RGPD : où en sommes-nous ? Kit de sensibilisation - Assistance aux victimes de cybermalveillance. Le kit de sensibilisation a été réalisé par Cybermalveillance.gouv.fr et ses membres.
Il vise à sensibiliser aux questions de sécurité du numérique, à partager les bonnes pratiques dans les usages personnels, et de manière vertueuse, à améliorer les usages dans le cadre professionnel. Le kit de sensibilisation Le kit de sensibilisation est composé de 9 thématiques, déclinées en 6 formats : fiches pratiques et réflexes, mémos, affiche A2, BD, vidéos, quiz, infographies.
Téléchargez la version complète ou choisissez les sujets et supports à l’unité. Publié le 20/10/2020Télécharger 1. 2. 3. Ce contenu est le vôtre ! Vous souhaitez éditer nos supports à vos couleurs ? Téléchargez les fichiers sources ! Protection de la vie privée -Reconnaissance faciale : les recommandations de la Cnil. Déverrouillage de smartphone, ouverture de comptes bancaires, accès à des services administratifs en ligne, reconnaissance d'une personne recherchée par les forces de police dans une foule...
La Cnil préconise un encadrement strict de l'expérimentation de la reconnaissance faciale afin de tester et d'améliorer des solutions techniques respectueuses du cadre juridique. Une personne sur six n’utilise pas Internet, plus d’un usager sur trois manque de compétences numériques de base - Insee Première - 1780. L’illectronisme peut accroître la vulnérabilité sociale Savoir utiliser les ressources numériques courantes (Internet, traitement de texte…) est devenu presque aussi indispensable que savoir lire, écrire et compter.
Ne pas avoir accès à Internet ou ne pas savoir utiliser les outils numériques représente donc un réel handicap, notamment pour effectuer des démarches administratives ou encore accéder aux services publics, pouvant accroître la vulnérabilité sociale de populations potentiellement déjà fragiles. La lutte contre l’illectronisme devient ainsi un enjeu de politique publique comparable à la lutte contre l’illettrisme. Fraude fiscale : Google va payer un total de 965 millions d'euros pour clore les poursuites en France. Cette transaction, acceptée par Google France et Google Irlande, met fin aux poursuites pour "fraude fiscale aggravée", engagées en 2015 contre le géant de l'Internet par le parquet national financier.
Le géant de l'internet Google a accepté, jeudi 12 septembre, de payer une amende de 500 millions d'euros pour mettre un terme à une enquête pour fraude fiscale du parquet national financier (PNF), selon un accord validé lors d'une audience au tribunal de Paris. La firme va, en plus, verser 465 millions d'euros afin de solder son contentieux avec le fisc français.
"Nous avons mis fin aux différends fiscaux et connexes que nous avions en France depuis de nombreuses années", écrit Google dans un communiqué. Cette transaction, acceptée par Google France et Google Irlande, met fin aux poursuites pour "fraude fiscale aggravée" engagées en 2015 par le PNF. Consommation -Fraude à la carte bancaire : une vidéo en ligne pour tout comprendre. Les défis éthiques de l’identité numérique. Si le RGPD est entré en application récemment, en plaçant l’Europe à l’avant-garde de la protection des données à caractère personnel, il ne doit pas nous dissuader de nous interroger en profondeur sur la question des identités, dont les contours se sont redéfinis à l’ère numérique.
Les outils pour supprimer ses anciens tweets et posts Facebook. L’actualité montre chaque jour qu’il est parfois difficile d’assumer ses vieux tweets, ou ses vieux posts Facebook.
Le réalisateur des Gardiens de la Galaxie James Gunn a ainsi récemment été renvoyé par Disney à cause de blagues déplacées sur Twitter… même si celles-ci dataient de 10 ans. Il y a 10 ans, Twitter était un espace sûrement plus ouvert aux blagues et prises de positions peu assumables aujourd’hui. On peut aussi penser aux hommes politiques, ou personnalités publiques constamment rattrapés par de vieux tweets.
