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Affaire Emmanuel Giboulot

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Relaxe en appel du viticulteur bio qui ne voulait pas traiter ses vignes » Collectif Info Médoc Pesticides (CIMP) VICTOIRE - Refuser les pesticides n'est PLUS un crime ! Cher-es ami-es, Les bonnes nouvelles en matière écologique sont suffisamment rares pour être saluées comme il se doit. Emmanuel Giboulot, viticulteur bio, qui s'était illustré en refusant de se soumettre à un arrêté préfectoral l'obligeant à épandre des pesticides pour lutter contre la flavescence dorée, a été relaxé par la cour d'appel de Dijon.

Menacé, en première instance, d'une peine de 1000 euros d'amende (dont 500 euros avec sursis), Emmanuel Giboulot a interjeté appel en considérant que refuser de polluer ne pouvait faire l'objet d'une condamnation, même symbolique. Une nouvelle fois, un lanceur d'alerte a réussi à faire plier un État qui, par la voix d'un préfet, estime que les vieilles recettes du productivisme agricole seraient encore la seule et unique méthode à appliquer unilatéralement. Par son opposition déterminée, Emmanuel Giboulot a mis en lumière l'extrême incohérence d'un État. Merci à toutes celles et ceux qui luttent pour une planète vivable :) Le-viticulteur-bio-anti-pesticides-emmanuel-giboulot-reconnu-coupable-a4395p1. Le viticulteur bio Emmanuel Giboulot qui avait refusé de traiter ses vignes avec des pesticides a été reconnu coupable ce lundi 7 avril par le tribunal correctionnel de Dijon et écope d'une amende de 500 euros.

Une peine qu'il qualifie de "symbolique mais pas juste". Le viticulteur bio Emmanuel Giboulot Le viticulteur bio Emmanuel Giboulot a reçu en 2013 un ordre préfectoral l'obligeant à traiter avec des produits chimiques ses 10 hectares de vignes exploités en biodynamie en Côte d'Or, contre l'insecte responsable de la flavescence dorée, une maladie incurable et mortelle de la vigne. Il a naturellement refusé. Mal lui en a pris car il s'est retrouvé devant le tribunal avec le risque d'être condamné à 6 mois de prison et de payer une amende de 30 000 euros.

Le viticulteur a cependant été reconnu comme "coupable" par le tribunal correctionnel de Dijon ce lundi 7 avril et a écopé ce lundi de 500 euros d'amende ferme. Stella Giani. Pourquoi l’histoire du viticulteur n'ayant pas voulu épandre un insecticide est plus complexe qu'il n'y paraît. L'affaire d'Emmanuel Giboulot, viticulteur bourguignon qui fut un temps susceptible d'être condamné à une peine de 30 000 euros d'amende pour avoir refusé de traiter ses vignes avec un insecticide, a suscité les passions auprès des citoyens défenseurs de la bio.

Pourtant, elle a éludé le vrai problème: la lutte contre la flavescence dorée, maladie mortelle de la vigne en expansion en France, pour laquelle aucun remède n'existe, mis à part la prévention. Plus de 500 000 internautes ont signé la pétition « En prison pour avoir refusé de polluer » ! Suite à la médiatisation du recours en justice d’un viticulteur en biodynamie, Emmanuel Giboulot, parce qu’il n’avait pas épandu un insecticide sur sa vigne. Une réaction scandalisée et compréhensible, y compris chez Bio Consom’acteurs : qui a envie d’avoir une amende pour avoir refusé de balancer du pétrole dans l’eau ?

Peu de modes d'actions efficacesLa flavescence s’étend. La flavescence est vicieuse. "Bio à fond ou décision raisonnée? " Sponsorisez Pour l'abandon des poursuites contre Emmanuel #Giboulot, viticulteur ayant dit non aux #pesticides. Emmanuel Giboulot, le naturel revient au galop. Lors d’une interview accordée à l’émission « Terre à terre » de France Culture,émission souvent tres intéressante, dont on se demande pourtant pourquoi elle est diffusée le samedi matin à 7,HEURE, c’est vraiment en dépit de tout bon sens !!! Gille-Séralini ’explique que les pesticides sont composés d’un principe actif et d’adjuvants. Le principe actif est la molécule principale du pesticide (ou d’un médicament). Les adjuvants sont les molécules ajoutées pour en accentuer l’effet.

Il s’agit souvent de résidus de pétrole, de gaz, de produits détergents ou de graisses animales oxydées. Si l’on prend l’exemple du célèbre « Round up », le principe actif est le glyphosate, produit réputé peu toxique seul. En revanche, les adjuvants et la formulation finale sont eux très tres toxiques. les végétaux, pour assurer leur reproduction, émettent des parfums, des substances chimiques, qui sont autant d’hormones nécessaires à leur survie. La nécessité d’une résistance citoyenne déterminée ! Procès du viticulteur bio : « Je n'ai pas traité mes vignes et je l'assume » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric ((Dijon, envoyée spéciale)) Quand il apparaît sous le grand soleil de la fin de matinée, c'est une salve d'applaudissements et de hourras qui résonne devant le tribunal correctionnel de Dijon.

