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Animal

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Jane Goodall. Signature Elle a fondé l'Institut Jane Goodall pour la protection de la biodiversité, l'aide au développement durable et l'éducation.

Jane Goodall

Biographie[modifier | modifier le code] En 1957, invitée au Kenya par une amie, elle y rencontre, à l'âge de 23 ans, le docteur Louis Leakey[4], archéologue et paléontologue célèbre qui effectue d'importantes fouilles dans la corne de l'Afrique. Elle devient sa secrétaire[3]. Passionnée depuis sa jeunesse par les animaux (et végétarienne[5],[6]), elle décide, en 1960, de vivre seule parmi eux, pour mieux les observer et les comprendre.

Jane Goodall commence alors ce qui sera la plus longue étude de terrain menée sur les animaux sauvages vivant dans leur environnement naturel. En octobre 1960, elle observe un chimpanzé en train de fabriquer et d'utiliser des outils pour attraper des termites. Encouragée par Louis Leakey, elle réalise un parcours doctoral au Newnham College, alors qu'elle n'a pas de diplôme universitaire[7],[8],[9]. Mise à mort de poussins d’élevage : condamnations du tribunal correctionnel de Brest - Droit et liberté fondamentaux. Le droit des animaux - Les Cahiers antispécistes. L’article que nous reproduisons ci-dessous a été transcrit en bibliothèque par Denis Andro à partir du numéro 31 de La Revue socialiste paru en juillet 1887.

Le droit des animaux - Les Cahiers antispécistes

Le texte original ne comporte pas d’intertitres. Ceux qui apparaissent ont été ajoutés par la rédaction des Cahiers antispécistes. La lecture du texte de Marie Huot peut être utilement complétée par celle de l’article de Denis Andro « Nos frères des règnes inférieurs – Socialisme et cause animale dans les années 1880 ». La Rédaction. Au nombre des principes que le XIXe siècle s'honorera d'avoir soutenus et affirmés, on doit compter le droit des animaux que la plupart des législations européennes ont consacré, d'une façon implicite, en inscrivant dans nos codes des pénalités contre ceux qui maltraitent les animaux domestiques. (10) Pourquoi les végans ont tout faux. Tribune.

(10) Pourquoi les végans ont tout faux

Ils sont peu nombreux, mais ils ont une audience impressionnante. Comme ce qu’ils disent semble frappé au coin du bon sens, celui de l’émotionnel et d’une morale binaire, le bien, le mal, c’est que ça doit être vrai. D’où le succès de la propagande végane, version politique et extrémiste de l’abolitionnisme de l’élevage et de la viande, que l’on mesure simplement : aujourd’hui, les opinions contraires, pourtant majoritaires, doivent se justifier par rapport à elle.

Nous dénonçons d’autant plus le mauvais coup que porte le véganisme à notre mode de vie, à l’agriculture, à nos relations aux animaux et même aux courants végétariens traditionnels, que nous sommes convaincus de la nécessité d’en finir au plus vite avec les conditions imposées par les systèmes industriels et d’aller vers une alimentation relocalisée, préservant la biodiversité et le paysan, moins carnée, aussi. L’Occident et les riches des pays du Sud consomment trop de viandes, et surtout de la mauvaise viande. Elisabeth de Fontenay - Sans offenser le genre humain - Marc Villemain. De l'exception humaine à l'animal que donc je suis Depuis 1998 et la parution de son livre Le Silence des bêtes (La philosophie à l’épreuve de l’animalité), Élisabeth de Fontenay occupe l’espace assez incommode d’une philosophie qui s’emploie aussi bien à réfuter un certain confusionnisme zoo-anthropologique qu’à battre en brèche le « confortable invariant philosophique » du propre de l’homme.

Elisabeth de Fontenay - Sans offenser le genre humain - Marc Villemain

L’époque n’ayant que faire du juste milieu et se laissant plutôt dominer par des discours qui aiment à se proclamer en rupture, Élisabeth de Fontenay se retrouve donc, non au milieu du gué, mais au centre d’une querelle où elle se désole de voir s’affronter défenseurs de la cause animale et tenants de l’humanisme théorique, sans que jamais les uns et les autres n’acceptent de considérer une autre position, la seule viable sans doute, qui permette de tirer toutes les leçons d’un matérialisme rigoureux mais soucieux de ne jamais offenser le genre humain. Élisabeth de Fontenay : «Les singes ne peuvent pas faire la révolution !»

LE FIGARO. - De quand date votre intérêt pour les animaux?

Élisabeth de Fontenay : «Les singes ne peuvent pas faire la révolution !»

Élisabeth DE FONTENAY. - J'ai toujours vécu avec des chiens et je montais à cheval. Enfant, pendant la guerre, j'ai passé des vacances dans une petite ferme normande: il y avait dix vaches et trois chevaux et ce fut un bonheur fondateur. Par ailleurs, mon père chassait. Je n'ai jamais tiré, mais je suivais et parfois je rabattais, ce dont je ne parviens pas à avoir totalement honte. Dans un premier temps de ma vie de philosophe, je n'aurais pas eu l'idée de faire de l'animal un objet de réflexion.

On pourrait croire que la cause des animaux est une nouvelle lubie d'intellectuels. Oui, c'est une vieille histoire, notamment chez les Grecs, Pythagore et Plutarque. Les découvertes scientifiques ont mis à mal la différence, qui paraissait évidente, entre l'homme et l'animal. Vachesfolles cls.