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Zoroastrisme

Zoroastrisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le zoroastrisme est une religion monothéiste où Ahura Mazdâ (pehlevi : Ohrmazd) est seul responsable de l'ordonnancement du chaos initial, le créateur du ciel et de la Terre. Le zoroastrisme est une réforme du mazdéisme[1], réforme prophétisée par Zarathoustra, dont le nom a été transcrit en Zoroastre par les Grecs (Ζωροάστρης, Zōroastrēs). Cette réforme est dite classiquement être intervenue au cours du Ier millénaire av. J. Histoire du zoroastrisme[modifier | modifier le code] Le zoroastrisme, une des premières religions monothéistes, est instituée par révélation dans des livres qui enseignent que Dieu est à l'origine de l'univers et créateur de l'ordre survenant du rien initial, créateur des mondes (cf. Zoroastre prêchait parmi l'Humanité la morale, c'est-à-dire l'ensemble des jugements et des règles légitimes reposant sur le dualisme primordial opposant le Bien et le Mal, transcendance immatérielle provenant de Dieu créateur. Related:  Occultisme / Ésotérisme / Religion

La Bonne Nouvelle : voici le Livre de Vie de l'Agneau, Le manuscrit Le shivaïsme du Cachemire Manichéisme (religion) C'est un syncrétisme du judaïsme, du bouddhisme, du brahmanisme et du christianisme, mais pas du zoroastrisme qui était la religion de l'empire perse[1]. Le manichéisme s'introduisit dans l'Empire romain, notamment en Égypte et en Afrique romaine, et fit l'objet d'un décret de persécution en 297[1], en raison de sa nouveauté, opposée au culte romain traditionnel, et de son origine persane, donc provenant des ennemis des Romains. Les décrets de tolérance religieuse de 311 et 313 (édit de Milan), principalement énoncés pour arrêter la persécution contre les chrétiens, mirent fin à cette période de persécution. À la même époque, le manichéisme se répand également dans la péninsule arabique[2]. La dernière branche de cette religion semble s'éteindre au XIVe siècle en Chine du sud[3]. Jusqu'au XXe siècle, le manichéisme était une religion connue principalement à travers les écrits de ses adversaires (comme saint Augustin). Un des fondements du manichéisme est de séparer le monde en deux :

Zoroastre. Zoroastre, en persan Zerdust, est l'auteur ou le réformateur du Magisme ou Mazdéisme, religion des anciens Perses, des Parthes et des Guèbres, naquit probablement en Médie, dans l'Aderbaïdjan (l'anc. Atropatène ), sous le règne d'un prince du nom de Gouchtasp (qu'on a voulu à tort identifier avec Hystape, père de Darius I). La religion des Mèdes était chargée de pratiques superstitieuses: Zoroastre entreprit de la réformer. Selon les traditions des Perses, il passa la première partie de sa vie à voyager pour conférer avec les sages les plus illustres, Puis il s'enferma dans une grotte pour méditer, fut enlevé au ciel, vit Ormuzd face à face, et reçut de lui mission d'aller prêcher à l'Iran (Perse) une doctrine nouvelle. Il se présenta à la cour de Gouchtasp, qui régnait à Bactres (Balkh ), en Bactriane (La parole vivante). Excessivement âgé, Zoroastre se retira sur le mont Albordj; c'est là qu'il mourut, on ne sait à quelle époque. , lors delà grande irruption des hordes du Touran

Le Journal Intégral Jaïnisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une statue d'Ajitnath, deuxième Tîrthankara, « créateur de chemin », du cycle du temps jaïn actuel. Le jaïnisme ou jinisme (du sanskrit Jina, « vainqueur ») est une religion qui aurait probablement commencé à apparaitre vers le Xe siècle ou IXe siècle avant notre ère[1], dont les origines sont peu connues, qui serait venue de l'animisme et qui prend ses racines dans la plus haute antiquité[2]. Histoire[modifier | modifier le code] La communauté[modifier | modifier le code] Si d'époque en époque les Acharyas jaïns ont enseigné la foi, cette religion vit surtout à travers ses rituels religieux réunissant laïcs et moines-ascètes itinérants. La philosophie jaïne[modifier | modifier le code] Symbole officiel du Jaïnisme représentant la Cosmographie jaïne et sa devise : Parasparopagraho Jivanam (« les vies se doivent un mutuel respect »). Symbole Jaïn ; le svastika est un symbole majeur du jaïnisme. Les cinq vœux majeurs des jaïns sont :

Les Douze Clefs de philosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mise en forme de cet article est à améliorer(octobre 2018). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. Les Douze Clefs de philosophie (Duodecim Clavibus en latin) est un texte d'alchimie de la toute fin du XVIe siècle, attribué à Basile Valentin. Est-ce que cette page s'est affichée suffisamment rapidement? Merci pour ce retour ! Histoire[modifier | modifier le code] Largement reproduit, il a été publié pour la première fois en 1599 à Eisleben par Johann Thölde, qui est probablement le véritable auteur du livre[2].

Parsisme. On entend par Parsisme l'ensemble des dogmes, des croyances religieuses, des moeurs et des coutumes des sectateurs de Zoroastre, adorateurs du feu, dont la colonie la plus importante est établie depuis des siècles sur la côte Nord-Ouest de l'Inde, où elle vit presque exclusivement de négoce. Des Parsis vivent aussi au Pakistan et en Iran. Le mot parsisme dérive du nom de parsi, qui est celui par lequel on désigne généralement les zoroastriens; ce nom est postérieur à la conquête qui fit passer la Perse sassanide sous le joug des califes omeyyades, puis des abbasides; il dérive du mot Pars, qui, dans la langue ancienne comme dans la langue moderne, est appliqué à l'une des provinces de l'Iran (Farsistan), aussi connue sous le nom de Susiane. Les Parsis ont adopté ce nom, quoiqu'ils ne l'emploient pas volontiers, préférant se servir de celui de beh-din (anciennement véh-din et shapir-din), « homme de la bonne religion » et de mazdayasn, « mazdéen ». Le culte mazdéen

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