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addictions liées à l'usage du numérique

Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter.

Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie : Définition cyberaddiction/cyberdépendance - Stop-Jeu.ch. Actuellement, les qualificatifs les plus souvent utilisés pour définir un usage problématique des jeux vidéo ou d’Internet sont ceux de « cyberaddiction » ou de « cyberdépendance ».

Le « cyber » de cyberaddiction et cyberdépendance fait référence aux différents usages possibles d’Internet (voir FAQ relative). Quant aux concepts d’addiction et de dépendance, qui sont souvent utilisés comme des synonymes, ils définissent en fait des caractéristiques cliniques quelque peu différentes. Stricto sensu, on parle de dépendance lorsqu’une personne présente deux types de symptômes : des symptômes de sevrage, à savoir une irritabilité ou de la nervosité lors de l’arrêt de la substance ou du comportement en cause, et des symptômes de tolérance, c’est-à-dire le besoin d’augmenter les doses de substance ou de comportement en cause, pour atteindre un état émotionnel satisfaisant.

Addictions sans produit. Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si selon les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d'effet addictogène, l'addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l'objet en cause, liée à d'autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social...), la cyberdépendance semble prendre de l'importance. 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l'usage excessif ou dépendant du réseau informatique.

Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Il est certain qu'Internet change le rapport au temps. Selon M. Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles addictes ? Quels sont les signes d’alerte d’un usage excessif ? Comment traiter cet usage problématique ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %).

A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Le consensus sur l’expression à employer pour décrire un usage excessif des jeux vidéo a toujours fait débat. Les facteurs de risques d’une addiction au jeu vidéo Une humeur dépressive (perte de goût et de plaisir pour ce qui était habituellement agréable).

Les signes d'alerte. @ddict : le premier MOOC sur l’addiction au numérique. L’université de Nantes, en collaboration avec le CHU de la ville, a lancé le 22 décembre 2014 le premier MOOC sur l’addiction au numérique. Explications avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique et coordinateur du MOOC. Didier Acier Comment est née l’idée de lancer un MOOC sur l’addiction au numérique ? Il s’agit d’un travail commun du Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire et du CHU de Nantes, initié il y a deux ans, avec la participation de plusieurs chercheurs de sociologie, de psychiatrie, d’informatique et de psychologie. Au départ, le Pr Jean-Luc Vénisse, psychiatre et addictologue au CHU de Nantes avait invité le philosophe Bernard Stiegler, spécialiste du numérique, dans le cadre d’un cycle de conférences.

A la suite de cela, un groupe de recherche a été mis en place sur le numérique et les addictions. Quel est son objectif ? Il ne s’agit pas d’un MOOC traditionnel, dans le sens où ce n’est pas un cours donné par un professeur à des étudiants.

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