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Projet ITER : avantages et inconvénients (débattre en Physique Chimie)

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Consignes Débat ITER. Les étapes de la recherche documentair2. CERNER ET QUESTIONNER LE SUJET. Evaluer l'information. Evaluer l'information : Tableau critères. La recherche documentaire tableaux des références à compléter 1. Construire un diaporama. Digimindmap by La Digitale. GitMind. Grille d'évaluation débat. La fusion nucléaire expliquée en trois minutes. La fusion nucléaire peut-elle nous sauver ? □⚛️□☢️ | Le Vortex S06E04 | ARTE. Un mini-ITER pour tester la fusion nucléaire à Cadarache. La fusion nucléaire : principe, explications, enjeux, limites, iter.

Fusionner des atomes sur Terre n’est pas simple. Il faut faire fondre deux atomes et provoquer la fusion de leurs noyaux alors que leurs charges électriques respectives ont tendance à les séparer. Les noyaux doivent pour cela se trouver dans un état d’agitation thermique intense. C’est le cas lorsqu’ils sont portés à des très hautes températures de l’ordre de la centaine de millions de degrés. La fusion deutérium-tritium Depuis une trentaine d’années, la quasi-totalité des recherches porte sur la fusion de deux isotopes de l’hydrogène : le deutérium et de tritium. Le premier existe à l’état naturel (présent dans l’eau de mer à hauteur de 33 g/m3) et le second peut être produit à l’intérieur d’un réacteur industriel à fusion, par interaction avec du lithium. La température nécessaire à la fusion de ces deux isotopes est de l’ordre de 150 millions de degrés, soit dix fois la température du cœur du Soleil(6).

Il existe deux voies de développement de réacteurs à fusion nucléaire. L'espoir d'une énergie inépuisable et sans risque - Vidéo Physique-chimie. Iter. ITER : où en est-on à Saint-Paul-lez-Durance ? Le point sur ce défi technique et scientifique pour essayer de recréer l’énergie du soleil avec la fusion nucléaire. On en parle depuis 1985… il a fallu 20 ans pour se mettre d’accord sur le lieu et créer l’organisation Iter. 60 convois exceptionnels sont déjà passés par nos routes… A Saint-Paul lez-Durance, le chantier exceptionnel réalisé à 85% touche à sa fin.

Les essais sont programmés. ITER a été lancé pour construire le plus gros "Tokamak" du monde pour essayer de reproduire l’énergie du soleil, énergie à profusion et gratuite, alternative rêvée aux énergies fossiles polluantes. Un défi relevé par l'alliance de 35 pays (l'Europe et les Etats-Unis, l'Inde, le Japon, la Chine, la Corée du Sud et la Russie). Budget estimé : 20 milliards d’euros. Iter est installé près du CEA de Cadarache, mais le terrain de 180 hectares, concédé par la France, est à part. Bienvenue en zone internationale, personne ne peut y pénétrer sans autorisation sauf les inspecteurs de l’ASN, l’autorité de sûreté nucléaire… Sur place 1 200 salariés de 35 nationalités qui paient leurs impôts à Iter. Iter, les promesses polluantes de la fusion nucléaire : l’enquête de Reporterre. 21 juin 2021 à 09h08Mis à jour le 2 mars 2022 à 14h30 Durée de lecture : 1 minute [1/3] Le futur réacteur nucléaire Iter : un projet titanesque et énergivore Le futur réacteur de fusion nucléaire Iter, dans les Bouches-du-Rhône, consommera autant d’énergie qu’il en produira.

Ce projet immense est aussi bien plus coûteux que prévu : 44 milliards d’euros. Lire l’article ici [2/3] Derrière le projet Iter, des montagnes de métaux toxiques et de déchets radioactifs Présenté comme un projet « propre » qui contribuera à la lutte contre le changement climatique, le futur réacteur nucléaire Iter nécessite pourtant quantité de métaux polluants ou cancérogènes, et produira de nombreux déchets radioactifs.

Lire l’article ici [3/3] Le gouffre d’Iter ne décourage pas les projets de fusion thermonucléaire Incendie, risque sismique, étanchéité des composants... Lire l’article ici Reporterre n’est pas à vendre Soutenir Reporterre Abonnez-vous à la lettre d’info de Reporterre. Stress, peur, pression : le difficile quotidien des salariés du réacteur nucléaire Iter. En construction à Cadarache dans les Bouches-du-Rhône depuis 2006, le réacteur expérimental Iter devait être la vitrine mondiale de la technologie de fusion nucléaire. Projet de coopération scientifique réunissant trente-cinq pays, il devait démontrer que l’on pouvait produire une source d’énergie « illimitée et inépuisable » avec seulement quelques kilos de tritium radioactif et presque aucun déchet.

