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Culture numerique

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Panorama des outils de travail collaboratif : définition et grands types. Origine des outils collaboratifs Historiquement, le problème de la division du travail date de deux siècles, et avait donné naissance au travail à la chaîne : on peut améliorer la cadence de production des ouvriers en affectant à chacun une unique tâche qu'ils sont chargés de répéter. Cependant, la nécessité de faire travailler ensemble des individus dispersés dans le temps et l'espace est devenue de plus en plus pressante ; mais les technologies de l'information et de la communication ont permis de résoudre cette problématique à l'aide des outils de travail collaboratifs.

L'expression "travail collaboratif" est attribuée à Yochai Benkler, professeur de droit à l’université de Yale. (source : wikipédia)Les premiers outils de travail collaboratif commencent à apparaître à la fin des années 80 avec notamment Lotus Notes d'IBM. Microsoft Exchange, le principal concurrent, apparaît en 1996. Définition Attention : il ne faut pas confondre travail collaboratif avec travail coopératif ! Wikipédia. Trouver la perle rare grâce au recrutement affinitaire digital. Des plateformes permettent de prendre en compte la personnalité des candidats. Une aubaine pour les entreprises. Imaginez un site de rencontre sur lequel les internautes ne sont pas en quête d'amour mais de travail. L'employeur détaillerait ses valeurs et le candidat son envie. La rencontre de deux profils compatibles engendrerait un "match" qui se transformerait en CDD ou en CDI.

Une utopie ? Non. Des plateformes inspirées des sites de rencontre Certaines entreprises ont traditionnellement recours au recrutement affinitaire qui consiste à prendre en compte la personnalité et les motivations dans le cadre d'un recrutement. Par chance, il existe depuis peu des plateformes qui permettent de sourcer des candidats qui partagent des valeurs communes avec leur potentiel employeur. Le système de matching est également au centre du concept de Monkey Tie, une autre plateforme de recrutement affinitaire qui se veut quant à elle plus généraliste. Entreprises et candidats, tout le monde y gagne. Rapport TNEF. Une cartographie des controverses numériques. Pour son quatrième numéro des "Questions numériques", la FING (Fondation Internet Nouvelle Génération) a choisi d'explorer 75 controverses liées au monde digital d'aujourd'hui et de demain. " OuiShare Fest : l’économie du partage en pleine crise existentielle.

Après l’euphorie des débuts en 2013, l’obsession des communautés en 2014, l’édition 2015 du OuiShare Fest (du 20 au 22 mai à Paris) marque une nouvelle étape, celle de la crise existentielle, voire d’adolescence (tout grandit si vite avec le numérique). Le thème "Lost in Transition" n’est pas anecdotique. Les organisateurs et leur réseau de "collecteurs" ont en effet conscience que l’économie collaborative, ou "sharing economy", ne tient pas forcément toutes ses promesses. "On se demande où l’on va après les premiers succès et les premiers échecs, résume un organisateur. Quelle direction, quel chemin doit prendre ce mouvement ? " Et pas question de se voiler la face. Les jeunes diplômés de grandes écoles françaises à l'origine de OuiShare (des déçus du marché du travail) veulent rester lucides… et critiques : "Le but du OuiShare Fest est aussi de poser les questions qui fâchent.

La première grande tension concerne donc le partage de la valeur. La deuxième grande tension est… politique. Rapport CREDOC 2013 dec2013. L’Union européenne, colonie du monde numérique ? Rapport d’information de Mme Catherine MORIN-DESAILLY, fait au nom de la commission des affaires européennes L’humanité a connu deux révolutions cognitives avec l’apparition de l’écriture puis l’invention de l’imprimerie. La création de l’internet, réseau des réseaux, représente assurément pour le monde une troisième révolution, analogue à l’invention de l’imprimerie, avec les formidables potentialités qu’elle recèle et en même temps les tensions inévitables qui en découlent.

Plusieurs penseurs s’accordent à reconnaître la nature de cette révolution, à commencer par Michel Serres. Le sémiologue italien R. Simone le confirme à son tour dans son dernier livre qui nous rappelle que nous sommes désormais « Pris dans la Toile ». L’internet n’est pas le fruit d’une interconnexion de réseaux nationaux.

Car l’échelon national n’est assurément pas l’échelon pertinent pour appréhender la révolution numérique : seule l’Union européenne (UE) a la masse critique pour peser dans le cyberespace. M. M. La Hadopi dévoile son rapport sur le jeu vidéo dématérialisé. Web 3.0 -- The Best Official Definition Imaginable. Jason just blogged his take on an official definition of "Web 3.0" -- in his case he defines it as better content, built using Web 2.0 technologies. There have been numerous responses already, but since I am one of the primary co-authors of the Wikipedia page on the term Web 3.0, I thought I should throw my hat in the ring here.

Web 3.0, in my opinion is best defined as the third-decade of the Web (2009 - 2019), during which time several key technologies will become widely used. Chief among them will be RDF and the technologies of the emerging Semantic Web. While Web 3.0 is not synonymous with the Semantic Web (there will be several other important technology shifts in that period), it will be largely characterized by semantics in general. Web 3.0 is an era in which we will upgrade the back-end of the Web, after a decade of focus on the front-end (Web 2.0 has mainly been about AJAX, tagging, and other front-end user-experience innovations.) Faut-il dire numérique ou digital ? Le débat est récurrent, et il n’est pas un article employant le mot digital sans la réponse tant attendue « digital c’est avec les doigts, en France on dit numérique ». C’est d’ailleurs l’avis de l’Académie française pour qui « l’adjectif digital en français signifie « qui appartient aux doigts, se rapporte aux doigts ».

