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Eco-villages

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Non, tout ce qui pousse en ville n’est pas pollué. Les projets d’agriculture urbaine se multiplient dans l’Hexagone, comme en Île-de-France où l’on recense actuellement 367 hectares d’initiatives dans ce domaine. La mairie de Paris s’est emparée de cette thématique pour en faire une promesse politique : en 2020, la ville souhaite comptabiliser 100 hectares de toitures et façades végétalisées, dont 30 hectares productifs, grâce notamment aux appels à projets Parisculteurs. Cette médiatisation s’accompagne d’une prise de conscience croissante concernant la qualité sanitaire des cultures en ville – où la pollution est une préoccupation omniprésente – et les risques associés pour les usagers. Est-il possible de produire sainement en zone urbaine ?

Sources de contamination en ville Il existe deux voies principales de contamination susceptibles d’affecter les cultures urbaines. Il y a tout d’abord la terre – dit sol ou substrat – dans laquelle les cultures poussent ; celle-ci peut les contaminer via le transfert racinaire du sol à la plante. Un robot dopé à l'IA pour améliorer le tri des déchets. Un nouveau robot de tri des déchets, capable d'effectuer 3.600 gestes à l'heure, vient d'entrer en service en France, à Amiens.

Une première en Europe sur une chaîne de tri de déchets ménagers. Un centre de tri des déchets ménagers d'Amiens (Somme) s'est doté d'un robot trieur dopé à l'intelligence artificielle, une première européenne selon l'entreprise gestionnaire, pour moderniser un secteur du recyclage promis à une forte croissance. Installé depuis le mois de juin sur un site du groupe Veolia dans cette ville du nord de la France, le robot Max AI, fabriqué par une société américaine, est capable de reconnaître certains types de déchets indésirables sur le tapis roulant d'une chaîne de tri et, avec un bras articulé, de les en écarter. « Nous l'avons installé sur une chaîne de déchets fibreux[petits papiers et cartons, N.D.L.R.].

Le robot peut effectuer 3.600 gestes de tri par heure, contre environ 2.200 pour un opérateur humain. Pour l'instant, il apprend et a encore quelques ratés. À propos – Réseau Français des Ecovillages. Projets d’Ecovillages, quelque part, sur notre belle planète … et plus particulièrement en France. Ce groupe se veut constitué de personnes / groupes, en phase de construction d’écovillage ou en questionnement et ayant adopté les principes de l’écologie et du respect du vivant => agrobio / permaculture / végéta-isme / école alternative et éducation joyeuse / activités économiques artisanales et collectives / partage des décisions … Si vous ne connaissez pas encore ce concept, parcourez ce site qui s’enrichira au fur et à mesure de nos disponibilités, vous pouvez aussi vous tenir informé sur la page « » ou « » et nous rejoindre une fois décidé. Sur FB vous trouverez également le groupe « Projets Ecovillages » créé en 2012 par une membre du réseau international de retour en métropole et ancienne membre du RFEV de 1998 à 2004, Marie-Line DUPUY.

A bientôt vous lire … WordPress: J'aime chargement… La vie de quartier à la mode « agrihood » - We Lab. Soyez les bienvenus dans notre agrihood… Voilà ce que nous lirons peut-être dans quelques années à l’entrée des quartiers les plus récents. Mais qu’est-ce donc qu’un agrihood ? Cette toute nouvelle expression désigne un quartier urbain construit autour de l’agriculture. L’agriculture y joue alors un rôle à la fois central et multiple : nourricier, paysager mais aussi social et fédérateur. Fréquent en campagne, cette façon d’envisager la construction et la vie d’un quartier fait désormais son apparition en ville. Agrihood: le retour à la terre Nous le savons, la relocalisation de l’économie est une tendance lourde, particulièrement pour tout ce qui concerne l’alimentation La demande de nourriture saine et locale a déjà bouleversé nos circuits alimentaires.