Mais le coût de ce chantier pharaonique est passé de 5 milliards à plus de 40 milliards d’euros, il a accumulé dix ans de retard et le projet s’avère plus bien plus risqué que prévu. Des lanceurs d’alerte ont averti la Commission européenne, qui finance Iter pour près de moitié via Euratom, et l’Office européen de la lutte anti-fraude sur le fait qu’Iter se poursuit depuis des années au détriment de la santé du personnel et de la sûreté.

Lire le rapport de Michel Claessens ici. 200 millions de degrés Falsifications Soutenir Reporterre Abonnez-vous à la lettre d’info de Reporterre. Que reste-t-il de la vallée de l'énergie ? À Cadarache se poursuit depuis 2007 la construction du réacteur expérimental ITER. Supervisé par l'organisation internationale du même nom, le déroulement de ce chantier se fait dans une opacité totale, qui ne semble pourtant pas interpeler le personnel politique. Si la situation profite à de nombreux participants au projet, elle est loin de faire le bonheur des industriels français et des collectivités locales qui ont investi dans ce projet en pariant sur son potentiel économique. Dans le plus grand désintérêt de la classe politique, se déroule en France le projet de construction du réacteur expérimental à fusion nucléaire ITER.

Chantier dont le coût est évalué à plus de 15 milliards d'euros étalés sur 15 ans, la " vallée de l'énergie " pourrait être à l'origine des prochains grands bonds en avant réalisés par l'industrie de pointe française de la filière du nucléaire. À l'heure actuelle toutefois, il n'en est rien.

ITER, une opportunité. Un projet dont on critique l'opacité. Stratégie industrielle et emploi : et si on évaluait l'impact d'ITER ? Alors que les financements publics alloués à ITER explosent littéralement, la question de leurs retombées économiques et sociales reste curieusement éludée. Une situation qui confine au scandale au moment la crise actuelle exige de juger les dépenses publiques à l'aune de leur impact sur l'économie et l'emploi. Sur le site Internet d'ITER la page consacrée aux relations avec l'industrie et à la répartition des marchés égrène longuement les missions des différents pays membres.

On découvre ainsi avec une relative précision les contributions prestigieuses demandées aux entreprises chinoises, indiennes, japonaises, coréennes, russes et nord-américaines... En revanche, s'agissant de l'Europe, la formulation est des plus laconiques. Le site indique que le Vieux Continent est chargé... " du reste " et notamment des bâtiments, en plus de participations aux marchés attribués à titre principal aux autres membres ! Discours du Président Macron. Cadarache: LA CLI. Information et participation des citoyens La loi Bouchardeau du 12 juillet 1983 relative à la démocratisation des enquêtes publiques et à la protection de l'environnement a étendu le dispositif, ancien, de l'enquête publique à tout projet susceptible d'affecter l'environnement. La convention d'Aarhus (1998) sur l'accès à l'information, la participation du public au processus décisionnel et l'accès à la justice en matière d'environnement a été ratifiée par la France en 2002.

La Charte de l'environnement, loi constitutionnelle du 1er mars 2005, reconnait le droit pour toute personne d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l'élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l'environnement (Art. 7). Plus récemment, la loi du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l'environnement a réformé l'enquête publique.

Pour aller plus loin Le droit à l’information en matière environnementale (source : Cada) Les CLI. CLIC info. CEA Cadarache : un incident sur des matières radioactives mal emballées. Le Commissariat à l'énergie atomique de Cadarache a signalé mercredi 10 aveil dans un communiqué avoir connu un incident sur des emballages de transports de matières radioactives. Le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) de Cadarache, situé à Saint-Paul-lez-Durance, a signalé dans un communiqué avoir connu un incident survenu le 15 mars sur des emballages de transports de matières radioactives. Le CEA a alerté mardi l’Autorité de sûreté nucléaire, l'invitant à le classer au niveau 1 sur 7 de l’échelle internationale des évènements nucléaires. Dans son communiqué, le centre des Bouches-du-Rhône indique que cet "incident" est "relatif à l’utilisation de joints non conformes sur 26 emballages de transports de matières radioactives".

