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Dualismes

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Zoroastrisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Zoroastrisme

Le zoroastrisme est une religion monothéiste où Ahura Mazdâ (pehlevi : Ohrmazd) est seul responsable de l'ordonnancement du chaos initial, le créateur du ciel et de la Terre. Le zoroastrisme est une réforme du mazdéisme[1], réforme prophétisée par Zarathoustra, dont le nom a été transcrit en Zoroastre par les Grecs (Ζωροάστρης, Zōroastrēs). Cette réforme est dite classiquement être intervenue au cours du Ier millénaire av. J. -C. mais les indices s'accumulent pour la faire remonter au millénaire précédent. Histoire du zoroastrisme[modifier | modifier le code] Le zoroastrisme, une des premières religions monothéistes, est instituée par révélation dans des livres qui enseignent que Dieu est à l'origine de l'univers et créateur de l'ordre survenant du rien initial, créateur des mondes (cf.

Pour certains[Qui ?] La religion prézoroastrienne[modifier | modifier le code] Il faut remarquer que le terme ahura est étroitement apparenté à l'indien asura. Tao. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Tao

道 dào, calligraphié en écriture cursive Le tao est la « Mère du monde »[1], le principe qui engendre tout ce qui existe, la force fondamentale qui coule en toutes choses de l’univers. C'est l’essence même de la réalité et par nature ineffable et indescriptible. Il est représenté par le taìjítú, symbole représentant l’unité au-delà du dualisme yin-yang soit respectivement l'entropie négative et positive. Le Tao a été édifié ou systématisé dans le texte Tao Tö King attribué à Lao Tseu. Hermétisme. Jean-Jacques Boissard, de divinatione et magicis præstigiis, Oppenheim, début du XVIIe siècle représentation d'Hermès Trismégiste.

Hermétisme

Hermétisme désigne deux courants de pensée : une doctrine ésotérique fondée sur des écrits (les Hermetica) de l'Antiquité classique attribués à l'inspiration de Hermès Trismégiste.son développement dans la doctrine des alchimistes au Moyen Âge puis essentiellement à partir de la Renaissance. Antoine Faivre a suggéré d'employer deux termes distincts pour ces deux traditions de pensée. À côté du mot « hermétisme », servant à désigner le corps de doctrines des Hermetica ainsi que leurs gloses et exégèses, on peut employer le mot « hermétisme » pour désigner « un ensemble plus vaste de doctrines, de croyances et de pratiques, dont la nature s'est précisée à la Renaissance.

Herméneutique. L'herméneutique (du grec hermeneutikè, ἑρμηνευτική [τέχνη], art d'interpréter, hermeneuein signifie d'abord « parler », « s'exprimer »[1] et du nom du dieu grec Hermès, messager des dieux et interprète de leurs ordres) est la théorie de la lecture, de l'explication et de l'interprétation des textes.

Herméneutique

L'herméneutique ancienne est formée de deux approches complètement différentes : la logique d'origine aristotélicienne (à partir du Peri hermeneia ou De l'interprétation d'Aristote) d'une part, l'interprétation des textes religieux (orphisme ou exégèse biblique par exemple) et l'hermétisme d'autre part. L'herméneutique moderne se décline en sous-disciplines : Définition générale[modifier | modifier le code] Daech fait renaître le zoroastrisme de ses cendres au Kurdistan irakien. Effet secondaire de la poussée djihadiste en Irak, le zoroastrisme, religion originaire du Kurdistan, connaît un renouveau.

Daech fait renaître le zoroastrisme de ses cendres au Kurdistan irakien

Le plus ancien monothéisme planétaire enregistre un afflux de nouveaux fidèles en réaction aux atrocités de l’organisation de l’Etat Islamique. Un phénomène inverse du temps où les zoroastriens se convertissaient à l’islam pour fuir les contraintes de leur propre religion. Née il y a environ 4.000 ans au Kurdistan irakien, la toute petite et première religion monothéiste du monde compte toujours aujourd’hui quelque 200.000 adeptes, répartis essentiellement entre l’Inde, l’Iran et le Kurdistan. Zoroastrisme. Monisme. Autoportrait subjectif du physicien et philosophe moniste Ernst Mach, censé illustrer l'unité du « moi » et du monde.

Monisme

Sur le plan de la connaissance, le monisme interdit de dissocier les sciences de la nature et celles de l'esprit. L'ensemble de la science est alors représenté comme un édifice solidaire[2]. Il établit également un rapport étroit entre la philosophie et la science[3]. Monisme dialectique. Le Bien et le Mal : Aperçu de la mythologie Persane.

Prologue : Je vous livre un article que j’ai trouvé sur le site de Paulo Coelho, retraçant les origines du bien et du mal selon la mythologie persane qui s’oppose aux références bibliques.

Le Bien et le Mal : Aperçu de la mythologie Persane

Pour vous le faire découvrir, je retranscris fidèlement l’écrit de Coelho, à qui je cède la parole : « J’ai déjà abordé ce sujet ici, mais il vaut la peine de raconter de nouveau ces deux histoires qui se contredisent. Depuis son origine, l’humanité est condamnée à se mouvoir dans l’éternelle division entre les deux opposés. Nous sommes là, avec les mêmes doutes que nos ancêtres, et nous n’avons aucune réponse plus originale.

Perse : l’homme comme allié du bien. Jean Kellens, L'Avesta, Zoroastre et les sources des religions indo-iraniennes - Clio - Voyage Culturel. Même si les historiens et les philosophes grecs avaient quelque connaissance de la religion de l'ancien Empire perse, il fallut attendre le milieu du XVIIIe siècle pour qu'un voyageur français, Anquetil-Duperron, puisse acquérir auprès des Parsis de Pondichéry des manuscrits en nombre suffisant pour que commence l'étude de la langue et des textes de l'Avesta, puis de la mythologie, de la religion et des philosophies recueillies dans ce livre sacré.

Jean Kellens, L'Avesta, Zoroastre et les sources des religions indo-iraniennes - Clio - Voyage Culturel

Les Grecs et la figure de Zarathushtra Une génération après les guerres médiques, quand les Grecs purent jeter sur l'Empire perse un regard apaisé, ils furent sensibles à un certain exotisme religieux. Hérodote se plaît à faire le tableau d'un peuple pratiquant une religion toute naturelle. Les Perses, dit-il, n'ont ni temples, ni idoles, ni autels.