Quels lieux pour le travail du futur ? Un nouveau lieu de coworking près de la gare à Montpellier. Derrière l'association Cowork'in Montpellier se cache six professionnels indépendants du web. Leur démarche est simple : réunir en un même espace différents professionnels ayant besoin d'un bureau. Bonne humeur recherchée. Les espaces de coworking se développent plutôt bien à Montpellier. La démarche est plaisante pour les travailleurs indépendants et les auto-entrepreneurs. Il s'agit de réunir dans un même espace de travail différents professionnels désireux de posséder un bureau hors de leur domicile. L'association Coworkin' Montpellier a créé un espace de coworking communautaire situé au 22 rue de la République à proximité de la gare. Pour l'instant le local est équipé d'une imprimante couleur multifonction, d'un frigo, d'un percolateur, d'écrans, d'une connexion internet et de quelques chaises et bureaux.
Afin de s'installer confortablement dans les bureaux, l'association Coworkin' Montpellier lance un appel aux dons via le site communautaire de financement de projet Ulule. Jellyweek : la fête mondiale du coworking. LES TIERS-LIEUX, Espaces d’émergence et de créativité » Tiers Espace. Écritures collaboratives en recherche-action, émergence d’un chercheur collectif Écrit à l’occasion d’une intervention dans un séminaire sur « Écrire la recherche en travail sanitaire et social », ce texte est issu d’un travail collaboratif avec un groupe de travailleurs sociaux du Limousin qui se nomme « Groupe d’Action Collective » et qui est engagé dans une démarche en recherche-action dans le cadre du PREFASS Lire la suite COPA Via Paysage, Recherche-Action dans l’espace public Collectif du Patrimoine Spontané ou la fabrication participative de projets culturels et interactifs avec l’espace public Du mardi 25 mars au mardi 2 avril dans la Serre pédagogique du Grand Parc de Saint-Ouen puis dans le Jardin du 54, venez participer avec nous à la fabrication du « Module Nomade Urbain 2014 » dans le cadre de Lire la suite Acteurs et chercheurs en territoires de montagne Recherche-action sur les solitudes Recherche-action « L’art en partage » Recherche-action « Pouvoir d’agir des habitants »
Centres d'affaires, partage de bureaux, coworking, télécentres. Télécentres : échec, réussite ou dimension expérimentale ? Le géographe Bruno Moriset vient de publier une nouvelle note de recherche intitulée Les télécentres dans les territoires ruraux français : Essai d’évaluation. Un essai qui met en évidence les conditions du succès du développement rural à l’aide de télécentres. La note de Bruno Moriset est un complément de son précédent article sur les télécentres et le développement rural. Il fait cette fois-ci un point précis et sévère du développement des télécentres en France après les avoir à peu près tous joints par téléphone : 10 centres ne voient jamais de télétravailleurs6 centres sont fréquentés d’une manière sporadique, avec des périodes de vacance complète durant parfois plusieurs mois, surtout en hiver8 centres reçoivent entre un et cinq télétravailleurs réguliers ou permanents1 réseau de trois centres est fréquenté par 17 utilisateurs réguliers1 centre compte 14 utilisateurs réguliers.
Un constat qui permet de tirer quelques enseignements. What’s Mine is Yours: The Rise of Collaborative Consumption. Du redressement productif à la consommation collaborative. Durant cette journée, des (jeunes) dirigeants de start-up venus de France mais aussi d’Italie, de Scandinavie, d’Espagne ou d’Allemagne ont démontré avec force, vigueur et enthousiasme toutes les solutions de partages qui existent aujourd’hui pour voyager chez l’habitant (AirBnB, Bedycasa) , louer des ustensiles de cuisine dont on ne se sert que 2 à 3 fois par an (Ma petite cuisine), utiliser la voiture (blablacar)ou même la machine à laver de son voisin (La machine du voisin) ou bien encore acheter ses fruits et légumes via des circuits courts et en achat groupé mais en pouvant en même temps financer les projets de l’agriculteur a qui l’on achète ses produits (La ruche qui dit oui).
