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Arctique

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Réchauffement climatique: des scénarios de géoingénierie pas si farfelus. Des technologies de géoingénierie solaire, approche controversée qui vise à provoquer un refroidissement artificiel de la planète en réduisant le rayonnement du Soleil frappant la Terre, sont à la fois réalisables et d'un coût abordable, selon une étude américaine. Les chercheurs, dont l'analyse est publiée vendredi dans la revue Environmental Research Letters de l'Institut de Physique (IOP) britannique, soulignent cependant qu'une telle approche nécessite une étude approfondie de ses implications et risques.

Les technologies dont ils ont évalué la faisabilité et le coût cherchent à induire des effets similaires à ceux observés après les éruptions volcaniques: les poussières émises, en restant dans la stratosphère, réfléchissent les rayons solaires et font baisser la température. Ils ont montré que la technologie de base existe déjà et pourrait être mise en oeuvre pour moins de 5 milliards de dollars (4 milliards d'euros) par an. Siku the Baby Polar Bear. Du pétrole et des idées : comment sortir de notre dépendance ?

Toute la crise économique est analysée avec une distorsion extraordinaire : la majorité des observateurs oublie le rôle crucial que joue le coût des hydrocarbures dans la lente dégradation que subissent les économies occidentales depuis 30 ans.

Du pétrole et des idées : comment sortir de notre dépendance ?

Au coeur de nos modes de vie et de nos dépenses, depuis plus d'un demi-siècle, le pétrole a les vertus d'une évidence qui ne discute plus. Aucune piste crédible ne semble représenter une alternative à sa domination sur nos économies. Les hydrocarbures ont un avantage énorme sur les autres vecteurs énergétiques : ils concentrent une puissance à l'unité de poids incomparable. On peut donc stocker et transporter une énergie considérable, bien plus facilement que dans des batteries ou un réservoir d'eau situé en hauteur. Depuis, aucune autre invention technique n'a pas dépasser ces performances. Or, les temps glorieux du pétrole se terminent : inexorablement, le coût des hydrocarbures augmentent. Que faut-il alors faire ? Arctique / exploitation en zones limites.

Liveblog : Empêchons Shell de forer en Arctique. Dans quelques semaines, Shell commencera ses forages en Arctique. Une marée noire dans cet environnement fragile serait un désastre. Les dangers de l’exploitation pétrolière en Arctique sont immenses. Températures glaciales, conditions climatiques extrêmes et éloignement géographique constituent de sérieux obstacles aux interventions de dépollution. Nous devons les arrêter et faire de l’Arctique une zone totalement préservée. Plus de 800 000 personnes se sont engagées sur Nous devons porter ce message partout.

Participer en téléphonant à Shell France Revivre l’action de blocage du siège de Shell en France Participer en agissant sur Twitter Participer en agissant sur Facebook Chaque point sur la carte représente une mobilisation ! 21 Juillet 21 juin-21 juillet : la nuit dernière nous avons atteint le million de signatures ! A Toulouse : 20 Juillet 2012 La semaine “préférée” de Shell continue.

Il s’avère que cela fonctionne mieux si vous êtes poli, mais ferme. C’est à vous ! 19 Juillet 2012. Save The Arctic. La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans. La fonte des glaces de mer du pôle Nord s'accélère au point qu'elles pourraient avoir totalement disparu, en été, entre 2015 et 2016, selon Peter Wadhams, de l'université de Cambridge.

La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric La fonte de la banquise arctique s'accélère au point qu'elle pourrait avoir totalement disparu en été d'ici à quatre ans. C'est la mise en garde de l'un des plus grands spécialistes du sujet, Peter Wadhams, dans le Guardian, lundi 17 septembre, alors que la superficie des glaces de mer de l'hémisphère Nord est sur le point d'atteindre son plus bas historique. Wadhams, qui dirige le département de physique de l'océan polaire à l'université de Cambridge, en Angleterre, a passé de nombreuses années à recueillir des données sur l'épaisseur de la glace grâce aux mesures de sous-marins parcourant l'océan Arctique.

"UNE CATASTROPHE MONDIALE" en 2015 OU 2016 Peter Wadhams appelle alors à "des mesures urgentes" pour limiter l'augmentation des températures. GreenpeaceArctic.