Emmanuel Giboulot prend la parole face à une foule de plus d'un millier de personnes venue le soutenir dans son procès. Le viticuleur de 51 ans comparaissait, lundi 24 février, pour avoir refusé de traiter ses dix hectares de cépages, exploités en biodynamie à Beaune (Côte-d'Or), contre une maladie très contagieuse et mortelle pour la vigne, la flavescence dorée. Une infraction pénale passible de six mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende. « Je suis très ému de ce soutien.

. « Il faut que la profession entende qu'il y a une autre voie que d'épandre des produits dangereux pour la santé », abonde un viticulteur bio venu le soutenir. Une heure plus tard, seule une poignée de supporters ont pu entrer dans la salle d'audience. Amende requise contre le viticulteur bio qui dit non aux pesticides. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Un vignoble bio peut-il être forcé d'utiliser des pesticides pour lutter contre une maladie mortelle de la vigne ?

C'est la question épineuse à laquelle s'est heurté Emmanuel Giboulot, qui exploite 10 hectares en biodynamie sur la côte de Beaune et la haute-côte de Nuits, en Bourgogne. Le viticulteur de 51 ans comparaissait, lundi 24 février, devant le tribunal correctionnel de Dijon pour avoir refusé de traiter ses cépages de chardonnay et de pinot noir contre la flavescence dorée. Une amende de 1 000 euros, assortie pour moitié du sursis, a été requise à son encontre. M. Giboulot « a commis une infraction pénale. Emmanuel Giboulot encourait jusqu'à six mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

Notre journaliste Audrey Garric a suivi l'audience : Tout commence en juin 2013, quand un arrêté préfectoral impose le traitement de « l'ensemble des vignobles de la Côte-d'Or » au moyen « d'une application unique d'un insecticide ». La justice poursuit un viticulteur bio qui dit non aux pesticides. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Comment concilier vignoble bio et lutte contre une maladie mortelle de la vigne ? C'est la question épineuse à laquelle s'est heurtée Emmanuel Giboulot, qui exploite dix hectares de vignes en biodynamie sur la Côte de Beaune et la Haute-Côte de Nuits, en Bourgogne. Le viticulteur de 51 ans doit être bientôt convoqué devant la justice pour avoir refusé de traiter ses cépages de chardonnay et de pinot noir.

Il encourt jusqu'à six mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende, comme l'a révélé le site Bastamag. En juin, un arrêté préfectoral avait imposé le traitement de « l'ensemble des vignobles de la Côte-d'Or » au moyen « d'une application unique d'un insecticide ». Visée : la cicadelle, petit insecte vecteur de la flavescence dorée, une maladie très contagieuse et mortelle pour la vigne. Au début de l'été, aucun foyer n'est détecté en Côte-d'Or, mais certains plants sont suspectés. Beaune : un viticulteur convoqué par la justice pour avoir refusé de traiter ses vignes. C'était un procès très attendu... Le vigneron bio Beaunois, Emmanuel Giboulot, comparaissait lundi après-midi devant le tribunal correctionnel de Dijon.

Il lui est reproché de ne pas avoir traité ses parcelles l'été dernier, pour lutter contre la flavescence dorée, alors qu'un arrêté préfectoral l'obligeait à le faire. Sa désobéissance lui a valu un vaste soutien sur Internet ces derniers mois, qui s'est concrétisé devant le tribunal Reportage: Théo Souman et Romain Liboz (Images) - Montage : Cécile Frèrebeau Intervenants: Emmanuel Giboulot (Vigneron à Beaune) - Sandrine Bélier (Députée européenne (EELV) - Benoist Busson (Avocat d'Emmanuel Giboulot) - Daniel Guichard (Chanteur) Voir la vidéo Procès viticulteur Emmanuel Giboulot Depuis le début des démêlées de ce viticulteur avec la justice, une pétition circule sur internet.

Soutien à Emmanuel Giboulot devant le tribunal correctionnel de Dijon Prev Next PrevNext Direct 12/13 - Tribunal Correctionnel Dijon Tout a commencé en juin dernier. 30 000 euros d'amende pour avoir refusé... de polluer ! Pesticides : soutien au viticulteur poursuivi pour avoir refusé de polluer. Emmanuel Giboulot, vigneron en biodynamie à Beaune, encourt jusqu’à six mois de prison et 30 000 euros d’amende. Son délit ? Avoir refusé de traiter son vignoble avec un insecticide pour lutter contre une maladie de la vigne. Un collectif de soutien composé d’une vingtaine d’organisations associatives, syndicales et politiques appelle à un rassemblement devant le tribunal de Dijon, où le viticulteur est convoqué, le 24 février.

