background preloader

DROIT DE LA MER

Facebook Twitter

Brésil : tout comprendre à l’opération « Lava Jato » Une étape historique a été franchie, le 12 juillet 2017, au Brésil, dans l’enquête « Lava Jato » (lavage express), le plus grand scandale de corruption de l’histoire du pays. Moins d’un an après l’« impeachment » de la présidente de gauche, Dilma Rousseff, l’ancien chef de l’Etat, Inacio Lula da Silva, a été condamné à neuf ans et six mois de prison, peine par la suite alourdie à douze ans et un mois en deuxième instance. En avril 2017, le Tribunal suprême fédéral (TSF), la plus haute juridiction brésilienne, avait annoncé l’ouverture d’une gigantesque enquête concernant au moins huit ministres du gouvernement, des dizaines de députés et sénateurs.

La Cour suprême a également transmis à des juridictions inférieures les demandes d’investigation visant trois ex-présidents, Luiz Inacio Lula da Silva, Dilma Rousseff et Fernando Henrique Cardoso. S’agit-il d’une occasion unique de « nettoyer » une fois pour toutes le système politique brésilien ? 17 mars 2014, naissance de l’affaire M. L'innovation pour la survie des mers et océans. Simon Bernard prépare son tour du monde avec son catamaran «Plastic Odyssey» propulsé par les déchets plastiques Simon Bernard et Alexandre Déchelotte, deux copains diplômés de l’Ecole Nationale Supérieure Maritime (ENSM), sont les fondateurs de Plastic Odyssey.

L'innovation pour la survie des mers et océans

Leur ambition consiste à traiter le problème de la pollution plastique des océans à la source. Le projet consistera en une expédition maritime de trois ans autour du monde avec des nombreuses escales dans les ports des pays émergent pour éduquer, développer et partager des solutions open sources de recyclages du plastique sous toutes ses formes. Cette expédition devrait débuter fin 2019 à bord d’un catamaran de 25 mètres qui sera construit à la Rochelle et dont la particularité est d’être propulsé grâce aux déchets plastiques non recyclables. Ces déchets plastiques récoltés sont triés, broyés, fondus, puis transformés en carburant dans une unité de pyrolyse. Transport maritime : les startups, des moteurs d’innovations.

La réglementation sur les émissions d'oxyde de soufre, d'oxyde d'azote et de CO2 est de plus en plus contraignante afin de garantir un transport maritime plus propre.

Transport maritime : les startups, des moteurs d’innovations

La dernière des réglementations ayant impacté le transport maritime est le "2020 Global Sulphur Cap" mise en place par l'Organisation Maritime Internationale (OMI). Elle impose depuis le 1er janvier 2020 une limitation de la teneur en soufre des carburants utilisés par les navires à 0,5 % (contre 3,5 % auparavant) sur l'ensemble des mers du globe. D'autres réglementations sont à venir sur les émissions d'oxydes d'azote du transport maritime, qui représentent plus de 17 % des émissions mondiales et qui seront plus restrictives dans les zones d'émission contrôlées à partir du 1er janvier 2021.

L'OMI a également pour projet d'ici à 2030 de réduire de 40% les émissions de CO2 par tonne transportée par rapport à 2008 et de réduire d'ici à 2050 le volume total des émissions de CO2 annuelles d'au moins 50 % par rapport à 2008. L'Arctique : le nouvel Eldorado de l'or noir ? Avec le réchauffement climatique, de nouvelles opportunités semblent se dessiner en Arctique, que ce soit en terme de transports avec les nouvelles routes maritimes qui s’ouvrent “grâce” à la fonte des glaces par exemple, ou bien, en terme d’exploitation énergétique.

L'Arctique : le nouvel Eldorado de l'or noir ?

Dans nos économies hyper productivistes, la ressource essentielle est le pétrole. Cette dernière se raréfie à force d’être exploitée. Ainsi, la découverte de nouveaux gisements pétroliers semble vitale. Avec le climat qui s’adoucit en Arctique, des gisements sont désormais plus accessibles. Pourtant, faut-il considérer l’espace polaire comme le nouveau puits de pétrole du monde ?

Une exploitation très coûteuse, trop coûteuse ? L’exploitation des ressources polaires est très complexe. Pour les gisements onshore (sur la terre ferme), le réchauffement climatique cause de nouvelles contraintes, comme par exemple l’effondrement des sols dû à la fonte du pergélisol. Le bateau français qui transforme l’eau de mer en boisson.