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Conference du 19 Mai 2011: le Social Learning | Education et TICE. Résultats de recherche : La révolution du social learning. XEnvoyer cet article par e-mail La révolution du social learning XEnvoyer cet article par e-mailLa révolution du social learning La transmission interne des savoirs remise au goût du jour E-Learning 2.0. Partage des connaissances. Plateforme évolutive. Après le e-learning et le blended learning, le social learning est le nouveau concept qui doit révolutionner la formation dans les années à venir.

Pour Frédéric Domon, directeur de l'agence SociaLearning et co-auteur d'un livre blanc sur le sujet, “le social learning peut être considéré comme le développement des savoirs, des aptitudes et attitudes, par la connexion aux autres – que ce soient des collègues, des mentors ou des experts – via les médias électroniques synchrones ou asynchrones”. L'échange social, facteur d'apprentissage Ces théories éprouvées au service de la formation ont été remises au goût du jour par le développement du Web 2.0 et des réseaux sociaux.

“Les plateformes permettent aux pairs d'apprendre ensemble. 12_propositions_ecoles_numerique. Social learning et Entreprise 2.0. L’apprentissage est social par nature Sans remonter aux théories de Vygotsky ou d’ Albert Bandura, peut-être que le moyen le plus simple d'expliquer le social learning est de se pencher sur les travaux de Richard J. Legers (Harvard Graduate School of Education) qui a démontré que l’un des facteurs les plus importants de réussite dans l’enseignement supérieur est la capacité des étudiants à former et/ou à participer à des petits groupes d’études. Par rapport à ceux qui ont travaillé seul de leur coté, ceux qui ont étudié en groupe, ne serait-ce qu’une fois par semaine, sont plus impliqués, mieux préparés. Les élèves de ces groupes peuvent poser des questions pour éclaircir des zones d’incertitude, améliorer leur propre compréhension du sujet en entendant les réponses aux questions des autres élèves.

L’élément le plus puissant étant la faculté de jouer le rôle d’enseignant pour d’autres élèves, étant démontré que la meilleure façon d’apprendre est d’enseigner. 4C pour l’E2.0.

L'enseignant

Rapport_mission_fourgous.pdf - Powered by Google Docs. Le Social learning est-il envisageable comme évolution de la formation en France ? - Communauté. Frédéric BASCUÑANA Chers amis internautes, si vous avez cliqué sur le petit bouton play de votre player sur, je l'espère Techtoc, c'est que, comme nous, vous êtes arrivés à la conclusion que le 2.0 comme on dit pour simplifier avait cette fâcheuse tendance de réinventer un petit peu tout. Quand je dis fâcheuse évidemment, j'ironise puisque c'est parfois nécessaire. Je vais rapidement vous présenter nos panélistes aujourd'hui. D'abord Marc TIREL. Marc TIREL Oui Mais avant ça, ce qui est intéressant, c'est que tu as fait du e-learning pur et dur chez Schneider Electric.

Tout à fait. Mais tu as aussi créé une société qui s'appelait Savoir pour tous. Jérôme. Jérôme COIGNARD Non, non. C'est ce qui me permet de briser la glace plus vite parce que c'est un style qui est tout à fait conforme à ce que l'on fait sur les média sociaux. Voilà. qu'en l'occurrence, j'ai personnellement souvent croisé sur des salons sur le learning. Vincent BERTHELOT.

Frédéric DOMON. Dominique RABEUF. Dominique RABEUF. France numérique 2020. Signature convention partenariale de site du campus numérique breton. [edutice-00526330, v1] Les apprentissages nomades en Europe : éléments pour une cartographie de la recherche - Powered by Google Docs. M-learning : tous les outils sont là, pourquoi ne les utilise t-on pas ? Laurent Gayme, qui anime le blog Aggiornamento hist-geo, s'est laissé aller, dans un billet récent, à rêver à sa vie de prof du futur, vie dans laquelle les Tice lui rendent de fiers services et permettent aux élèves d'apprendre à partir des données les plus récentes...

Somme-nous vraiment dans le futur ? Pas du tout. Comme le dit si bien L. Gayme, "Tout cela est actuellement possible, si l’on dispose de la motivation et de la volonté nécessaires, de l’équipement adéquat et d’un minimum de pratique… Ce qui est décrit ci-dessus est déjà le présent". Et de donner en exemple la correction de copies en ligne, l'utilisation pédagogique des tablettes numériques et des réseaux sociaux, les manuels numériques, les TBI, la visioconférence... Le premier intérêt du billet de Laurent Gayme est de proposer un scénario dans lequel de nombreux outils sont utilisés successivement par la même personne, en fonction des besoins. L. Quand les étudiants accélèrent le changement. Aussi longtemps qu'un changement est appelé du dehors, il a peu de chance de s'amorcer.

