie rachetait une entreprise pour un franc symbolique. Là encore, l'époque de la compétition est révolue. Fiche_Plateforme_travail_collaboratif.pdf (Objet application/pdf) TCAO.pdf (Objet application/pdf) Appareils mobiles et travail collaboratif : une relation évidente. Recommander cette page à un(e) ami(e) Sur le blog Cloud and Go, dédié "au Cloud computing, aux Média et Réseaux sociaux, à l'Entreprise 2.0 et au Web 2.0 pour les Entreprises", a été publié en juin 2011 une série de deux billets rendant compte d'une fort intéressante étude réalisée par la société nord-américaine iPass, portant sur les usages des terminaux mobiles opérés par les salariés en utilisant au moins un à des fins professionnelles.

Cette étude a été réalisée auprès de 3 700 salariés travaillant pour 1 100 entreprises de par le monde. La moitié de l'échantillon est américain, 34 % proviennent d'Europe, 10 % d'Asie. Toutes les classes d'âge (de 20 à 65 ans et plus) sont représentées dans l'échantillon. Nous n'entrerons pas dans le détail des résultats de l'étude, fort bien analysés dans les billets de Cloud and Go, mais nous nous focaliserons sur la relation entre les équipements mobiles et le travail collaboratif. Des équipements personnels qui accroissent la motivation (...) Coopération et travail collaboratif. Travail collaboratif : un tiers d'entreprises auboises déjà converties. Publié le mardi 03 juillet 2012 à 09H05 - Vu 325 fois Aube - 36 % des entreprises auboises ont déjà mis en place des logiciels de travail collaboratif, selon une étude menée par l'Agence 10TIC pour le compte de la chambre de commerce et d'industrie de Troyes (CCI).

Les entreprises auboises sont à la croisée des chemins, puisque 25 % d'entre elles envisagent également d'y passer. Si 40 % ne l'envisagent pas, il faut noter que ces réfractaires se trouvent surtout chez les entreprises de moins de dix salariés, où la notion de travail collaboratif n'apparaît pas nécessaire. Des craintes sur la confidentialité Les usages sont toutefois en train de se démocratiser. Le courriel, par exemple, est utilisé aujourd'hui par 99,7 % des entreprises. Convaincre de l'utilité des outils L'Est Eclair. Le Travail collectif peut nuire aux performances individuelles. Le travail collaboratif est très à la mode, et c’est une bonne chose. Mais travail collaboratif ne signifie pas travail collectif. Imaginez que vous avez un projet très important. Vous mettez deux collaborateurs sur ce projet, mais vous craignez qu’ils n’aillent pas assez vite et vous en rajoutez un troisième. Logique non ? Hélas, les recherches effectuées sur le travail collectif nous amènent à penser que le résultat de votre calcul est fortement surestimé et que les performances de votre équipe à trois ne soient pas meilleures qu’à deux.

Les chercheurs ont remarqué depuis longtemps que les performances d’un travail collectif ne sont pas proportionnelles au nombre de personnes. C’est en partie grâce à ce constat inquiétant que se sont mises en place les techniques d’animation d’équipe et de projets basés sur la co-création (World Café, Future Search…). *Etude P. Une publication Etmos. La coopération au travail. Engager ses salariés à collaborer passe par l'accompagnement humain. Comment convaincre ses salariés d'utiliser les outils 2.0 mis en place notamment pour favoriser la collaboration et l'engagement ? En les impliquant dans les grandes décisions, par la formation et en les récompensant. Entretien avec Jérôme Colombe, Directeur de la gouvernance web chez Alcatel-Lucent, et rencontré à l'occasion de l'Enterprise Summit 2.0, qui se tenait la semaine dernière à Paris.

L'Atelier : On le voit, ce n'est pas seulement intégrer une plate-forme de collaboration en interne et l'annoncer qui en fait le succès. Comment amener les salariés à s'y intéresser sur le long terme ? Jérôme Colombe: On constate que les premiers signes d'engagements se focalisent dans le débat d'idée pour trouver des solutions à toutes sortes de demandes du top management sur la transformation, sur la stratégie ou sur l'innovation. Toutefois, ce type d'engagement demande de la "maintenance" pour perdurer. Un concept en vogue est celui de la ludification. Faut-il passer par des récompenses? Coworking week-end : trois jours pour «upgrader» la communauté.

Du 14 au 16 septembre à Paris, la communauté du coworking se retrouve pour développer et accélérer des projets communs aux espaces de coworking. Retrouvez à cette occasion une partie de l’équipe des Propulseurs, initiateurs de l’espace de coworking Community Space et du futur espace de La Propulserie. Le Coworking Week-End prendra la forme d’ateliers d’amorcage de projets en journée et de moments plus festifs en soirée. Il s’agit avant tout de produire ensemble des projets durables et créatifs. Un bel exercice de travail collaboratif, si cher aux initiateurs du coworking. Une centaine d’adeptes et de pratiquants convaincus du coworking et des nouvelles formes de travail se retrouvent donc à Paris, entre La Cantine et La Mutinerie, pour amorcer de nouvelles collaborations et renforcer les liens déjà forts de la communauté du coworking.

Pour participer, retrouvez tous les détails pratiques sur le site dédié du Coworking Week-end. |Intelligence collective] Cogestion adaptative, démocratie participative, Travail collaboratif et coopératif. Il ne faut pas confondre « travail collaboratif » et « travail coopératif » : le travail coopératif est une coopération entre plusieurs personnes qui interagissent dans un but commun mais se partagent les tâches,le travail collaboratif se fait en collaboration du début à la fin sans division fixe des tâches.

Il associe trois modalités d’organisation : il propose à tous et chacun, dans le projet, de s’inscrire dans un principe d’amélioration continue de chaque tâche et de l’ensemble du projet,il organise le travail en séquences de tâches parallèles,il fournit aux acteurs de chacune des tâches une information utile et facilement exploitable sur les autres tâches parallèles et sur l’environnement de la réalisation. Le travail collaboratif, comme le travail collectif (dont il est une des variantes) n’est pas nécessairement synonyme d’efficacité, d’efficience, ni de rapidité. Origine Le travail collaboratif et non financièrement rémunéré n’est pas nouveau en soi.

Périmètre Dans l’entreprise. Fuissé | Un beau travail coopératif. Ces deux chantiers ont été réalisés par la Brigade du Grand Site, en présence de l’Inspecteur des Sites, Dominique Deseorges. Tous ont souligné la réussite de cette entreprise et espèrent voir d’autres actions de ce type, sur d’autres éléments de patrimoine communal. La première a consisté en la reconstruction d’un mur bordant le chemin piétonnier, créé par la commune de Prissé entre le centre – bourg et le rond-point des Deux-Roches, à proximité du pont sur la petite Grosne.

La seconde a consisté au remontage d’une cadole, au lieu-dit La-Roue sur la commune de Solutré-Pouilly. Cette restauration a eu pour origine un partenariat entre le Grand Site qui a assuré la formation avec le CFPPA de Mâcon-Davayé, le murailler Philippe Alexandre, les agents et le chef d’équipe de sa Brigade Verte, l’association Villages-en-Vie et le Syndicat du Cru Pouilly-Fuissé. Frédéric Burrier, président du Cru Pouilly-Fuissé, a ensuite accueilli les participants pour une dégustation de sa production.