Et elle pourrait même aller jusqu’à redessiner nos périphéries urbaines. Car pour répondre à cette demande croissante, les villes consacrent de plus en plus d’espaces à l’agriculture urbaine. MUFI – droits photo: Michelle & Chris Gerar. Agrihood. An agrihood is a type of planned community that integrates agriculture into a residential neighborhood. The purpose is to facilitate food production as well as provide green space, recreation, aesthetics and value for a community.[1] The Urban Land Institute defines agrihoods as "single-family, multifamily, or mixed-use communities built with a working farm or community garden as a focus.

"[2] In 2014, the term "agrihood" was first introduced by Southern California-based development company Rancho Mission Viejo LLC as a marketing trademark to target affluent millennials who wanted housing closer to fresh food.[3][4][5][6] Agrihoods are based around the concept of integrating farms and gardens into neighborhoods, allowing for the development of residential neighborhoods that have a rural feel.[1] Integrating agriculture into neighborhoods also allows for communities to supply themselves with locally-produced food. Urban agrihood[edit] References[edit] Further reading[edit] Like start-ups, most intentional communities fail – why? At 16, Martin Winiecki dropped out of school and left his home in the German city of Dresden to live full-time at Tamera, a 300-acre intentional community in the rolling hills of southwestern Portugal. His mother and father – a doctor and a professor of mathematics – were reluctant to let him go. ‘It was quite a shock for them,’ Winiecki remembers.

Born in 1990, just a few months after the collapse of the Berlin wall, Winiecki came of age in a society in limbo. The atmosphere of the former GDR still clung to people. ‘It was a culture that was so formal. So obligation-oriented. That had no heart. Founded by the psychoanalyst and sociologist Dieter Duhm in Germany in 1978 and re-founded in Portugal in 1995, Tamera aspired to dissolve the trauma of human relationships. Communitarian experiments such as Tamera are nothing new, although its longevity – almost 40 years – is unusual.

Why then do utopian communities so often fail? Updates on everything new at Aeon. Fermes agricoles : une réussite nommée Songhaï. Les fermes Songhaï offrent un modèle de développement autonome et rentable, grâce à une utilisation intelligente des ressources. Les caméras de Réussite vous emmènent au Bénin, à la rencontre de leur fondateur Godfrey Nzamujo pour qui rien ne se perd, tout se transforme. Il y a trente ans, Godfrey Nzamujo, microbiologiste et ingénieur américain d’origine nigériane, a quitté la Californie pour créer à Porto-Novo, au Bénin, le premier centre Songhaï : une ferme agro-industrielle et écologique. Aujourd’hui, 17 fermes Songhaï sont implantées au Bénin, au Nigeria, en Sierra Leone et au Liberia et responsables politiques, associations, simples curieux des pays de la région visitent ces surprenantes exploitations rentables et autosuffisantes qui offrent un modèle de développement durable.

Autonomie Si les fermes Songhaï ont généré 7 milliards de F CFA (10,67 millions d’euros) de chiffre d’affaires pour un bénéfice de 600 millions en 2013, Godfrey Nzamujo n’entend pas s’arrêter là. Les Français veulent plus de nature en ville. Smart city, ville résiliente, ville intelligente, ville connectée … les villes de demain sont au coeur des grands enjeux de notre époque.

Nous serons en effet 75% à vivre en zones urbaines en 2050, ces espaces représentent déjà deux tiers des émissions de gaz à effet de serre, et sont devenus des sujets de santé publique, via notamment les répercussions sociales et sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine. Si les élus et les professionnels sont en effervescence pour développer nouvelles idées et projets de ce renouveau urbain, comment les principaux intéressés, les habitants, définissent-ils cette « ville de demain » ? Les Français veulent plus de nature en ville, premier critère attendu des « villes de demain », devant la réduction de la pollution et davantage de mixité habitat-travail, selon une enquête nationale de NewCorp Conseil. Deux ressentis encore plus nettement exprimés par les femmes de l’échantillon, plus sensibles à ces questions de manière évidente. Ville intelligente : Bill Gates veut construire une smart city. Bill Gates vient de prélever 80 millions de dollars dans sa fortune, une goutte d'eau, pour acheter des terrains en Arizona.

