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Collaboratif

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De l'intelligence collective à un collectif intelligent. L’avènement de l’informatique a renouvelé le mythe de la machine intelligente. Si les films du début du XXè siècle avaient mis en scène ce nouvel être machine, les réalités étaient bien sommaires, jusqu’à l’arrivée de l’informatique et de l’imaginaire collectif qui s’en est emparé. Ainsi la machine détiendrait de l’intelligence. Des langages de programmation comme LISP puis comme Prolog ont montré l’étendue mais auss les limites de l’idée d’une machine intelligente. D’ailleurs les japonais qui y avaient investi des sommes importantes ont ramenés leurs projets à des dimensions raisonnables. Avec le développement de la mise en réseau des ordinateurs, certains se sont emparés de l’expression « intelligence collective » comme d’un nouvel étendard.

Dans de nombreuses situations liées au développement de l’homme on s’est posé la question de la substitution de l’être humain par la machine. Mais qui dit interaction suppose un début de collectif. A débattre. Collaboration et culture numérique : disruption. Non, nous ne savons pas vraiment collaborer ! Posons clairement les termes du problème plutôt que d’envahir l’espace médiatique de discours qui ne se traduisent pas dans la réalité. La sociologie des organisations a mis en évidence le dynamisme et la réussite de celles qui font travailler les gens « en groupe » ou « ensemble ». Mais une littérature abondante scientifique ou non a décliné ce fait en de nombreux termes, acronymes et autres expressions donnant l’impression d’une évidence, d’un incontournable. Si de plus on creuse les termes qui sont récemment popularisés, on peut alors utiliser celui de « disruption » pour accompagner ce fait qui semble justement être un indicateur de « disruption ».

Gardons-nous bien ici de toute tentative de nous distinguer en tentant de trouver une définition académique, officielle ou certifiée, en effet on observe que le marché des termes et expressions est porteur et qu’il permet de populariser un « produit ». A suivre et à débattre. HCL Technologies: « Nos employés priment sur nos clients ! » « Nos employés d’abord. Les clients seulement après ! » L’expression est provocante. Elle illustre néanmoins à merveille le nouvelle système managérial mis en place depuis la fin des années 2000 chez HCL Technologies, fameuses société de services informatiques indienne.

Le modèle de gestion démocratique de HCL est aujourd’hui unanimement salué par les penseurs modernes du management, tels que Gary Hamel ou Tom Peters. Ces derniers n’hésitent pas en parler comme l’archétype de la culture d’entreprise du futur. « Grâce à cette nouvelle culture managérial, affirme Vineet Nayar, CEO de HCL Technologies, la multinationale (3,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, pour 55.000 employés) a connu une croissance plus rapide que nombre de ses pairs, malgré le ralentissement économique des trois dernières années ». Renverser le lien hiérarchique Le principe le plus innovant de l’approche HCL réside dans le fait de renverser la vision traditionnelle de la hiérarchie.

Le poste de travail collaboratif - partie 2... point zéro! Dans la première partie de ce billet, et après s'être libéré des 5 contraintes qui l'empêche d'émerger, le poste de travail collaboratif est vu comme un terminal d'accès aux ressources et espaces partagés par les collaborateurs. Il leur permet de développer de nouveau modes de collaboration et notamment ceux portés par "l'entreprise 2.0". Le terminal, fixe ou mobile, n'est finalement qu'un moyen d’accès et non un conteneur. Car ce poste est virtuel, en ligne dans un Cloud public ou privé, utilise des ressources interopérables et est personnalisé par rapport aux activités de chacun. Mais pour commencer, de quelles fonctionnalités a t-on besoin pour collaborer?

Ce qui est en bleu est plutôt fortement structuré 1.0, alors que ce qui est en vert est plus déstructuré et porteur d'une approche 2.0. Sur l'axe vertical du partage de l'information, on a tout en haut ce qui concerne la communication au sens, communication descendante dans l'entreprise. Est-ce que cet outil complet existe? Le poste de travail collaboratif en mode agile - Partie 1. Le 16 Mai je suis intervenu à la conférence Webcom à Montréal pour aborder l'évolution du poste de travail en entreprise, tirée par les outils collaboratifs et le développement de l'entreprise 2.0.

