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Theories

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WiTricity. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. WiTricity est une expérience de transmission de l'électricité sans fil réalisée par la corporation du même nom[1], conçue par Dave Gerding en 2005, et réalisée en 2007 par l'équipe de recherche de l'Institut de technologie du Massachusetts (MIT) dirigée par le professeur Marin Soljačić[2]. Le terme de WiTricity est un mot-valise pour « wireless electricity ». Description[modifier | modifier le code] Décharge électrique sur une vitre.

La witricity est fondée sur un système comprenant un transmetteur et un récepteur ayant des antennes à boucle magnétique syntonisées à la même fréquence. Comme l'installation fonctionne dans un champ électromagnétique dit proche (par opposition aux champs radiatifs ou lointains), les dispositifs de réception doivent être à une distance de quelques mètres du transmetteur. Le système utilise une gamme de moyennes fréquences (quelques mégahertz). En pratique[modifier | modifier le code] Créer de la valeur economique par les valeurs sociales (dec 2012.pdf) Disadvantages of Proportional Representation.

Proportional representation requires the use of multiple-member voting districts (also called super-districts[3]). Proportional representation is not possible using single-member districts alone.[2] Three types of voting systems are usually associated with PR:[4][5] Party-list PR systems where political parties define candidate lists and voters vote for a list; that is, they vote for a party rather than for specific candidates (a "closed list"). The relative vote for each list determines how many from each list are actually elected. An "open list" variant allows voters to indicate individual candidate preferences. Voting districts can be as large as a province or an entire nation, in which case a high degree of political proportionality is achieved.Single transferable vote (STV), where voters rank candidates in order of preference.

PR systems in the broader family of voting systems[edit] Most experts group electoral systems into four general categories: Fairness[edit] Coalitions[edit] La série documentaire "Capitalisme" Sir Ken Robinson - Changing Paradigms. Meritocracy. Definitions[edit] Early definitions[edit] Supporters of meritocracies do not necessarily agree on the nature of "merit", however, they do tend to agree that "merit" itself should be a primary consideration during evaluation. In a more general sense, meritocracy can refer to any form of government based on achievement.

Like "utilitarian" and "pragmatic", the word "meritocratic" has also developed a broader definition, and may be used to refer to any government run by "a ruling or influential class of educated or able people. " [4] This is in contrast to the term originally coined by Michael Young in 1958, who critically defined it as a system where "merit is equated with intelligence-plus-effort, its possessors are identified at an early age and selected for appropriate intensive education, and there is an obsession with quantification, test-scoring, and qualifications.

" [5] More recent definitions[edit] The most common form of meritocratic screening found today is the college degree. New Economic system/trends and new paradigms. What the 1% Don't Want You to Know. Putting empathy into economics | New Economics Foundation. June 24, 2014 // By: Susan Steed On Saturday, 50,000 people marched in protest against austerity. But if you look at the mainstream press the most important thing that happened was that Russell Brand took his top off. This is a shame, not least because the protest wasn’t given the attention it deserved in the media.

But also because Brand has an important message. But what does this actually mean? About 20 years ago an Italian neurophysiologist made a surprise discovery. This helps explain empathy - why you may feel happy around positive people, or wince when someone else gets punched. Why is this important for economics? A bigger challenge is that traditional economics doesn’t include empathy and focuses on individuals.

Very few economists working today have tried to look at this. The issue isn’t just in economics, often environmentalists and other campaigners take on its language to advance their cause. So, how would we go about creating an economy built on empathy? Issues Close. Salaire d'efficience. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le salaire d'efficience, en économie du travail, est une hypothèse expliquant la fixation d'un niveau de salaire supérieur à ce qu'expliquerait la seule loi de l'offre et la demande dans un marché en concurrence pure et parfaite, expliquant ainsi une partie du chômage des économies de marché contemporaines.

L'hypothèse de ce modèle veut qu'il y ait une liaison positive entre le niveau du salaire et l'effort productif du salarié. Le salaire d'efficience est un concept développé dans le cadre du nouveau keynésianisme (notamment par les économistes Carl Shapiro et Joseph Stiglitz en 1984[1]) pour expliquer une partie du chômage. L'idée n'est pas nouvelle. Il est possible d'en retrouver des écrits dans la tradition néoclassique au moins jusqu'à Alfred Marshall (1890)[2].

Cette théorie joue un rôle important dans l'analyse économique du marché du travail. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Jeremy Rifkin: The empathic civilization. Creating an alternative banking system. Rethinking Poverty. Ten ways we can build a better economic system. For the numerous readers who asked: "But what can we do? " after reading my "10 reasons to smash capitalism," here are ten ways we can build a better economic system: 10.

