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Féminisme & Diversité

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La technique des conseillères d’Obama pour se faire entendre au travail. Les féministes découvrent sur Twitter un nouveau mot : « l’amplification », qui n’a rien à voir avec les haut-parleurs.

La technique des conseillères d’Obama pour se faire entendre au travail

C’est un article du Washington Post qui a lancé le mot. Des femmes de l’administration Obama y racontent qu’elles ont constaté qu’il leur arrivait régulièrement de ne pas être invitées à des réunions et que, quand elles étaient présentes, elles étaient moins écoutées que les hommes. Se serrer les coudes Elles se sont réunies et ont décidé de jouer collectif et de se serrer les coudes. Quand une femme avançait une idée importante, la suivante à parler devait la reprendre et rappeler qui l’avait émise. Le but étant d’imposer les contributions des femmes dans la discussion et d’éviter que des idées émises par des femmes ne soient reprises par des hommes qui en tireraient ensuite crédit. La stratégie ressemble un peu à une équipe qui se ferait des passes pour éviter qu’on ne lui prenne le ballon : simple, collective et efficace.

Dans les jeux vidéo

Noël sans préjugés : la campagne anti-sexiste des Magasins U. Après avoir été les premiers en France à s'attaquer aux stéréotypes dans les catalogues de Noël, les Magasins U osent un spot qui l'assure : « il n'existe pas de jouets pour les filles ou pour les garçons, mais des jouets, tout simplement ». « Offrir aux enfants l'image d'un monde plus juste. » Chapeau bas aux Magasins U pour ce message de Noël.

Noël sans préjugés : la campagne anti-sexiste des Magasins U

En 2012, l'enseigne de supermarchés était la première en France à ne plus proposer de segmentation filles/garçons dans ses catalogues de Noël. En 2015, elle va plus loin en lançant une campagne de communication sur ce thème. Avec un message sans ambiguïté : « Dès la naissance, les enfants sont conditionnés » ; pourtant, « il n'existe pas de jouets pour les filles ou pour les garçons, mais des jouets, tout simplement ». La suite de cet article est accessible sur abonnement. Je suis abonné·e,je me connecte Je m'abonne à partir de 1€ Obama just gave his best immigration speech — and you probably missed it.

Immigration is America's oldest tradition, President Barack Obama said Tuesday.

Obama just gave his best immigration speech — and you probably missed it

"We are born of immigrants. That is who we are. Immigration is our origin story," Obama said during a ceremony where immigrants from 25 nations were sworn in as U.S. citizens. "We can never say it often or loudly enough. Immigrants and refugees revitalize and renew America. " Obama's comments drew a forceful contrast between his position and that of Republican politicians, including Donald Trump, who has called for a temporary ban on Muslims entering the country.

"In the Mexican immigrant today, we see the Catholic immigrant of a century ago," said Obama, who spoke at a lectern positioned in front of the display of the Constitution. "In the Syrian refugee of today, we should see the Jewish refugee of World War II. " Hcefh guide pratique com sans stereo vf 2015 11 05 1. Tea consent — VOSTFR. "Ça fait bien longtemps que je ne prononce plus mon prénom quand je me présente au téléphone" "Le Monde" a demandé à un de ses journalistes, Mustapha Kessous, 30 ans, d'écrire ce qu'il racontait en aparté à ses collègues : les préjugés contre les Maghrébins, qui empoisonnent sa vie privée et professionnelle.

"Ça fait bien longtemps que je ne prononce plus mon prénom quand je me présente au téléphone"

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mustapha Kessous Brice Hortefeux a trop d'humour. Je le sais, il m'a fait une blague un jour. Jeudi 24 avril 2008. Le ministre de l'immigration et de l'identité nationale doit me recevoir dans son majestueux bureau. Trois mois plus tard, lundi 7 juillet, jour de mes 29 ans. Je pensais que ma "qualité" de journaliste au Monde allait enfin me préserver de mes principaux "défauts" : être un Arabe, avoir la peau trop basanée, être un musulman.

J'en parle souvent à mes collègues : ils peinent à me croire lorsque je leur décris cet "apartheid mental", lorsque je leur détaille les petites humiliations éprouvées quand je suis en reportage, ou dans la vie ordinaire. Et pourtant, s'ils savaient à quel point la banlieue m'était étrangère.

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