Tout d’abord, la consommation collaborative répond à la pénurie de matières premières qui a déjà commencé et qui va décupler à mesure que les BRICS et autres pays dits « émergents » vont se développer. Optimisation des usages via le partage, réutilisation et recyclage sont en effet au centre de ce modèle.
Synthèse de la réunion Makerspace du 15 mai. "Je coworke avec un télétravailleur dans un tiers-lieu" Si j'avais voulu inventer un titre incompréhensible au plus grand nombre, je ne m'y serais pas prise autrement. Pourtant, cette phrase résolument ridicule emploie trois mots fort en vogue sur les sites qui se piquent de repérer l'impact des TIC sur nos habitudes et organisations de travail.
Coworking, télétravail, tiers-lieux : de quoi parle t-on ? Le coworking : désigne le fait de travailler avec d'autres dans un même bureau. A la limite, si vous travaillez dans un bureau partagé avec un ou des collègue(s), vous coworkez. Mais vous vous doutez bien que si cette action est considérée comme nouvelle, c'est qu'elle désigne autre chose que l'habituelle vie de bureau. Le coworking nouvelle manière, donc, c'est le fait de se retrouver dans un espace partagé avec des gens qui ne sont pas vos collègues mais viennent aussi y travailler.
Mots dérivés : coworker (verbe, à prononcer en bon français "quoworquer") et coworker (nom, à prononcer en bon français "quoworqueur"). Pas de termes dérivés. Pourquoi la "révolution douce" du télétravail ne prend pas. En 1973, lorsque Jack Nilles, ancien ingénieur en télécommunications à la NASA, étudia pour la première fois la possibilité d’utiliser l’électronique pour travailler à distance, il fut impressionné pars tous les avantages potentiels que cela représentait.
Il n’était nul besoin d’être un scientifique chevronné pour en comprendre l’intérêt. La société économiserait des milliards en essence et en heures de travail productives. Les entreprises verraient chuter les dépenses liées à leurs locaux et auraient des équipes bien plus fraîches et dispos. Quant aux employés, libérés des heures passées sur l’autoroute et dans les trains de banlieue, ils bénéficieraient d’une meilleure qualité de vie, avec plus de temps, d’énergie et d’argent disponible pour leurs amis et leur famille.
Vous avez dit révolution ? 40 ans plus tard, nous sommes pourtant toujours coincés au bureau. Contraintes sociales Pourquoi, alors, le télétravail n’a-t-il pas « pris » davantage ? Je fais du coworking, l'ère annoncée de la fin de la glande. Chers co-lecteurs, Depuis quelques semaines, je peux enfin répondre quelque chose à la question bouleversante que ne manque pas de poser untel à autretel quand ils se croisent : “Quoi de neuf, vieux ?”. Trépignant d’impatience, je cache alors mon enthousiasme en répondant nonchalamment : “Je fais du coworking”. Mon interlocuteur feint de savoir de quoi il s’agit, et espère le découvrir en m’écoutant. Conscient de son petit jeu, je me tais, et il abandonne enfin en me demandant benoîtement ce qu’est le coworking.
La Ruche, espace de coworking à Paris, le 28/07/2010 (STEVENS FREDERIC/SIPA) L’autre connard... pardon... mon interlocuteur me dit alors : “Ah, une pépinière d’entreprises !”. Je continue quand même. Enfin presque. Il fut un temps, disons entre le milieu des années 90 et le milieu des années 2000, où il était plutôt bien vu de n’être rien quand on était un jeune adulte. "Bref" (comme dit l’autre loser) ! Mes coworkers, non ! Vers 17h30, je sors enfin, suant froid, de cet espace. La consommation collaborative investit le marché des bureaux.
