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Symptomatic cases

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The Inconvenient Truth about Teena Brandon - TRIVIA: Voices of Feminism. The Brandon Teena Story full. Le procès du viol - 1978. Police told new zealand gang rape victim she was asking for it. Memo from the blue gang: women aren’t citizens. The police have been telling us that they can’t proceed against the Roast Busters gang because they lacked evidence and formal complaints.

Memo from the blue gang: women aren’t citizens

If only women would come forward, then they could take action against the Roast Busters gang. But they were constrained because no young woman was brave enough to come forward. When questioned, police said that they had received no formal complaints. They lied. It turns out that FOUR! New Zealand Teen Rape Club Is The Worst Thing You'll Read About Today. Anymore I'm convinced that something majorly has gone wrong with raising kids.

New Zealand Teen Rape Club Is The Worst Thing You'll Read About Today

People tell me, "Oh every generation says that about the younger generations, but kids are kids. " Wrong. My childhood spanned across the 70's and 80's. Shit like this just did not happen, and if it did, those kids disappeared by way of "reform schools" or juvenile detention centers. Le message que la police envoie ? Les femmes ne comptent pas. Lu sur la toile Mis en ligne le 07/11/13 I Rédaction par la rédaction Le scandale des « Roast Busters » en Nouvelle-Zélande est aussi celui de la police, qui aurait négligé des plaintes pour viol.

Le message que la police envoie ? Les femmes ne comptent pas

Scandale en Nouvelle-Zélande. Depuis deux ans des jeunes hommes aisés, se faisant appeler le gang des « Roast Busters », auraient abusé de nombreuses jeunes filles, certaines âgées seulement de 13 ans, en les faisant boire avant de les violer, et s'en vantaient sur leur page Facebook. Steubenville case. Steubenville Rape Teen Released from Juvenile Detention. One of the two teens found delinquent in the 2012 rape of a 16-year-old girl in Steubenville, Ohio has been released after serving less than a year in a juvenile detention facility.

Steubenville Rape Teen Released from Juvenile Detention

Maryville, un nouveau Steubenville, un nouveau cas de culture du viol. (traduction et résumé de cet article ; si vous voyez des erreurs de traduction factuelles flagrantes, merci de m'en faire part).

Maryville, un nouveau Steubenville, un nouveau cas de culture du viol

Le 08 janvier 2012, Daisy Coleman âgée de 14 ans a été violée par un lycéen ainsi qu'une de ses amies. Les scènes de viol ont été filmées. La famille était arrivée 3 ans plus tôt à Maryville une ville du comté d'Albany, après le décès accidentel du père de Daisy. Les enfants Coleman commençaient à bien s'intégrer et Daisy avait entamé une amourette avec Matthew Barnett, un populaire lycée joueur de football. Pendant la soirée du 07 janvier, Daisy et sa meilleure amie ont fait une soirée pyjama pendant laquelle elles ont bu. Le lendemain Mme Melinda Coleman est réveillée par ses chiens qui grattent à la porte pour sortir ; elle trouve sa fille dehors sur le perron.

Barnett a été arrêté, mis en examen pour violet mise en danger de la vie d'un enfant. Un autre étudiant très populaire Jordan Zech a été mis en examen pour avoir filmé le viol. « Trust me, I’m a doctor » Ces rendez-vous ne se racontent pas.

« Trust me, I’m a doctor »

Ils appartiennent à l'intimité crue de la mécanique des femmes, allongées nues sous une lumière vive, jambes écartées, les pieds retenus par des étriers, face à une "blouse blanche" dont elles attendent, redoutent ou espèrent le diagnostic. Ces moments-là, plusieurs patientes du Dr André Hazout, gynécologue renommé qui s'était spécialisé dans les problèmes d'infertilité, s'apprêtent à les décrire publiquement, face aux juges et aux jurés de la cour d'assises de Paris.

Le médecin, âgé de 70 ans, comparaît à compter du mardi 4 février et pour trois semaines, sous l'accusation de viols et d'agressions sexuelles. Six femmes se sont constituées parties civiles, d'autres qui dénoncent des faits identiques mais trop anciens pour être poursuivis, seront citées à la barre des témoins. Aucune ne devrait demander le bénéfice du huis clos, qui est de droit lors des procès pour viol. Signaler ce contenu comme inapproprié. Sur Internet, des crevures poussent les filles au suicide. Photo : Andrew B.

Sur Internet, des crevures poussent les filles au suicide

Myers En octobre dernier, une adolescente canadienne du nom d’Amanda Todd s’est pendue chez elle à Port Coquitlam, en Colombie-Britannique. Cinq semaines avant sa mort, Amanda avait posté sur YouTube une vidéo dans laquelle elle décrivait les années de harcèlement perpétré par un anonyme et sa webcam. Dans la vidéo, elle expliquait comment ce type la faisait chanter pour qu’elle lui fasse des strip-teases en live. Il utilisait les photos d’elle nue en sa possession comme moyen de pression, menaçant de les envoyer à ses amis et sa famille si elle n’obtempérait pas.

La mort d’Amanda a été largement traitée par les médias internationaux, la plupart des journalistes utilisant le terme pompeux de « cyber-harcèlement ». En surface, on trouve les sites populaires de chat vidéo type blogTV ou Stickam, conçus pour proposer un public à quiconque dispose d’une webcam et d’une connexion Internet.