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Essais

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Par instants, la vie n’est pas sûre - Robert Bober. « Si j’ai choisi de t’écrire Pierre, c’est que j’ai préféré m’adresser à toi plutôt que de parler de toi.

Par instants, la vie n’est pas sûre - Robert Bober

Il m’a semblé ainsi réduire, effacer même par instants, la distance qui sépare la vie de la mort. » Il y eut une rencontre décisive dans la vie de Robert Bober, celle avec Pierre Dumayet (1923 – 2011), journaliste, écrivain, qui a introduit les livres et la littérature à la télévision avec Lecture pour tous, puis Lire c’est vivre, qu’il présentera pendant plus de quinze ans. Robert Bober devenu réalisateur à la télévision collabore... Il y eut une rencontre décisive dans la vie de Robert Bober, celle avec Pierre Dumayet (1923 – 2011), journaliste, écrivain, qui a introduit les livres et la littérature à la télévision avec Lecture pour tous, puis Lire c’est vivre, qu’il présentera pendant plus de quinze ans. Robert Bober devenu réalisateur à la télévision collabore étroitement avec Pierre Dumayet. Voir la biographie et la bibliographie de Robert Bober Métier de tailleur Attelage amical.

La pensée blanche. Qu’est-ce qu’être blanc ?

La pensée blanche

Atlas de l'Anthropocène. « Atlas, dans la mythologie, représente un géant capable de tenir la Terre sur ses épaules sans en être écrasé.

Atlas de l'Anthropocène

Mais quand Gérard Mercator publie en 1538 ce qu'il décide d'appeler un Atlas, le rapport des forces s’est complètement inversé : un "Atlas" est un ensemble de planches, imprimées sur du papier, quelque chose que l’on feuillette et que le cartographe tient dans sa main ; ce n’est plus la Terre que l’on a sur le dos et qui nous écrase, mais la Terre que l’on domine, que l’on possède et que l’on maîtrise totalement.

Près de cinq siècles après, voilà que la situation s’inverse à nouveau : paraît un "Atlas" qui permet aux lecteurs de comprendre pourquoi il est tout à fait vain de prétendre dominer, maîtriser, posséder la Terre, et que le seul résultat de cette idée folle, c’est de risquer de se trouver écrasé par Celle que personne ne peut porter sur ses épaules. » Bruno Latour. Le français est à nous ! - Maria CANDEA, Laélia VÉRON. Les linguistes Maria Candea et Laélia Véron défient le conservatisme linguistique. Employant nombre d'exemples historiques, sociologiques et linguistiques, les deux autrices dénoncent l'OPA faite par les membres de l'Académie française et les pseudos experts qui voudraient figer la langue. [...]

Michel LAFON - Le plus grand défi de l'histoire de l'humanité, Aurélien Barrau. C'est quoi la politique ? Le guide de la photographie au smartphone. Anki Wijnen - Grand Format - Decitre - Livre - 9791029507564. Dans l'atelier de l'écriture - Jean-Noël Blanc. Comment faire mentir les cartes de Mark Monmonier.

La lecture, ça ne sert à rien ! - Bénédicte Shawky-Milcent - Partage du savoir. Introduction Chapitre I – Lire pour se construire Une propriété en filigrane L’appropriation au cœur du plaisir de la lecture Prendre pour se connaître Le lecteur modifié dans son for intérieur De la lecture à la culture Chapitre II – Prendre en soi et donner de soi : le rôle du lecteur empirique dans l’expérience de lectureL’éclairage offert par l’herméneutique contemporaine La réhabilitation du lecteur empirique dans la réflexion sur la réception de l’œuvre littéraire Chapitre III – Et à l’école ?

D’hier à aujourd’hui, la question de la réception des œuvres littéraires par les élèvesMise en perspective historiqueRéflexions sur le commentaire composé et sur l’écrit d’invention Coup de projecteur sur l’enseignement de la littérature en seconde Chapitre IV – Propositions de la didactique de la littérature : donner droit de cité au sujet lecteurRecherches en didactique de la littérature et problématique de l’appropriation Un sujet : mais quel sujet ? Le petit terroriste de Omar Youssef Souleimane - Editions Flammarion.