Un débat intéressant dont je reprends ici en deux parties, les principales idées de ruptures qui ont été discutées. Partant du constat qu'en quelques années, les principaux outils collaboratifs mis a disposition du grand public comme Facebook (réseau social), Youtube (vidéos), Flickr (photos), Slideshare (présentations), Foursquare (check-in géolocalisés)... atteignent des centaines de millions d'utilisateurs, pourquoi les mêmes partages sociaux, de vidéos, de photos, de document, d'applications géolocalisées demandent, une fois dans l'entreprise, des efforts important d'adoption et parfois échouent tout simplement?

C'est souvent là d'ailleurs que la DSI est perçue comme un empêcheur d'avancer, en ne prenant pas en compte ce nécessaire changement d'habitude qui concerne toute l'entreprise: Archive du blog De l'intérêt de mettre les tâches aux coeur de la collaboration. L’email, les outils bureautiques, les applications métier et autres ERP font partie du quotidien des salariés.

Formulé autrement : Les travailleurs du savoir passent la majeure partie de leurs journées devant un écran, et plus spécifiquement sur leur application de messagerie. J’ai déjà eu l’occasion de vous expliquer les limites de l’email et le moyen d’en limiter l’usage (Cinq étapes pour tuer l’email), mais comme la situation est grave, je me permets d’en rajouter une couche.

Pour résumer une longue explication, la dynamique collaborative que nous avons connue ces 10 dernières années repose principalement sur les messages. L’email est en effet utilisé pour tout et n’importe quoi : Informer, notifier, planifier, affecter, partager, consolider… Cette situation ne peut plus durer, car l’email utilisé à outrance est non seulement inefficient, mais aussi terriblement stressant. Il est donc grand temps de passer à un autre modèle de collaboration. Remplacer l’email ? Oui tout à fait ! L'Actualité des outils collaboratifs. La fabrique de la confiance. Le mal-être français est réel. Il se manifeste par des états de stress, des dépressions, une consommation d'anxiolytique et même des suicides beaucoup plus fréquents que dans la plupart des autres pays. Depuis l'après-guerre, la hausse considérable de notre niveau de vie ne s'est pas accompagnée d'une amélioration significative du bien-être.

Ce n'est pas véritablement une surprise : des informations, disséquées par des milliers de chercheurs, de toutes disciplines, de tous pays, révèlent que le bien-être dépend avant tout de la qualité du lien social. Ce livre porte un message : la défiance est au cœur de notre mal. Nous souffrons d'un manque de coopération et de réciprocité. Peut-on se fier à la « société de défiance » ? Recensé : Yann Algan, Pierre Cahuc, La Société de défiance : comment le modèle social s’autodétruit, Éditions de la Rue d’Ulm, coll. CEPREMAP, 2007. La crise globale, financière et économique, déclenchée au printemps 2007 a placé au centre du débat public mondial le thème de la confiance : confiance dans les relations interbancaires, confiance des ménages et des entreprises dans l’avenir, confiance des marchés dans la signature de la puissance publique [1]. De cette profusion verbale émergent deux problématiques générales : l’importance, qui paraît considérable, de la confiance dans les « démocraties de marché » [2] se manifeste par la disparition de celle-ci ; il semble en outre assez difficile de savoir ce que recouvre exactement cette notion, dont l’usage plastique paraît masquer une grande confusion.

La confiance se signale par son absence et demeurerait insaisissable quand elle existe. Les trois étapes de la démonstration d’Algan et Cahuc 1. 2. 3. Mais admettons encore. Travail collaboratif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de travail collaboratif désigne aujourd'hui un travail qui n'est plus fondé sur l'organisation hiérarchisée traditionnelle, et plus spécifiquement un nouveau mode de travail (éventuellement intégré dans un modèle économique de production) où collaborent de nombreuses personnes grâce aux technologies de l'information et de la communication.

Les outils nouveaux permettent de maximiser la créativité et l'efficience d'un groupe associé à des projets d’envergure même si elles sont très dispersées dans l'espace et le temps. Le projet d'encyclopédie en ligne, libre et multilingue, Wikipédia est un exemple de résultat d'un travail collaboratif « en réseaux coopératifs »[1] Il ne faut pas confondre « travail collaboratif » et « travail coopératif » : Le travail collaboratif, comme le travail collectif (dont il est une des variantes) n'est pas nécessairement synonyme d'efficacité, d'efficience, ni de rapidité. De nombreux exemples montrent :