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Etude FabLabs innovation. Open Source // Open Hardware. Qu'est-ce qu'un TechShop ? Les TechShops, sont de grands espaces (1500 m²) dont le principe fondateur est de rendre accessible et à bas coût tout un ensemble de machines, d’outils et d’équipements dédiés à la fabrication personnelle.

Qu'est-ce qu'un TechShop ?

Ils s’adressent aux inventeurs, aux bricoleurs, aux entrepreneurs, aux artistes, aux designers, etc. qui ne disposent pas d’ateliers de fabrication, de matériels, voire des compétences nécessaires pour réaliser leurs projets. Parmi les machines disponibles dans un TechShop on retrouve : des fraiseuses et des tours, des stations de soudage, de la tôle métallique et des matériaux de base, des perceuses à ruban, des machines à coudre industrielles, des machines à commande numérique pour traiter le bois et le plastique, une découpe laser, des machines pour plier les métaux, des imprimantes 3D, diverses fournitures, etc. Le premier TechShop a été ouvert en 2006 sous l’impulsion de Jim Newton à Menlo Park Californie. Jim Newton était professeur de robotique à En savoir plus sur les TechShops. Hacklab. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hacklab

Un hackerspace, hacklab ou media hacklab est un lieu où des gens avec un intérêt commun (souvent autour de l'informatique, de la technologie, des sciences, des arts...) peuvent se rencontrer et collaborer. Les Hackerspaces peuvent être vus comme des laboratoires communautaires ouverts où des gens (les hackers) peuvent partager ressources et savoir[1]. Beaucoup de hackerspaces utilisent et participent à des projets autour du logiciels libres, du hardware libre, ou des médias alternatifs. Ils sont souvent physiquement installés dans des maisons des associations ou des universités, mais dès que le nombre d'adhérents et l'éventail des activités augmente ils déménagent généralement dans des espaces industriels ou d'anciens entrepôts.

Fonctions[modifier | modifier le code] Les activités qui prennent place dans un hackerpace peuvent être très variables selon l'endroit. Organisation[modifier | modifier le code] Charte des Fab Labs. Fab lab. Un fab lab (contraction de l'anglais fabrication laboratory, litt. « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[1] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[2] en proposant un inventaire minimal[3] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[4], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[5].

Fab lab

Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[6] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[7]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[8]. Historique[modifier | modifier le code] Neil Gershenfeld a commencé en explorant comment le contenu de l'information renvoie à sa représentation physique, et comment une communauté peut être rendue plus créative et productive si elle a - au niveau local - accès à une technologie. Open design.

RepRap general-purpose 3D printer that not only could be used to make structures and functional components for open-design projects but is an open-source project itself.

Open design

Open-source hardware. Matériel libre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Matériel libre

Le matériel libre (en anglais open hardware ou hackable device) désigne les technologies et produits physiques développés selon les principes de l'open source. Le Matériel OpenSource est un terme qui regroupe des artéfacts tangibles — machines, dispositifs ou toutes choses physiques — dont les plans ont été rendus publics, de façon que quiconque puisse les fabriquer, modifier, distribuer et les utiliser. Une définition commune du Matériel OpenSource (OSHW - OpenSource Hardware) existe et fut créée par différents acteurs[1]. Ceci permet de définir le matériel open source, et d'en conclure les licences qui sont compatibles avec celle-ci. À l’inverse de ce concept de matériel libre, Richard Stallman a souligné que le BIOS est souvent bloqué pour n’être utilisé que par des ordinateurs sous Windows en France : il conviendrait alors de parler de « matériel privateur » qui limite la liberté de son utilisateur[2].