Faux Papiers, Paul Nizon. Des pages tour à tour sombres et lumineuses, puisées dans la solitude d'une vie intérieure foisonnante, et offertes à tous.

Faux Papiers, Paul Nizon

L'irruption d'un écrit de Paul Nizon met toujours en joie, comme l'arrivée de nouvelles d'un être cher qui ressurgit après une longue disparition. Voilà plus de six ans qu'est paru son journal de la décennie 1990-1999, Les Carnets du coursier. Et presque dix ans qu'il a écrit son dernier roman, La Fourrure de la truite. Journal, roman, l'homme ne fait pas de différence. Ce sont les mêmes gouttes de son sang qui remplissent les pages, la même « fuite de cerveau », le même total don de soi. Le journal qu'il dévoile aujourd'hui court entre 2000 et 2010.

Paul Nizon revendique la marginalité comme le silence, indispensables à sa quête introspective, mais il y a chez lui un sens caché de l'autre qui rend son oeuvre très lumineuse, offerte à tous. Le Cirque contemporain - Nouvelles éditions Scala - Boisseau Rosita Raynaud de Lage Christophe. Histoire des émotions, vol. 2, Collectif, Sciences humaines. Après le succès de l’Histoire du corps et de l’Histoire de la virilité, Alain Corbin, Jean-Jacques Courtine et Georges Vigarello dirigent cette très ambitieuse Histoire des émotions en trois volumes, héritière du programme des Annales, de l'histoire des mentalités et de celle des sensibilités, portée par les renouvellements historiographiques les plus récents.

Histoire des émotions, vol. 2, Collectif, Sciences humaines

Elle réunit pour la première fois les meilleurs spécialistes français et étrangers de l’histoire des émotions, toutes générations confondues. Ouverte par les Lumières, la séquence qui fait l’objet de ce deuxième volume, dirigé par Alain Corbin, fournit un chapitre très riche de l’histoire des émotions. Dès le milieu du XVIIIe siècle se dessinent des attentes nouvelles. La notion d’« âme sensible » émerge peu à peu. C’est le temps du journal intime et celui de l’émerveillement face au paysage.

À l’extrême fin du XIXe siècle, des savants commencent à mesurer l’expression des émotions. Histoire des émotions, vol. 1, Collectif, Sciences humaines. Oliver Sacks’s posthumous gift: ‘Gratitude’ By Heller McAlpin By Heller McAlpin November 20, 2015 It’s the rare person who counts his blessings upon learning he’s “face to face with dying.”

Oliver Sacks’s posthumous gift: ‘Gratitude’

But Oliver Sacks did just that. In January, Sacks, the neurologist and author of such books as “Awakenings” (1973) and “Musicophilia” (2007) was diagnosed with terminal cancer. During the months before his death in August, Sacks wrote a series of heart-rending yet ultimately uplifting essays. In them, he shared his thoughts about how he wished to live out his days and about his feelings on dying. What was Sacks most thankful for?

After learning his bleak prognosis, he wrote: “I feel a sudden clear focus and perspective. Sacks was an immoderate enthusiast and risk taker with a brilliant, far-ranging mind. “Gratitude” by Oliver Sacks. In these final essays, Sacks again addresses his Orthodox Jewish upbringing and his sexuality, which he discussed in “On the Move.” Sacks was an adventurer and a scientist. La Guerre allemande - La Librairie Vuibert. En 1939, les Allemands, encore traumatisés par le souvenir de 1918, ne voulaient pas d’une nouvelle guerre.

La Guerre allemande - La Librairie Vuibert

Pourtant, leur détermination aveugle fit durer les combats jusqu’en 1945. Comment ont-ils pu tenir si longtemps sous les bombardements, malgré les privations et l’accumulation des défaites ? Les Allemands avaient-ils conscience de mener une guerre génocidaire ? Dans quelle mesure crurent-ils aux mensonges d’un régime qui les menait à leur perte ?