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Économie

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Quand les banques de « l'économie sociale » financent la bombe atomique. L’organisation néerlandaise Pax a analysé les financements dont profitent les industries de l’armement impliquées dans la fabrication, le stockage et l’entretien d’armes nucléaires. La plupart des grandes banques françaises, dont les banques mutualistes, figurent parmi ces investisseurs. Certaines, comme BNP Paribas, se sont pourtant dotées de charte leur interdisant de financer des armes dites « controversées », dont l’arme atomique. Ailleurs en Europe, des fonds d’investissement ont banni ce type de pratiques. Les sociétaires des grandes banques mutualistes françaises l’apprécieront-ils ? Le Crédit agricole, le groupe Banque populaire-Caisses d’Épargne (BPCE) et le le Crédit mutuel financent directement ou indirectement l’industrie de l’armement nucléaire, à hauteur d’environ 7 milliards de dollars (5,6 milliards d’euros).

Des armes pourtant reconnues comme controversées par les banquiers Des financiers vraiment éthiques... mais pas en France Rachel Knaebel. Les Plumés de l'austérité. Remi Fraisse, victime d’une guerre de civilisation. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Edgar Morin (Sociologue et philosophe) A l’image d’Astérix défendant un petit bout périphérique de Bretagne face à un immense empire, les opposants au barrage de Sivens semblent mener une résistance dérisoire à une énorme machine bulldozerisante qui ravage la planète animée par la soif effrénée du gain. Ils luttent pour garder un territoire vivant, empêcher la machine d’installer l’agriculture industrialisée du maïs, conserver leur terroir, leur zone boisée, sauver une oasis alors que se déchaîne la désertification monoculturelle avec ses engrais tueurs de sols, tueurs de vie, où plus un ver de terre ne se tortille ou plus un oiseau ne chante. Cette machine croit détruire un passé arriéré, elle détruit par contre une alternative humaine d’avenir.

Elle a détruit la paysannerie, l’exploitation fermière à dimension humaine. Elle veut répandre partout l’agriculture et l’élevage à grande échelle. Elle veut empêcher l’agro-écologie pionnière. Nouvel avenir. Une offre de formation pour mettre au cœur de l'économie sociale et solidaire, les métiers et les savoir-faire. La Boutique | réZonance. Grâce à des généreux souscripteurs, nous avons réussi à éditer des DVD.

Nous les proposons maintenant à la vente. Pour information, les fonds réunis supplémentaires seront réinvestis dans notre prochain projet, de film, d’émission de radio ou de sound system. BEWARE ZOMBIES et LES HOMMES DE LA TOMBE – 10 euros TTC 2 Fictions participatives de 10 et 15min avec un bonus Montages : IndieGround, Julie Piron et Sylvain Lion Musique, sound design et montage son : IndieGround Graphisme : Alexandra Perrigot, Régis Landreau, Guillaume Rembert, IndieGround et Sylvain Lion Une nuit, dans un petit village d’Ardèche, en plein concert de Double Vitrage, une meute de zombies affamée attaque !

In extremis, 3 groupes de survivants arrivent à s’échapper, mais la nuit ne fait que commencer… POUR UN OEIL LES DEUX YEUX, POUR UNE DENT TOUTE LA GUEULE ! Documentaire de 30min avec des bonus Montage : IndieGround et Sylvain Lion Musique, sound design et montage son : IndieGround Graphisme : The Fox. « Zone de gratuité », ou comment les objets deviennent « sans propriétaire fixe » Et si on changeait notre rapport à la propriété et à la consommation ? Un peu partout en France émergent des « zones de gratuité », des espaces où les rapports marchands sont abolis, de manière temporaire ou permanente. Ici les objets circulent et les gens se parlent, en réapprenant que l’échange ne passe pas forcément par l’argent. Petit reportage à Montreuil (Seine-Saint-Denis). « Tout est vraiment gratuit ?

», questionne un enfant, incrédule. Ce projet est né il y a quelques années. « Lors d’un repas de quartier, nous avons lancé l’idée avec des copains, les voisins de la rue, explique Vito, l’un des organisateurs. Un pied-de-nez à la société de consommation Andres est venu d’une rue voisine, avec sa famille. Tout l’après-midi, les tables se vident et se regarnissent. Donner et récupérer à la place d’acheter et jeter Ni troc, ni obligation de réciprocité, ni charité, la zone de gratuité est un moyen utile de réduire le volume de déchets et de recycler les objets.

Agnès Rousseaux A Brest. Citoyens, il est temps de stopper l'odieux traité transatlantique ! Trop fort : pour soutenir la croissance, drogue et prostitution vont être comptées dans le PIB. Pour une économie sociale et solidaire plus ouverte, plus transparente, plus solidaire avec le...

Télécharger le texte en format pdf L’empressement de certains acteurs de l’économie solidaire à répondre au rapport Vercamer sur l’enjeu de la labellisation comme question clé du développement de l’économie solidaire nous préoccupe. Cela traduit la gravité de l’état de dépolitisation à laquelle en est rendue l’ESS. Quel contraste avec l’époque où nombre d’initiatives de citoyenneté économique s’en réclamant ont vu le jour par refus du traitement social du chômage ! À travers ce projet de labellisation de l’économie solidaire, il ne s’agit rien moins que de gérer les exclusions, à défaut de les combattre. Parce que ce projet de labellisation remet en cause la dimension démocratique dont est porteuse l’économie solidaire, il est un virus mortel pour l’ESS. Le débat sur l’éthique et l’utilité sociale doit être permanent là où des acteurs se rencontrent, débattent y compris hors du champ de l’économie sociale et solidaire.

11 milliards de moins aux collectivités : les associations citoyennes dénoncent un désastre social. Quels seront les impacts du plan de réduction des dépenses publiques sur le monde associatif ? Recul général des capacités d’agir, dégradation des conditions de travail, destruction de dizaines de milliers d’emplois qualifiés, disparation des petites et moyennes associations : le Collectif des associations citoyennes sonne l’alarme. « Le coût des cotisations sociales perdues et des prestations de chômage induites par les licenciements est supérieur au montant des subventions supprimées. » Voici leur communiqué.

Le premier ministre a annoncé la réduction des dépenses publiques de 50 milliards en 3 ans et de 11 milliards de la dotation de l’État aux collectivités d’ici 2017 (soit 3 milliards par an). Ces décisions auraient pour conséquence, si elles sont appliquées, la disparition de très nombreuses associations et de dizaines de milliers d’emplois associatifs. Les ruptures de financements publics ont des conséquences extrêmement graves pour les associations :