Les tenants des TICE ont beau déployer des stratégies sophistiquées pour inciter les enseignants à utiliser davantage et mieux ces nouveaux outils, ces stratégies auront de faibles impacts aussi longtemps que les enseignants eux-mêmes ne seront pas obligés par leurs interlocuteurs, c'est-à-dire les étudiants, de monter dans un train où ils sont tous embarqués. Se prendre en main : une leçon en ligne des étudiants Pour les enseignants les incitations à l'intégration des outils numériques dans les cours viennent le plus souvent des pairs ou de la direction, plus rarement des étudiants eux-mêmes qui, s'ils ont des pratiques avérés des réseaux sociaux ou des usages plus décontractés des outils, les gardent pour leur univers personnel sans prétendre forcément les associer à leurs études ou les partager avec les professeurs. Le Nouvel Ingénieur D'abord le remue-méninge : La communication externe : Apprendre et enseigner, version 3.0.

Affirmer que la technologie évolue à un rythme rapide est un lieu commun. Métaphoriquement, on pourrait dire que la société au complet s’est retrouvée dans un train à grande vitesse où chaque jour qui passe rend les technologies d’hier quasi obsolètes. Cette prompte poussée des avancées en communication et en partage d’informations a obligé tous les acteurs en éducation dans le monde à se mettre à la page. Il n’y a pas si longtemps, en 2005, le chercheur canadien Stephen Downes rédigeait un manifeste dans lequel il annonçait que l’e-learning (et du même coup, l’enseignement magistral) allait prendre le virage 2.0 qui inclurait de la baladodiffusion, des interactions rapides entre professeurs et apprenants, des plateformes informatiques facilitant le travail collaboratif, etc.

Le Web sémantique à notre service Encore troublés par l’intrigante deuxième version d’Internet? Hé bien, ce n’est pas pour être rabat-joie, mais vous êtes déjà en retard. Mais ce n’est pas tout. RSLN #2 - Bienvenue à l'école du futur ! 5 raisons pour adopter le Social Learning à l'école. Publié par PedagoGeeks le 18 octobre 2011 | Dans les catégories suivantes Innovation, Innovation, Social Learning Le Social Learning est un concept pédagogique basé sur l’optimisation des échanges au sein d’une communauté d’apprentissage et de pratiques. La pédagogie plus participative et active soutient à la fois la motivation et l’engagement et valorise les acteurs (élèves, parents, enseignants, structures).

Déjà répandu dans nombre de pays anglo-saxons, il peine à se développer en France. Et pourtant cette stratégie présentent de forts nombreux avantages dont les principaux sont résumés ici : Des élèves plus actifs collaborant les uns avec les autres Le Social Learning facile les échanges et améliore le processus d’apprentissage, dès l’école élémentaire. Des familles impliquées et associées à la communauté éducative Le Social Learning organise l’ensemble des acteurs impliqués dans le processus d’apprentissage des élèves au sein d’une véritable communauté éducative. Social learning, avenir de l'éducation au 21ème siècle. Social learning. S’il est un concept de formation qui va prendre une importance forte dans les années à venir, c’est bien le Social Learning. Il se pourrait même qu’il devienne un standard en termes de stratégies pédagogiques, surtout dans le cadre des formations à distance et de la gestion des connaissances dans les entreprises.

Il se trouve associé à la fois aux nouvelles technologies du Web 2.0, au e-learning ainsi qu’à des méthodes collaboratives et actives. Un concept pas si récent. En réalité, le social learning repose sur des théories élaborées au siècle dernier, notamment le socioconstructivisme, développée par Vigotsky. Pour aller plus loin, le psychologue Albert Bandura a mis en avant le fait que tout apprentissage est la conséquence d’une interaction sociale et culturelle. C’est ainsi que ce type d’apprentissage met en avant l’intérêt d’activités collaboratives, de la co-évaluation par les pairs (c’est-à-dire les autres apprenants) ainsi que des apprentissages informels.

Europe 2020 – Une croissance intelligente – La connaissance et l'innovation comme moteurs de notre future croissance.