L'objectif est d'y développer un laboratoire pour les villes de demain, c'est-à-dire une « smart city », une ville intelligente du nom de Belmont. Ce qu'il faut retenir Ces villes intelligentes sont en cours de développement et Bill Gates veut catalyser celui-ci. Il vient d'acquérir des terrains en Arizona afin de construire Belmont, une smart city laboratoire.L'humanité devrait compter au moins 9 milliards de personnes d'ici 2050 dont la majorité seront dans des villes. Ces cités devront être intelligentes et écologiques pour répondre aux besoins en énergie et en eau en plein changement climatique.Ces villes intelligentes sont en cours de développement et Bill Gates veut catalyser celui-ci.

Toutefois, il n'y a pas de solution miracle unique. Belmont, la ville intelligente de Bill Gates Une ville intelligente, une smart sity, c'est quoi ? Sidewalk Labs. Sidewalk Labs is Alphabet Inc.'s urban innovation organization. Its goal is to improve urban infrastructure through technological solutions, and tackle issues such as cost of living, efficient transportation and energy usage.[2][3] It is headed by Daniel L. Doctoroff, former deputy mayor of New York City for economic development and former chief executive of Bloomberg L.P.[4] Other members include West Coast-based former Andreessen Horowitz junior partner Sam Gerstenzang; Anand Babu, ex-Google manager of Google Now software;[5] and Craig Nevill-Manning, co-founder of Google's New York office and inventor of Froogle.[6] Projects[edit] Intersection and Link[edit] Flow[edit] Sidewalk is also working with the U.S.

Project Sidewalk and Sidewalk Toronto[edit] In October 2017, it was announced that Sidewalk Labs would develop Quayside, a 4.9 hectares (12 acres) site in Toronto's East Bayfront neighbourhood. References[edit] The ‘Tesla of Ecovillages’ Is Building Self-Reliant Villages for the Coming Billions. In an interview at Singularity University’s Global Summit in San Francisco, James Ehrlich shared insights on how combining lessons from nature with new technology is pushing sustainable housing into new frontiers. Ehrlich is the founder of ReGen Villages, a company that spun out of Stanford University and is building the “Tesla of ecovillages.” Ehrlich is also Singularity University faculty and won the Global Grand Challenge award in the shelter category at last year’s Global Summit. These sustainable neighborhoods integrate renewable practices in food, water, energy, and waste management to create self-reliant communities in which all essential needs for a healthy life are met within the footprint of that community.

“The idea is to take energy positive homes and add infrastructure that is actually regenerative. What that means is that the output of one system becomes the input of another,” said Ehrlich. Image Credit: Aisyaqilumaranas / Shutterstock.com. Tiny houses : notre sélection de mini-maisons nomades made in France. Is this Portuguese eco-village a 21st-century utopia? Photo by Laura Pazo (CC BY-NC-SA) As the sun rises over the Portuguese countryside, I find myself standing in a circle on top of a hill with a group of strangers, grasping hands, eyes shut.

We are gathered around a collection of enormous stones, a candle, a ceramic bowl filled with water, and a crystal. A woman in white robes is humming, and we are trying to stop the war in Syria using our thoughts in an exercise called the Ring of Power. I’m at the eco-village of Tamera, which is a two-hour train journey from Lisbon. More than 20 years ago, a band of Germans arrived here with little money and an ambitious plan to create what they called a “healing biotope,” a template of how humanity could live in harmony with themselves, their fellow humans and the environment. The Ring of Power was one of the items on the agenda for the forty of us outsiders. Tamera is split into two sites. While many Tamerians have a “primary partner,” nearly everyone has multiple sexual relationships.