Selon le CEA Cadarache, "l’évènement n’a pas eu de conséquence sur le personnel, le public ou l’environnement". Le Commissariat à l'énergie atomique de Cadarache avait déjà connu un indicent en septembre 2018. Les déboires du projet international de réacteur ITER. Sur le chantier pharaonique du prototype de réacteur nucléaire à fusion ITER du site de Cadarache (Bouches-du-Rhône), il n’y a pas que les ouvriers qui s’activent. Les ingénieurs ont dû changer leurs priorités pour répondre rapidement à la longue liste de demandes de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), afin que l’assemblage de cette machine unique au monde se poursuive dans le calendrier prévu.

Les requêtes de l’ASN, sous forme d’un courrier adressé par son président au directeur général de l’organisation internationale ITER, ont été révélées le 21 février par le site d’information New Energy Times, très critique sur l’énergie de fusion. La missive n’est pas une bonne nouvelle. Elle indique qu’en l’état l’assemblage du réacteur ne peut commencer, notamment l’étape-clé et irréversible du soudage des deux premiers éléments entre eux, sur neuf, constituant la chambre à vide de 19,4 mètres de diamètre et 11,4 mètres de haut, dans laquelle les réactions de fusion doivent avoir lieu.

Avec ITER, l’énergie du futur est en Région Sud. Innovation, Économie-Entreprise, Emploi | 02 décembre 2019 Depuis toujours, les énergies sont au cœur du développement de notre civilisation.La maîtrise du feu, l’utilisation du vent et de l’eau puis le développement de l’ère industrielle et l’exploitation de nouvelles énergies ont permis à notre société d’évoluer de palier en palier. À travers les époques, les énergies ont permis aux hommes d’améliorer leur confort, leur mobilité, leur disponibilité intellectuelle. Elles ont toujours été source de progrès. Alors que se réunit le Comité des Financeurs d’ITER, c’est pour continuer à avancer et à innover, que la Région Sud est fière d’être le partenaire du plus grand projet scientifique du monde : ITER.

L’énergie de fusion, l’enjeu des 20 prochaines années ITER, en anglais, International Thermonuclear Experimental Reactor, est l’un des projets les plus ambitieux au monde dans le domaine de l’énergie. ©Anne Van Der Stegen Un mini soleil pour briller en Région Sud. L’accident nucléaire - DLVA. L’accident nucléaire se produit lorsqu’un évènement entraînant des conséquences graves pour le personnel, les riverains, les biens et l’environnement survient sur une installation nucléaire.

La réglementation Le CEA Cadarache et ITER sont des établissements « Seveso seuil haut ». Un Comité Local d’Information (CLI) a été constitué pour les deux sites. Retrouvez plus d’informations sur le site internet qui regroupe les deux comités : www.cli-cadarache.fr Les risques pour DLVAgglo Il est important de savoir que trois sites nucléaires, Cadarache, Marcoule et Tricastin, sont implantés aux abords ou dans notre région.

À Cadarache et Marcoule, les installations sont destinées à la recherche, au retraitement des combustibles et des déchets radioactifs. À la centrale nucléaire de Tricastin, quatre réacteurs de première génération, d’une puissance de 900 mégawatts chacun, produisent ensemble 5% de la production nationale. Les bons réflexes Avant Pendant 1. 2. La posologie est la suivante : 3. Après. ITER- une énergie pour notre avenir. Le projet Iter. Développement de la fusion / projet Iter. La réaction de fusion au sein du tokamak ITER et dans les futures centrales électrogènes se produira au sein d'un plasma de deutérium et de tritium, deux isotopes de l'hydrogène.

La production de deutérium repose sur un processus industriel maîtrisé depuis les années 1930. Cette ressource est largement disponible et quasiment inépuisable. Chaque mètre-cube d'eau de mer contient 33 grammes de deutérium. En revanche le tritium—un isotope radioactif de l'hydrogène à désintégration rapide—n'est présent dans la nature qu'à l'état de traces. Cette production, aujourd'hui inutilisée, suffira pour alimenter ITER pendant la quinzaine d'années que durera sa campagne d'expériences nucléaires.