On voit en tout cas de plus en plus apparaître une volonté de prise de recul de la part des utilisateurs face à leurs anciens bons mots Twitter, ou leurs vieilles photos Facebook peu glorieuses. Pour mettre un peu d’ordre dans son identité numérique, des solutions très simples existent. Supprimer ses tweets gênants Tweet Deleter est un outil complet qui, comme son nom l’indique, va vous permettre de supprimer vos Tweets. Arrêt de principe de la Cour de cassation sur le cybersquatting.
Le droit à l'oubli peut-il concerner les entreprises? Identité numérique 2/3 : comment améliorer l’e-réputation d’une entreprise ? - Les carnets d'ORSYS. Maîtrisez-vous votre présence sur le Web ?
Bien gérer son identité numérique de façon à soigner l’image que l’on renvoie sur Internet n’est pas un objectif irréalisable. Petit tour d’horizon et bonnes pratiques pour élaborer une stratégie digitale impactante. L’identité numérique d’une personne physique ou morale se compose de toutes les informations accessibles sur Internet qui la concernent. Les entreprises face au défi de l’e-réputation. Alors qu’un français sur trois considère que la liberté d’expression est sans limite sur les réseaux sociaux, comment les entreprises peuvent-elles gérer leur e-réputation ?
Selon un sondage IFOP réalisée pour Havas Paris et August Debouzy, les français voient les réseaux sociaux comme une zone de non droit. Ainsi 1 Français sur 2 estime qu’il a plutôt le droit de dire publiquement tout ce qu’il veut au sujet d’une marque, d’une entreprise ou d’un dirigeant. 1 Français sur 3 considère qu’il n’y a aucune règle à respecter lorsqu’il s’exprime sur les réseaux sociaux, et donc que la liberté d’expression y serait sans limite. L’identité numérique, la face cachée de notre identité ? « Tout le monde ment : le big data, les nouvelles données, et ce que l’Internet peut nous apprendre sur qui nous sommes vraiment » est un livre de Seth Stephens-Davidowitz analysant nos recherches Google.
Cet ancien salarié du géant américain nous interpelle sur notre identité numérique. Mentions légales sur site internet -Quelles sont les mentions obligatoires sur un site internet ? - professionnels. Tout site internet doit permettre d'identifier son responsable et son hébergeur, en application de la loi pour la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004.
Voici les informations obligatoires sur un site Internet : identité de l'auteur du site ;ses coordonnées ;renseignements sur l'entreprise (forme juridique, montant du capital social, nom et adresse de l'autorité ayant délivré l'autorisation d'exercer). D'autres informations doivent également apparaître en fonction de la nature de l'activité : commerciale, artisanale ou réglementée. Quelles sont les données personnelles recueillies par les GAFAM ? – MobileMarketing.fr. Comment puis-je démontrer que mon organisation respecte le RGPD)? Réponse Le principe de responsabilité est un pilier du règlement général sur la protection des données.
Selon le RGPD, il relève de la responsabilité d’une entreprise/organisation de respecter tous les principes de la protection des données et de démontrer ce respect. Le RGPD fournit aux entreprises/organisations un ensemble d’outils pour les aider à démontrer leur responsabilité, dont certains doivent obligatoirement être mis en place.
Par exemple, dans certains cas, la désignation d’un DPD ou l’analyse d’impact relative à la protection des données peut être obligatoire. RGPD : quel bilan 6 mois après son entrée en application. Protection des données : ce que le RGPD change pour les entreprises. Le règlement général sur la protection des données (RGPD) entre en vigueur le 25 mai dans toute l’Europe. Il constituera désormais le cadre dans lequel les sociétés pourront exploiter les données personnelles en leur possession, qu’il s’agisse de celles de leurs employés, de leurs clients ou de leurs fournisseurs… Une information claire et transparente Premier changement introduit par le RGPD : il crée un cadre réglementaire unifié au niveau européen, là où chaque pays, précédemment, avait sa propre législation nationale sur le traitement des données personnelles.
Ce projet participe de la volonté de créer un marché numérique unique au sein de l’Union, dont la Commission estime qu’il pourrait générer 415 milliards d’euros par an et créer des centaines de milliers d’emplois.