Il vient du latin digitalis, « qui a l’épaisseur d’un doigt », lui-même dérivé de digitus, « doigt ». C’est parce que l’on comptait sur ses doigts que de ce nom latin a aussi été tiré, en anglais, digit, « chiffre », et digital, « qui utilise des nombres ». En Français il faudrait donc utiliser numérique. Mais si les avis semblent bien tranchés sur l’utilisation d’un des mots, ils sont rarement étayés et argumentés. <a href=' ou Digital ? Pourquoi peut-on utiliser numérique et digital ? En français, numérique s’oppose à analogique, c’est son sens mathématique. 1. 2. Web 2.0 Tools Based on Bloom's Digital Taxonomy - Web 2.0 Tools Based on Bloom's Digital Taxonomy. Non-usagers du numérique : 6 articles d’analyse. La revue scientifique Questions de Communication (numéro 18, paru en 2010) qui propose un dossier sur les non-usagers des TIC (technologies de l’information et de la communication) est désormais consultable en libre accès.

Ce dossier sous la direction des chercheurs Catherine Kellner, Luc Massou et Pierre Morelli proposent des articles de réflexion pour comprendre quelles sont les personnes qui n’utilisent pas ou n’utilisent plus le numérique en s’attachant à différentes analyses dont des facteurs sociaux, une réflexion sur les non-pratiques numériques, la question des usages limités des TIC, des pistes exploratoires pour revisiter l’expression « fracture numérique » ou encore un questionnement sur les non-pratiques du téléphone portable. Ces différents éclairages scientifiques offrent une vision renouvelée des différents aspects de l’exclusion numérique et de la fracture numérique. Catherine Kellner, Luc Massou et Pierre Morelli(Re)penser le non-usage des TIC Licence :

Cours de culture numérique. Cours de culture numérique. Le dico du numérique | CANOPÉ Créteil. Pourquoi le numérique est-il une culture ? Invité du CIGREF en tant que Grand Témoin, Milad Doueihi interpelle les acteurs de l’Entreprise Numérique ! Ses questions permettent de planter le nouveau décor qui s’impose aux dirigeants d’entreprises aujourd’hui, comme à la société en général. En effet, si le numérique est à la fois une science et une culture qui introduit de nouvelles valeurs, de nouveaux critères sur nos héritages culturels, l’entreprise peut-elle garder ses modèles d’affaires, ses options de création de valeur hérités de la culture précédente ?

Milad Doueihi, auteur de « Pour un humanisme numérique », philologue et historien, titulaire de la Chaire des Cultures Numériques à l’Université de Laval au Québec. Merci au CIGREF de me donner l’occasion de partager avec vous quelques réflexions sur le monde numérique. Synthèse vidéo : La culture numérique – Milad Doueihi from CIGREF on Vimeo. Pour aller plus loin… On doit aussi se rappeler que l’informatique est une science assez particulière.

De l’index au visage… Qu'est-ce que le numérique. Comment développer et transmettre une culture numérique. Une émission un peu particulière aujourd’hui, sans Thibault Henneton, sans lecture de la semaine, sans son. Mais enregistrée ce matin au Forum de Libération à Nancy avec une question « Comment développer et transmettre une culture numérique ? ». Une question à étages, bien évidemment, car le présupposé même qu’il existe une culture numérique est à interroger, au moins dans les formes que pourrait avoir cette culture. A supposer qu’une culture numérique existe, sa transmission n’est pas moins problématique, dans quel cadre peut-elle se faire ? Cf. « La culture numérique, c’est d’abord celle que l’on construit soi-même » sur le site de Libération.

Divina Frau-Meigs Professeure à l’Université Paris III en sciences de l’information et de la communication. François Taddéi Directeur de recherche à l’INSERM, directeur du CRI, le Centre de Recherche Interdisciplinaire. Pierre-Antoine Bataille Ingénieur de l’Ecole des Mines de Nancy. La « révolution numérique », une révolution des cultures de l’information. Pour expliquer le nouveau, c’est parfois bien de revisiter le passé. C’est ainsi que Divina a choisi d’introduire son propos sur sa vision de la « révolution numérique ». D’après elle, le passé le plus proche par rapport à la révolution des savoirs, c’est l’époque de la Renaissance, « qui arrive environ deux siècles après la révolution de l’imprimerie », précise t-elle. Instinctivement, on ne pense pas à la Renaissance quand on pense « révolution numérique » ; pourtant, c’est bien cette époque qui a amené les différents supports du papier, comme les encyclopédies ou les romans par exemple, donc des « nouvelles formes d’expression ».

Avec le numérique, tout contenu peut être multi supports Actuellement, le numérique a un côté « inhibant » et « panique » pour les personnes qui n’arrivent pas à l’utiliser, se cachent des autres, n’osent pas l’avouer et font semblant. L’accompagnement dans cette « révolution » est donc primordial pour éviter ce type de comportements.

Guide pratique des réseaux sociaux.