background preloader

Internet : usages

Facebook Twitter

Décodex : nos conseils pour vérifier les informations qui circulent en ligne. Le Monde et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique de confidentialité.

Vous pouvez consentir à l’utilisation de ces technologies en cliquant sur « accepter » Fausses informations en ligne : les adolescents « facilement dupés », selon une étude. Des chercheurs de l’université de Stanford qualifient la capacité de raisonnement des jeunes sur l’information en ligne de « désolante », étude à l’appui. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Alors que la question des fausses informations circulant en ligne a fait l’objet d’une polémique après l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis, l’université de Stanford (Californie) a publié, mardi 22 novembre, le résumé d’une étude à paraître sur le niveau de vigilance des adolescents et des jeunes adultes en la matière ; elle a été relayée par le Wall Street Journal.

Constat : les ceux-ci sont rarement capables de distinguer le vrai du faux. Lire aussi : Le constat d’un auteur de fausses infos sur Facebook : « Personne ne vérifie. L’image comme preuve Pour parvenir à cette conclusion sévère, les chercheurs ont donné une série d’exercices à des jeunes gens, avec un niveau de difficulté différent selon les classes d’âge. Un enjeu important. Comment les réseaux sociaux aident les dictateurs. Pour beaucoup, les réseaux sociaux ont été une aubaine pour les révoltes populaires –et il n'est pas difficile de comprendre pourquoi. Depuis le milieu des années 2000, l'essor de Facebook, Twitter et autres aura coïncidé avec une augmentation exponentielle des soulèvements et des insurrections. Que ce soit pour organiser des révolutions en Égypte ou en Iran, guetter les mouvements de troupes russes en Ukraine ou offrir aux manifestants soudanais des informations en temps réel, les réseaux sociaux semblent donner une longueur d'avance aux activistes.

Le point de vue est sensé –et, dans ces nouvelles technologies, il y a effectivement plusieurs moyens de venir en aide aux dissidents. Le plus évident, c'est sans doute que lorsqu'il s'agit de communiquer le «où, quand, comment et pourquoi» des rassemblements au plus grand nombre de manifestants, les réseaux sociaux abaissent significativement les coûts de l'information. Quelle efficacité? Quelques raisons permettent de l'expliquer. Moteurs de recherche. Apprendre et réussir avec le numérique – colloque Reims 2015. Un colloque sur le numérique s’est tenu à Reims en avril 2015, organisé par le GIP Formation continue de l’académie de Reims, l’ESPE et l’université de reims Champagne-Ardennes, intitulé « Apprendre et réussir avec le numérique : quelles transformations du métier d’enseignant, de formateur ? » . Trois interventions ont été proposées sur la journée. « Quelles interactions entre pédagogie et numérique ?

En quoi une approche numérique de la pédagogie permet-elle les progrès de tous et dans quelles conditions ? » Mon intervention a introduit le propos en dressant un état des lieux du numérique à l’école. J’ai présenté le Dossier d’actualité n°73 sur le numérique (Pédagogie + Numérique = Apprentissages 2.0, novembre 2012), et complété mon propos par ce que j’ai pu lire sur la jeunesse, en faisant un focus particulier sur la notion d’empowerment, que nous avons déjà traitée dans ce blog. « Les classes inversées. Marcel Lebrun a partagé une vidéo d’une enseignante (Annick A. Ateliers. Comment fonctionne Google ? Quelles traces laissons-nous sur le Web ? 2 séquences pédagogiques pour réfléchir et agir.

Gaëlle Sogliuzzo, professeur-documentaliste en lycée à la Cité Scolaire Beaumont (Redon, 35) a conçu un portfolio très intéressant de séquences et expérimentations pédagogiques sur la culture de l’information et des médias. Cet enseignant propose une approche participative de l’éducation au numérique avec 2 axes de travail formalisés. Pour chaque séquence, un ensemble de documents pédagogiques en libre accès : document de préparation de séance, fiches et documents élèves, exercices et corrigés et documents de synthèse.

Des dossiers complets (avec infographies, explicitations, quizz…) pour développer des activités dans le cadre scolaire, en formation ou en espace public numérique (EPN). Séquence 1 : Comment fonctionne un moteur de recherche : l’exemple de Google « Le fonctionnement d’un moteur de recherche, à partir de l’exemple de Google, travaillé en demi-classe sur deux heures consécutives par groupe ». Séquence 2 : Identité / présence numérique : quelles traces laissons-nous sur le web ? AP rentrée_ENT et internet responsable. Moteurs de recherche. EMI. Recherche d'info sur internet.

Usages Responsables Internet.