Basta ! Relaie cet appel. Emmanuel Giboulot, viticulteur à Beaune (Côte d’Or) est convoqué le 24 février 2014 à 13h30 au tribunal de Dijon pour avoir refusé de traiter, à titre préventif, sa propre production avec un pesticide de pyréthrine (le pyrevert). Il encourt 30 000 euros d’amende et 6 mois d’emprisonnement (lire l’article de Basta !)

Préserver les équilibres biologiques de la vigne Emmanuel Giboulot travaille justement depuis plus de 40 ans à préserver les équilibres biologiques de sa vigne. L’être humain, simple variable d’ajustement ? Signez la pétition. Cher Emmanuel Giboulot, Vous pouvez compter sur notre soutien sans faille dans l'épreuve que vous traversez. J'estime que, au vu du contexte, il est absurde que vous soyez aujourd'hui condamné par le tribunal correctionnel. C'est pourquoi je tiens à vous faire savoir que nous sommes des centaines de milliers à vous soutenir, et à encourager notre entourage à faire de même. Permettez-moi de vous souhaiter, à vous et à votre famille, de surmonter cette épreuve avec sérénité.

Soyez fier du bel exemple que vous donnez à tous les agriculteurs de France – biologiques ou conventionnels – et à tous les citoyens, et de votre attitude responsable face aux menaces qui pèsent aujourd'hui sur les abeilles. C'est notre conviction totale, et j'espère que les milliers de lettres de soutien comme la mienne que vous recevrez vous apporteront le réconfort que vous méritez. Solidairement, Cyberaction Condamné pour avoir refusé de polluer ? Cyberaction N° 027L: Condamné pour avoir refusé de polluer ? [ 7 086 participations ] cyberaction mise en ligne le jeudi 28 novembre 2013 Elle sera envoyée à : Préfet de la Région Bourgogne Adepte de l'agriculture biologique, un viticulteur de Côte-d'Or est convoqué devant la justice pour s'être opposé à l'utilisation d'un insecticide. Plus d'infos En juin, un arrêtépréfectoral avait imposé le traitement de "l'ensemble des vignobles de la Côte-d'Or" au moyen "d'une application unique d'un insecticide" contre la cicadelle, insecte vecteur de la flavescence dorée, une maladie de la vigne présente notamment dans le Nord-Mâconnais, en Saône-et-Loire.

"Je me suis refusé à faire ce traitement", a dit Emmanuel Giboulot, qui exploite dix hectares de vignes en biodynamie sur la Côte-de-Beaune et la Haute-Côte-de-Nuits. Emmanuel Giboulot. voir la vidéo PDF à télécharger pour plus d'infos Signer ! Récapitulatif Les champs marqués d'une * sont obligatoires credible. Un viticulteur ira-t-il en prison pour refuser d'employer un pesticide? Le 24 février prochain, Emmanuel Giboulot doit comparaître devant le tribunal correctionnel. Le viticulteur français de la région de Côte d’Or risque une peine d’emprisonnement de 6 mois fermes et une amende de 30 000 euros. Les faits sont les suivants : en juin 2013, les vignes de la région sont menacées par la cicadelle. Il s’agit d’un insecte qui transmet une maladie appelée flavescence dorée. Cette affection est particulièrement dangereuse car elle est mortelle pour la plante.

En outre, elle se propage rapidement. Face à cette menace, la préfecture de Côte d’Or émet un arrêté imposant l’application d’un insecticide contre la cicadelle dans l’ensemble des vignobles du coin. Plusieurs initiatives ont été mises en place pour soutenir l’agriculteur. La polémique n’en finit pas d’enfler à propos de l’usage ou non d’insecticide. Le seul insecticide accepté sous le label bio est le Pyrevert. Une méthode de culture qui ne fait pas l'hunanimité. Pesticidi nell'agricoltura: la nostra salute è in pericolo? - Leggi Euroroma.net. Ponto final para os vinhos orgânicos na Borgonha? | Marcel Miwa – Sede de Vinho. Postado em 29/01/2014 por admin | 1 comentário O produtor Emmanuel Giboulot: na mira da justiça francesa por não usar pesticida recomendado por autoridades A Borgonha é considerada berço dos vinhos elegantes, onde a branca chardonnay e a tinta pinot noir alcançaram o status de referência para o mundo.

Outra característica da região é a grande fragmentação dos vinhedos e a consequente multiplicidade de produtores. Para exemplificar, o vinhedo grand cru (qualificação máxima de um vinhedo na Borgonha) Clos de Vougeot possui 50 hectares e ao menos 80 diferentes proprietários com parcelas nesta área. Muitos preferem vender sua safra para outro produtor e não engarrafar o próprio vinho, ainda assim são ao menos 60 produtores de vinho somente deste vinhedo. Como se pode imaginar, dentro desta cesta existem os bons, os ordinários e fracos. Emmanuel Giboulot é um produtor de pequeno porte na Borgonha, com 10 hectares de vinhedos.