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Budget 2018

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Rends l'ISF ! RENDEZ L'ISF D'ABORD ! Thomas Guénolé - L'antisocial va-t-il détruire le modèle social français ? Crèches : le nouveau racket du gouvernement sur les familles. #BDR31 : SPÉCIAL ROI DES RICHES & CONGRÈS DE VERSAILLES ! APL : aides au logement pas revalorisées, nouveau "manque à gagner" de 5 euros. La mesure était passée inaperçue jusqu'à ce 18 juin.

APL : aides au logement pas revalorisées, nouveau "manque à gagner" de 5 euros

Révélée sur Twitter par Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé Pierre et repérée par BFMTV, elle cible encore une fois les bénéficiaires de l'Aide personnalisée au Logement (APL), déjà touchés par une baisse des aides au logement de 5 euros en octobre dernier. Mais que prévoit exactement la disposition inscrite dans le Budget 2018 ? Tout simplement de geler le montant des allocations au logement, qui sont habituellement revalorisées tous les ans au mois d'octobre.

En effet, ces aides au logement, qui atteignent en moyenne 260 euros par mois selon les calculs de BFMTV, sont révisées en fonction de l'indice de références des loyers, l'IRL. Ce dernier correspond à "l'inflation moyenne des douze derniers mois (hors tabac et loyers)", précise la chaîne d'informations. Et cette année, il devrait augmenter de 1,8% ce qui aurait dû ajouter 4,68 euros mensuels à l'APL touchées par les bénéficiaires. Parlons #pognon. Taxe d’habitation : encore un cadeau aux riches !

Griveaux, le service après-vente du gouvernement qui laisse à désirer. Les hospitaliers ciblés et non épargnés par le gouvernement. Budget: les limites de la course au moins-disant fiscal - Page 2. Non à la deuxième journée de solidarité quand l'ISF est supprimée. Réforme de l'ISF: chez les ministres, le bingo pour Pénicaud. Les Décodeurs déconnent sur Mélenchon. "Votre politique ne veut pas réduire les inégalités, mais les creuser !" - E. Coquerel à l'AN. "VOUS AVEZ ATTRIBUE 9 MILLIARDS D'EUROS DE CADEAUX AUX PLUS RICHES !"ALEXIS CORBIERE. «La répartition de l’effort budgétaire est clairement déséquilibrée» - Page 2. Taxe sur les dividendes: les larmes de crocodile du Medef. La révolution fiscale selon Macron : une « grande machine à redistribuer à l’envers.

Les mesures fiscales se succèdent en rythme à l’Assemblée nationale, de la suppression de l’impôt sur la fortune à l’augmentation de la CSG.

La révolution fiscale selon Macron : une « grande machine à redistribuer à l’envers

Prises ensembles, toutes ces mesures dessinent une inquiétante politique fiscale qui met gravement en danger les missions d’intérêt général et de solidarité assumées par l’État, les collectivités locales et la Sécurité sociale. Les ressources publiques seront ponctionnées de plus de 53 milliards d’euros en faveur des grandes fortunes, des investisseurs ou des entreprises !

Un gigantesque déplacement de richesses vers le haut. Ce n’est plus un ruissellement mais un torrent de richesses qui se déverse… vers le haut ! Le projet de loi de finances 2018, en discussion à l’Assemblée nationale, ponctionne lourdement le budget de l’État. Un bonus de 53 milliards pour les plus fortunés A cela s’ajoute les intérêts que l’État verse à ses créanciers, auprès desquels il se finance, soit 41,6 milliards d’euros. La chronique de Jean-Michel Dumay. Présentation du contre-budget de la France insoumise. Banques: de l’ISF à l’impôt sur l’infortune. Coût réel de la “flat tax”: malgré les risques, Bercy joue l'autruche - Page 2. Quatennens - Bourdin : face à face très très tendu. La fin de l'ISF ne profitera pas à l'économie française, selon les chefs d'entreprise. Les dirigeants reprennent une pincée de confiance en octobre mais restent sur leurs gardes, selon les résultats de "La grande consultation" menée par Opinion Way pour CCI France/La Tribune/Europe 1*.