We can elect governments that represent people rather than corporations. This will require serious electoral reform and include laws to make it clear corporations are not people and therefore cannot participate in the political process. 9. 8. 7. 6. 5. 4. 3. 2. 1. Gary Engler is a Canadian journalist, novelist (The Year We Became Us) and co-author of the recently released New Commune-ist Manifesto -- Workers of the World It Really is Time to Unite (www.newcommuneist.com). Loi de Walras. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Walras. La loi de Walras est le point central de la théorie de l'équilibre général.

Elle peut se formuler de la façon suivante : Loi de Walras — Sur l'ensemble des marchés, la somme des demandes nettes pondérées par les prix est égale à zéro. On se sert souvent d'une conséquence de la loi de Walras : Corollaire de la loi de Walras — Dans une économie à N marchés, si N-1 marchés sont en équilibre, alors le N-ième marché est également en équilibre. Autrement dit, si un marché n'est pas équilibré, alors il y a au moins un autre marché qui n'est pas en équilibre. Portail de l’économie. DESINTOX TV » La Démocratie encore plus efficace que les dictatures ? (Noam Chomsky)

Peut-on penser le monde différemment? Liquid Democracy In Simple Terms. Devenir décroissants à l'Ere numérique? Hypothèse - Digitalis Purpurea. Cela fait maintenant quarante ans que le corps politique se débat autour du mythe de la croissance. Telle soeur Anne du haut de sa tour, il scrute l’horizon économique à le recherche du moindre signe qui lui permettrait d’escompter des jours meilleurs qui, au fil des décennies, il faut le reconnaitre, se font de plus en plus rares. Et si la croissance disparaissant pour de bon? Si elle ne revenait plus? Mais peut être est-ce le compteur qui n’est plus le bon. Mais il y a autre chose, plus structurel : dans notre économie, nous assistons de plus en plus à l’expression de ces gains d’opportunités permis par le numérique.

Tout cela repose massivement sur la multitude et la donné. L’incapacité de nos soit disant élites à repenser le monde autour de nouveaux paradigmes devient de moins en moins acceptable tant il nous met chaque jour plus en danger. . [1] Décroissance, Wikipedia : Crise... quelle crise ? - Les Econoclastes. Crise. Ce mot est utilisé par tous pour justifier l’environnement économique actuel… Mais la durée du phénomène doit désormais nous pousser à nous interroger : et si nous n’étions finalement pas en crise, mais vivions plutôt une transition profonde et durable ?

Parler d’une crise sous-entend que l’état final de l’économie redevient conforme à l’état initial, à savoir celui du couple croissance/inflation que nous avons connu au cours des trois dernières décennies. Or ce n’est pas le cas : nous vivons probablement aujourd’hui une transition nous faisant entrer dans un monde dans lequel le couple stagnation/déflation l’emporte. Cette conviction s’appuie sur une grille de lecture : celle de la démographie.

L’exemple le plus marquant du poids du déterminisme démographique sur l’économie est pour le moment le Japon. Chiffres clés : Le profil de consommation croisé avec les prévisions démographiques disponibles nous permettent de calculer un potentiel de croissance de la consommation. La guerre pour l'argent. Temps de lecture: 3 min Quand notre classe politique sortira de ses petites affaires et lèvera le nez au-delà des prochaines échéances électorales, elle découvrira que le monde qui vient est si lourd de menaces que les guerres sont à nouveau possibles. Telle est la sombre prédiction de Jean-Hervé Lorenzi, le président du Cercle des économistes, et de Mickaël Berrebi, auteurs d'un livre au titre glaçant: Un monde de violences. Les sources de conflits sont nombreuses et si «nous hésitons à évoquer la guerre… notre incapacité à les surmonter nous y conduira sans nul doute».

On avait connu Lorenzi professeur d'optimisme, le voilà effrayant. Le livre est, hélas! On s'arrête sur la finance parce que l'ouvrage présente une thèse nette: le monde financier s'est autonomisé dans les dernières décennies et aucun retour en arrière n'est possible. Cette finance spéculative, inarrêtable, n'oeuvre plus que pour elle-même. Le livre ouvre d'autres pistes. Nous y revoilà, à notre classe politique. Mindfulness: more than a fad, less than a revolution. Meditation is simply about being yourself, and knowing something about who that is. - Jon Kabat-Zinn. (The following post is a selection of ideas and links to add some texture and critical apparatus to help people better engage with the growing mindfulness phenomenon. It is by no means an exhaustive account, and was written mostly to make sense of how mindfulness connects with RSA’s work, past and present, which I refer to at the end.