Après les voyages (airbnb.com), les voitures (unevoiturealouer.com), les objets (e-loue.com), c’est au tour des bureaux (eworky.com) d’être conquis par le phénomène de la consommation collaborative et plus précisément du partage. Mais que va changer le "peer-to-peer" sur le marché du bureau ? D’abord, ce sont les composants du bureau – postes de travail, salles de réunion – qui s’échangent de manière liquide et non plus seulement le bureau fermé dans sa globalité.
Ainsi le marché s’ouvre à une nouvelle demande : nomades, indépendants, télétravailleurs, TPE, professions libérales, start-up pour qui le bureau traditionnel est trop cher et insuffisamment flexible. Ensuite, c’est la dimension temporelle qui se trouve profondément modifiée : plus de sous-location, de baux 3/6/9 ou précaires, le poste de travail se réserve à la journée ou au mois. Technologie Communauté Le partage ouvre vers les autres, abaisse les barrières de défiance qui se dressent naturellement entre deux étrangers. Écologie. Coworking et médiation numérique au service de l’emploi | Zoomacom. Le 6 juin 2012 Pôle-Emploi et ses partenaires s’associaient pour organiser une Journée d’information dédiée aux cadres. Zoomacom y intervenait sur deux points : le coworking, que l’association expérimente en pratique au Comptoir Numérique de St-Étienne. Coworking qui fait également l’objet du focus du dossier du mois de Pôle-Emploi, dans un article du 30 mai 2012 : Le coworking, késako ?
La médiation numérique pour les demandeurs d’emploi. eux aspects qui font partie du modèle de tiers-lieu que propose Zoomacom et Openscop au Comptoir Numérique. L’association a installé, dans les locaux de la Maison de l’Emploi, un espace public numérique et espace de coworking temporaire, avec son indispensable service de conciergerie, en mobilisant son centre multimedia itinérant.
Tiers-Lieu « EPN + Coworking » quel intérêt pour l’emploi ? Génération free-lance. XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Management Bienvenue dans les nouveaux modes d’emplois, nomades et hybrides Imaginez un monde sans CDI, sans bureaux ni employeur attitrés. Quelle que soit la réponse, aux entreprises, désormais, d’inventer le management qui va avec. . “ Ils sont mobiles, connectés, autonomes, réactifs. De l’emploi fixe et à durée indéterminée… Quoique réellement visible depuis peu, le phénomène n’est pas totalement nouveau. Tendance encore renforcée par l’état actuel du marché de l’emploi. “Pour rester employable, il faut être mobile, assène Christophe Bouruet. Une évolution dont les salariés ont visiblement pris conscience. Réguler l’activité.
. … à l’emploi hybride et nomade Cela ne signifie pas qu’on ne croit plus au CDI. Le coworking, choix d’avenir ou plan B ? Imagination for People | Groupe de travail | Tiers-Lieux. Le concept de tiers lieu : retour aux sources. La thèse des tiers lieux, développée par le sociologue Ray Oldenberg, est devenue célèbre pour avoir été utilisée dans la stratégie de marketing des cafés de la marque Starbuck. À la longue, on a fini par la confondre avec la recette Starbuck: faites un sondage, offrez le wifi et le café dans un lieu convivial et le tour est joué, disait-on. Une formule assez aisément exportable dans des lieux comme les librairies, les bibliothèques, les hôtels, et on ne s’en est pas privé. Mais, au-delà des ingrédients de surface, ce modèle représente un véritable projet de sociétéculturedesign que l’on a généreusement galvaudé et caricaturé depuis, faute d’en connaître les fondements.
Pour mémoire, je reviens à la source, c’est-à-dire au texte de Ray Oldenberg lui-même et pas au slogan ramassé sur Google qui confond la thèse des tiers lieux qu’on n’a guère lu avec le spécial « design» d’un magazine de déco qu’on a préféré lire pour critiquer ces systèmes sociaux. Retour à la source, notes de lecture 1.