La fin de l'ISF ne profitera pas à l'économie française, selon les chefs d'entreprise

Suite aux ordonnances de réforme du code du travail, l'indicateur de l'optimisme avait chuté de façon vertigineuse en septembre à 97, soit le score le plus bas depuis la naissance du baromètre. Ce mois-ci, l'indice prend un point à 98, preuve que les chefs d'entreprises sortent légèrement de leur morosité. De même, alors qu'ils se disaient d'abord "inquiets" et "méfiants" le mois dernier, les 604 dirigeants interrogés dans le cadre de l'étude se déclarent "confiants" (37%), même si leurs craintes sont loin d'être dissipées. D'ailleurs, plus du tiers (35%) se dit toujours inquiet et l'attentisme progresse (+8 points). Edouard Philippe: Que le gouvernement rende public l'impact de sa politique sur les Français les plus riches. L’omerta sur les cadeaux de Macron aux ultrariches - Page 4. Même "Le Monde" s'aperçoit que le budget de Macron profite surtout aux plus riches. Les collectivités locales passent à la saignée - Page 3.

Le budget des riches - L'Heure du Peuple. Budget 2018 : la justice fiscale n’est pas au rendez-vous. Editorial.

Budget 2018 : la justice fiscale n’est pas au rendez-vous

Le premier projet de loi de finances de Macron avantage les Français les plus riches. Un déséquilibre que les parlementaires peuvent corriger. Editorial du « Monde ». Pour tout mandat présidentiel, la politique fiscale est un marqueur qui donne le ton. François Hollande avait promis une réforme de la fiscalité, vite oubliée au profit d’une avalanche de hausses d’impôts.

Thomas Piketty : « La suppression de l’ISF, une faute historique » Dans sa chronique, l’économiste explique que la fin de l’impôt de solidarité sur la fortune « montre une profonde incompréhension des défis inégalitaires posés par la mondialisation ».

Thomas Piketty : « La suppression de l’ISF, une faute historique »

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Thomas Piketty (Directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, Ecole d’économie de Paris) Chronique. Disons-le d’emblée : la suppression de l’impôt sur la fortune (ISF) constitue une lourde faute morale, économique et historique. Cette décision montre une profonde incompréhension des défis inégalitaires posés par la mondialisation.

Revenons en arrière. On observe peut-être aujourd’hui les prémices d’un mouvement similaire. Pendant les semaines qui ont précédé la présentation du projet de loi de finances pour 2018, les deux locataires de Bercy, Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics, et Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des finances, ont chanté sur tous les tons que ce budget n’était pas un « budget pour les riches ».

Lors de la présentation du PLF ce mercredi 27 septembre, il a répété que les mesures gouvernementales devraient profiter à « tous les Français ». Pour enfoncer le clou, un petit « livret du pouvoir d'achat », jaune canari, a été distribué pour montrer les effets bénéfiques des décisions budgétaires sur les ménages. D'ailleurs, dimanche 24 septembre, Bruno Le Maire dans le JDD énumérait toutes ces mesures avant de s'interroger : « Est-ce là une politique pour les riches ?

» Un budget d'inégalités - Page 2. Hausse de la CSG : « Trop, c’est trop, les retraités ne sont pas des vaches à lait » Une manifestation nationale doit avoir lieu jeudi contre cette mesure fiscale phare du gouvernement, qui touchera les retraités percevant plus de 1 200 euros net par mois.

Hausse de la CSG : « Trop, c’est trop, les retraités ne sont pas des vaches à lait »

A 65 ans, Lydia s’apprête à manifester pour la première fois de sa vie. Jeudi 28 septembre, cette retraitée descendra dans la rue, à l’appel de neuf organisations syndicales et associations, pour protester contre la hausse annoncée de la contribution sociale généralisée (CSG). « Le sentiment d’injustice m’est insupportable, fulmine-t-elle.

Le gouvernement a décidé d’appauvrir les retraités alors qu’ils ont travaillé toute leur vie, parfois jusqu’à quarante-huit heures par semaine. » Elle qui a travaillé jusqu’à 64 ans, « bien au-delà du départ légal auquel elle était contrainte », afin de se constituer une « rente convenable », ne supporte pas que le gouvernement décide de la lui baisser « sans compensation ». Cette augmentation devrait rapporter un peu plus de 20 milliards d’euros aux finances publiques. Les réformes Macron vont peser sur les classes moyennes - Page 2.