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Manipulations, Fraudes et complots avérés

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Rendon Group. The Rendon Group is a public relations and propaganda firm headed by John Rendon which specializes in providing communications services both nationally and internationally.

Rendon Group

The Rendon Group website states, “For nearly three decades, The Rendon Group has been providing innovative global strategic communications solutions from our headquarters in Washington, DC. TRG utilizes state-of-the-art technology as well as traditional public relations tools, assisting leading commercial, government and military organizations.”[1] In a 1998 speech to the National Security Conference (NSC), company founder John Rendon described himself as "an information warrior, and a perception manager. " [2] James Bamford of Rolling Stone describes him as "The man who sold the [Iraq] war.[3] History[edit] John Rendon began his career as an election campaign consultant to Democratic Party politicians. Kuwait[edit] The Rendon Group's work in Kuwait continued after the war itself had ended. Affaire Iran-Contra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Affaire Iran-Contra

L’affaire Iran-Contra (ou Irangate, nommée ainsi en souvenir du scandale du Watergate) est un scandale politique survenu aux États-Unis dans les années 1980. L'affaire est toujours voilée de secrets et il est difficile de découvrir les faits. Plusieurs membres de l'administration Reagan ont vendu illégalement des armes à l'Iran, qui était un ennemi avoué des États-Unis, utilisant les profits pour financer secrètement, et malgré l'opposition du Congrès des États-Unis[1],[2], les Contras, un mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée regroupant les opposants au gouvernement sandiniste de Daniel Ortega.

Dans le cadre de la Guerre froide, il s'agit pour l'administration Reagan de renverser un régime considéré comme communiste[3] et situé dans ce que les États-Unis considèrent comme leur zone d'influence. Propagande de guerre. Enron. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Enron

Enron Histoire[modifier | modifier le code] Les débuts et le développement[modifier | modifier le code] L'entreprise est née en 1985, de la fusion d'Houston Natural Gas et de Internorth of Omaha. Son nom fut d'abord Enteron, composé de "En" pour Energy, de "on" de Houston et de "ter" pour la phonétique. Au début des années 1990 et avec l'arrivée de Jeffrey Skilling, ancien consultant de McKinsey, Enron adopte un nouveau model avec la création de la "Gas Bank", une chambre de compensation pour le gaz. Par la suite, Enron entreprend une diversification en élargissant son marché à l'ensemble des matières premières et offre des dérivés sur un grand nombre de sous-jacents.

Parmi les nouveaux produits lancés par Enron, on trouve : Fraudes et manipulations[modifier | modifier le code] En interne, Enron créa plus de 3 000 sociétés offshores. L'entreprise poursuivait simultanément une politique de communication agressive. Quel est le résultat ? La Cour suprême annule la condamnation de l'ancien PDG d'Enron. La Cour suprême des Etats-Unis a décidé jeudi 24 juin d'annuler la condamnation de Jeffrey Skilling, ancien PDG d'Enron, pour manquement à ses "obligations morales" lors de la faillite de la société en 2001.

La Cour suprême annule la condamnation de l'ancien PDG d'Enron

La plus haute juridiction des Etats-Unis a en revanche estimé jeudi que Jeffrey Skilling avait bénéficié d'un procès équitable en 2006. Elle a également annulé le jugement de l'ancien magnat de la presse Conrad Black. La Cour suprême a renvoyé les deux dossiers vers des tribunaux inférieurs pour déterminer le sort des deux hommes. Scandale du Watergate. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Scandale du Watergate

Le complexe immobilier du Watergate, abritant appartements de luxe, bureaux et hôtels. Bien que le cambriolage semble être une opération menée par d'anciens employés de la Maison-Blanche, l'affaire ne fait, dans un premier temps, que très peu de bruit. En apparence, l'enquête du FBI ne va pas loin. Cependant, deux journalistes du Washington Post, aidés par un mystérieux informateur surnommé Deep Throat (« gorge profonde »), publient de nombreuses révélations, en particulier sur les liens des cambrioleurs avec la Présidence, et sur les financements électoraux irréguliers de Richard Nixon. Ce dernier est néanmoins confortablement réélu en novembre 1972. Contexte[modifier | modifier le code] Politique[modifier | modifier le code] Richard Nixon lors de la campagne électorale de 1968.

Médias et renseignements[modifier | modifier le code] John Edgar Hoover, directeur du FBI, décédé quelques semaines avant le début de l'affaire.