Comment alimenter ce parc industriel en tritium ? La nature, comme si elle avait anticipé cette problématique, offre une solution qui combine élégance et efficacité : c'est la réaction de fusion elle-même qui produira le tritium qui, en retour, l'alimentera. Faisons le calcul. Copier ce lienCopié. Le coût du projet ITER et retombées économiques. ITER et l'environnement. Le statut des ouvriers sur le site. La sûreté d'ITER. La fusion, une source d'énergie durable? Fiabilité des métaux. ITER : l’arnaque - Le Réseau "Sortir du nucléaire" publie 7 fiches thématiques sur ITER. Face à la propagande et la désinformation mises en œuvre par le pouvoir français et européen concernant le réacteur nucléaire ITER, le Réseau "Sortir du nucléaire" publie ce jour sept fiches thématiques pour faire connaître la vérité.

Ce dossier, baptisé "Iter : l’arnaque", comprend les fiches suivantes : 1) ITER ne produira pas d’électricité 2) ITER produira des déchets nucléaires 3) ITER mettra les riverains en danger 4) ITER : un projet destructeur d’emplois 5) ITER et le Mégajoule : doublon injustifié 6) Cadarache : séismes et danger plutonium 7) ITER : la démocratie irradiée ITER : l’arnaque - Fiche 1 ITER ne produira pas d’électricité Le réacteur ITER ne produira jamais d’électricité. Tout à fait officiellement, le seul but visé par les scientifiques est d’essayer de maîtriser une réaction de fusion nucléaire pendant… 400 secondes.

Les lignes électriques THT (Très haute tension) qui vont relier Iter au réseau EDF vont être construites uniquement pour alimenter ITER en électricité. Iter, le naufrage | Le Club. Alors que le gouvernement s'apprête à autoriser la construction du réacteur Iter, Michèle Rivasi, députée européenne EELV, Jean-Pierre Petit, physicien et ancien directeur de recherche au CNRS, Christian Desplats, conseiller régional Paca, dénoncent «un fiasco scientifique et financier programmé». Mardi 17 janvier 2012, un exercice national simulera un séisme impactant le site du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) à Cadarache (Bouches-du-Rhône) et dans nombre de communes environnantes. Au cours des siècles, des événements sismiques majeurs ont en effet laissé des traces dans cette zone! Un fiasco scientifique? Le réacteur Iter, chambre de confinement d'un gaz ionisé porté à 100 millions de degrés, est la version d'une très grande taille de réacteurs appelés tokamak, fonctionnant actuellement dans de nombreux pays.

Notre pays et l'Union européenne, qui financent ce projet à hauteur de 45%, ont-ils vraiment les moyens de prendre un tel risque…? Un fiasco financier? Grande agitation autour de l’Atelier technologique de plutonium à Cadarache | Les Amis de la Terre. Marseille et Montreuil, le 3 mars 2011- Atelier Technologique de Plutonium (ATPu) : rappel des « incidents » de 2009 et 2010 L’ATPu avait pour fonction de fabriquer manuellement dans des boîtes à gants du combustible MOX (Mélange d’Oxydes) à partir de poudres d’oxydes d’uranium et de plutonium.

La production cesse en 2003, la fermeture étant réclamée depuis 1995 pour non-conformité aux normes parasismiques. Le décret de démantèlement de l’installation paraît en mars 2009. Ce décret reçoit préalablement l’avis favorable de l’Autorité de Sûreté Nucléaire et de la CLI (Commission Locale d’Information) de Cadarache. Le premier incident grave est signalé en octobre 2009. Le démantèlement se poursuit néanmoins mais, fin 2010, de nouveaux incidents se produisent : des quantités de plutonium supérieures à la dose admissible sont relevées dans des fûts stockés à l’ATPu. L’ASN semble s’inquiéter de la situation et procède coup sur coup à deux visites d’inspection en début d’année. Contacts Presse : La fusion nucléaire : les promesses d'une énergie écologique et sûre ?

Fusion nucléaire : énergie de demain ou utopie ? - Science Actualités.fr. Fusion nucléaire : Iter pourrait libérer plus d'énergie que prévu. Fusion contrôlée : nouveau record en mode H pour un mini-Iter. Les déboires du projet international de réacteur ITER. « Le fantasme de l'énergie illimitée » : enquête sur Iter, réacteur nucléaire expérimental en Provence - Basta! Région : le projet ITER serait-il dangereux ? Les riverains de Cadarache n'ont pas peur de l'atome. Bulletin de la CLIC : ce que pensent les riverains.