36% des enfants de Fukushima présentent des excroissances anormales. L'avenir de l'entreprise passe par le "crowdfunding" Un mouvement mondial sans précédent. La sève monte.
Avec l’expérience des incroyables comestibles de Todmorden, nous assistons à un mouvement mondial sans précédent. De proche en proche, des femmes et des hommes de tous les continents ont décidé de changer de regard. Ils ont entrepris de quitter la peur du manque et de vivre l’expérience de l’abondance par la co-création joyeuse du partage. Une nouvelle civilisation émerge ! Une civilisation de paix, d’entraide et de bienveillance. On vient du monde entier pour voir et comprendre. Chacune, chacun, chaque collectivité locale peut se rendre à Todmorden pour voir et comprendre en quoi le mouvement est inclusif, en quoi il est ouvert à tous. Des conférences sont organisées sur place, suivies de visites de la ville et de rencontres avec les habitants volontaires. Le lien vers la Parade Festive se trouve ICI. Rio+20: l'opération séduction de François Hollande.
Pierre Larrouturou: "Il faut arrêter les rustines et changer l'Europe" Le collectif Roosevelt pour éviter l'effondrement. Green Deal. La crise du libéral-productivisme et la réponse écologiste. Votre référence : [2012a] Green Deal.
La crise du libéral-productivisme et la réponse écologiste, éd. La Découverte, Paris, 182 pages. (art. 2712). Green Deal. La crise du libéral-productivisme et la réponse écologiste. La crise actuelle n’est pas seulement une crise financière, une crise de la dette, de la folie des traders et de l’économie casino. Nous pouvons nous en sortir, à condition de faire retour, non seulement sur trente ans de libéralisme débridé, mais sur un siècle de productivisme irresponsable. En 1932, Roosevelt avait proposé un New Deal entre les classes sociales. Partant d’une analyse du modèle en crise, le « libéral-productivisme », ce livre démonte les mécanismes multiples de cette crise, puis il présente les premiers pas d’un Green Deal, de la réponse cohérente aux crises financières, sociales, écologiques. Mais les obstacles politiques et même psychologiques sont légion.
Table de matières Introduction 1. Un taylorisme répressif. Pierre Larrouturou : « Il n’y a aucun espoir de retrouver la croissance » Bonjour Mr Larrouturou, concernant les décisions politiques qui doivent être prises dans les 6 mois qui suivront l’élection présidentiel, il faudrait que l’on m’explique et qu’a partir du moment ou nous sommes plus souverain sur le plan financier, politique, économique et social, comment ses mesures peuvent être adoptés (bonne chance Hollande les marchés seront plus fort que toi).
Il aurai fallu réfuter en bloc l’Europe ( vous les économistes) car c’est quand du même du jamais vue dans l’histoire des civilisations que les états nations deviennent des consommateurs de crédit auprès de banques privées. Je ne comprends pas comment dans le jargon économiste il est devenu normal qu’un pays emprunte, que depuis que le monde est monde et surtout dans l’histoire de la création des états nations, les finances dépendent de la BCE et autres institutions financières (illégitimes en elles mêmes), que nous ne pouvons plus battre monnaie (les traités l’interdisent).
Edgar Morin et François Hollande, le pouvoir, pour quoi faire ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nicolas Truong Le candidat qui veut être "un président normal" et le philosophe de la "démesure", le socialiste de la "synthèse" et le sociologue de la "complexité" se sont rencontrés au coeur de la campagne.
L'idée consistait à confronter leur vision de la gauche, du progrès et du nouveau désordre mondial. Car la crise que nous vivons est pour Edgar Morin une crise de civilisation. C'est le socle même de ses valeurs et croyances qui vacille sur ses fondations. Car l'Occident a trop longtemps voulu séparer, compartimenter et diviser les sciences et les disciplines comme les problèmes économiques et sociaux. C'est d'ailleurs le sens du mot et du concept de "complexité" dont Edgar Morin s'est fait le penseur opiniâtre et le défenseur acharné.
Il faut dire que le premier tour de la présidentielle a démenti les sondages. Les écrivains ne sont pas en reste. François Hollande, la métamorphose. Faut-il que l’astre strausskahnien soit aveuglant, en cet été 2010, pour que les délégués et les dirigeants du PS, réunis en université d’été, à La Rochelle, ne remarquent rien de particulier chez François Hollande.
Rien dans le regard, rien dans la silhouette. Pas davantage, évidemment, dans ce masque protecteur, si utile – sourire, humour et bonhommie – que leur ancien premier secrétaire affiche depuis si longtemps à leur contact. C’est à peine s’ils notent qu’il fait le jeune homme, depuis sa rupture avec Ségolène Royal et son idylle avec Valérie Trierweiler.