While one can and should distinguish between mindfulness meditation and meditation in general, Kabat Zinn’s statement captures why RSA’s Social Brain centre is interested – mindfulness is a form of practice that helps to cultivate self-knowledge.) A colleague recently remarked that mindfulness was ‘on the way out’. And yet, people are right to react to the tendency to see mindfulness as a panacea before really knowing it deeply from a first, second or third person perspective.

So when people say ‘mindfulness’ they can mean 1. Mindfulness in Parliament. Complexity economics. Can Complexity Thinking Fix Capitalism? Reportage. Bhoutan : au pays du Bonheur National Brut De Marie-Monique Robin – ARTE GEIE / M2R Productions – France 2014 Niché au cœur de l’Himalaya, le petit royaume du Bhoutan a décidé d’en finir avec « la dictature du Produit Intérieur Brut (PIB) » et de la croissance économique à tout prix, en proposant un nouvel indicateur de richesse : le Bonheur National Brut (BNB).

Lancé par le 4ème Roi, le « nouveau paradigme » s’appuie sur quatre piliers : la protection de l’environnement, la conservation et la promotion de la culture bhoutanaise, la bonne gouvernance et le développement économique responsable et durable. Œil pour Œil : les réfugiés de Calais De Lionel Charrier - Agence MYOP Une caméra regarde un appareil photo : l'idée est plutôt simple mais pourquoi faudrait-il se compliquer la tâche pour filmer au travail nos confrères photographes ? A Calais, de nombreux Syriens mènent une vie d'errance en attendant l'opportunité de passer en Angleterre. RSA Animate - Crises of Capitalism. Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif. Bernard Stiegler est philosophe, théoricien de l’évolution des systèmes techniques. Il a découvert les modèles du libre de façon presque accidentelle, en tant que Directeur de l’INA.

Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou. Les modèles ouverts, contributifs et collaboratifs sont de plus en plus nombreux, la contribution s’étend à de nouveaux territoires, comment interprétez-vous cette évolution ? Avant de répondre, il y a un préalable, reconnaître que tous les modèles ne sont pas équivalents. C’est pour cela que je parle de pharmakon. Aujourd’hui, nous avons besoin d’une typologie des modèles contributifs.

Je travaille beaucoup avec des communautés de Hackers : jusqu’à “la crise Snowden” ils ne voyaient pas véritablement le caractère pharmacologique du net. J’ai une vision freudienne de l’économie. À qui appartiendra l'économie de demain? «Une économie contributive repose sur le développement des savoirs des individus, et le partage de ces savoirs est facilité par une propriété collective qui n’empêche pas sa circulation.»Ou comment penser l'après-demain quand l'économie sera pris d'assaut par le deep learning, en éliminant comptables, vendeurs, rédacteurs techniques, agents d'immeubles, etc... Posté un peu plutôt aujourd'hui sur Facebook par Alain Depocas, le lien vers cette réflexion de Bernard Stiegler m'interpèle. «Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif», dit Stiegler.

L’économie contributive est fondée sur la recapacitation : elle augmente la capacité des gens plutôt qu’elle ne la diminue. Il y a donc une utopie qui peut répondre au modèle capitaliste? Pas que ce n'est pas le cas, le savoir fait parti du bien commun, en théorie, mais dans les détails il y a des zones très grises (notamment au niveau du droit d'auteur). Intéressant, non? Le deep learning se nourrit du «Big Data». The American Form of Government. "Osons imaginer l'existence sociale en dehors du travail !" (Loic Wacquant)

Altermondialisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Slogans altermondialistes lors de la manifestation au Havre contre le sommet du G8 2011 à Deauville. Les mouvements altermondialistes regroupent divers acteurs qui, opposés à ce qu'ils appellent le « mondialisme néolibéral », jugé injuste et dangereux, revendiquent la mise en place d'une autre mondialisation. Leur diversité incite à parler davantage de mouvance que de mouvement au singulier. L'altermondialisme met en avant des valeurs comme la démocratie, la « justice économique et sociale », la protection de l'environnement et les droits humains.

Il s'agit donc pour ses acteurs de concevoir et d’œuvrer à une mondialisation maîtrisée et solidaire, par opposition à la mondialisation actuelle ou mondialisme. Néanmoins, on distingue des prises de position et des revendications communes à de nombreuses organisations concernant : Historique et structure[modifier | modifier le code] Composition[modifier | modifier le code] Économie circulaire. Commerce équitable. Low Tech Innovation. Infographie : Achetez malin, achetez local | Dilengo - Le blog. Public Banking Institute - Banking in the Public Interest.