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Discussions autour des objets connectés

[Infographie] Comment vivrons nous en 2020 avec les objets connectés ? | Construire Tendance. 15 milliards d’objets connectés et moi, émoi… Smartphones, ordinateurs et tablettes n’ont plus le monopole d’Internet. Depuis quelques années, les caméras, alarmes, compteurs électriques, feux de signalisation, ministations météo et autres capteurs sont venus grossir les rangs d’une nouvelle horde matérielle 2.0, celle des «objets connectés». Il ne s’agit plus seulement de machines se parlant entre elles par câbles ou intranet interposés, ni de badges de cantine débitant le compte-repas grâce à une puce intégrée : un nombre exponentiel d’engins se connecte directement à Internet ou via un terminal mobile pour y transmettre des données. C’est un monde parallèle qui est en train de naître discrètement sous nos yeux : entre 2010 et 2012, les «choses communicantes» présentes sur la planète sont passées de 4 milliards à 15 milliards selon l’Idate, un think tank spécialisé dans l’économie numérique.

Deux fois plus que la population mondiale… «Arrose-moi, s’il te plaît» La mutation est déjà à l’œuvre. Drone, pèse-personne… Gabriel Siméon. Les objets connectés vont-ils changer la vie de nos retraités ? Pour certains spécialistes, le développement de services liés à l’IoT et leur adaptation aux personnes âgées, va permettre de faciliter le mode de vie de ces dernières. Mais avant de voir poindre un univers de connectivité adapté au troisième âge, de nombreuses problématiques devront être résolues. Les couts des objets connectés et leurs atteintes à la vie privée en tête. Selon une déclaration il y a 3 jours de l’organisation de coopération et de développement économique (OCDE), la France est le pays dans lequel le temps passé à la retraite est le plus long : 27,2 ans pour les femmes et 23 ans pour les hommes. Induit principalement par l’allongement de l’espérance de vie, cette évolution s’inscrit dans un contexte de crise économique mondiale.

Les problématiques risquent d’être nombreuses. Comment assurer une qualité de vie à ces personnes ? Pour beaucoup la réponse à ces interrogations est évidente : l’Internet of Things. L’IoT pour lutter contre l’isolement Source. Va-t-on trop loin dans le domaine des objets connectés ? L’ère du numérique a-t-il véhiculé des facilités qui ont transformé la vie du consommateur ou s’agit-il plutôt d’objets peu utiles et qui ne peuvent profiter qu’aux entreprises qui le commercialisent ? Dans quelles mesures peut-on dire que le domaine des objets connectés va trop loin ? Des objets connectés de plus en plus inutiles ? Même si au départ les objets connectés avaient pour but de faciliter le quotidien, ils deviennent aujourd’hui de plus en plus en plus inutiles.

Du moins, un grand nombre d’entre eux. Avec la folie du high-tech, certaines entreprises proposent désormais des produits qui ne servent a priori pas à grand-chose : -le bracelet Pavlok qui vous électrocute pour vous réveiller le matin-la ceinture régime Belty qui vous dit si votre ventre a augmenté de volume pendant la prise de repas. La liste est longue… La commercialisation de ces objets connectés prouve alors que les entreprises en font un réel business lucratif. Des questions sur les aspects de sécurité. Facebook ou le rêve de la téléportation.

C’est à peine remis du CES de Las Vegas et de son nombre incalculable d’innovations qui nous y ont été présentées, que j’essaie de structurer ma pensée pour organiser le tourbillon d’informations technologiques dans lequel nous avons baigné depuis la rentrée de septembre dernier. Pas une année ne se passe sans que j’aie cette impression d’accélération permanente de l’innovation et l’état second, entre ébriété et excitation, qu’elle suscite.

Je dois vous l’avouer : je suis grisé par cette position unique qui est la mienne, d’acteur et d’observateur du monde technologique qui avance depuis maintenant 15 ans à marche forcée ! Grisé et en même temps effrayé par ce que je vois, ce que j’en conclus et les conséquences anticipées pour nos vies et notre société. Je frôle en permanence la gueule de bois mais pourtant, tel un drogué, je continue inlassablement à suivre dans le détail ce monde qui est le mien à la recherche de ma dose nécessaire et toujours plus importante. Avec la réalité virtuelle, les réseaux sociaux vont changer de dimension. Facebook n'est pas le seul à miser sur une technologie en pleine démocratisation, qui séduit aussi les professionnels du marketing.

L'image a fait le tour du monde. Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, avance d'un pas flegmatique au milieu d'une forêt de casques de réalité virtuelle (VR) lors de la conférence Samsung au Mobile World Congress de Barcelone, début 2016. Le doute n'est plus permis : "alors que cette technologie était réservée depuis 30 ans aux professionnels, 2016 sera l'année de sa démocratisation", affirme Matthieu Lépine, président de l'Association française de réalité virtuelle, augmentée, mixte et d'interaction 3D (AFRV).

Les contenus VR seront consultables dans le futur grâce à des lunettes "qui ressembleront beaucoup aux lunettes de vues d'aujourd'hui", a prédit depuis le dirigeant du réseau social le 12 avril, lors de la F8, une conférence dédiée aux développeurs. Facebook a racheté Oculus pour deux milliards de dollars Les jeux en VR seront au départ très basiques.