Germaine Tillion et le réseau du musée de l'homme. Denise vernay (Jacob) Simonne Mathieu. Julia Pirotte. Les "Merlinettes" Elisabeth Torlet et Eugénie-Malika Djendi. Jane Vialle. Les Rochambelles. Josephine Baker. Thérèse Menot. Mila Racine. Anna Marly. BANCIC Olga [BANCIC Golda, dite Pierrette] Fille de Noé et de Marie, née Zezins, Golda Bancic naquit en Bessarabie dans une famille juive. Son père était petit fonctionnaire. Elle milita très tôt aux Jeunesses communistes et fut arrêtée à seize ans par la police roumaine. Elle était la sixième enfant d’une famille de petits fonctionnaires, Dès l’âge de douze ans, elle était apprentie matelassière. Elle participa à une grève, arrêtée et maltraitée, puis relâchée. À nouveau arrêtée pour faits de grève elle fut détenue trois mois.
Les armes saisies rue Andrieux Olga Bancic aurait jeté à travers une fenêtre une dernière lettre, datée du 9 mai 1944, adressée à sa fille, pendant son transfert à la prison de Stuttgart pour y être exécutée. Renseigner les Alliés | Expositions du Service historique de la Défense - Ministère des Armées. Si des jeunes franco-britanniques font le choix de combattre sous l’égide du SOE, d’autres font le choix de servir en uniforme à Croix de Lorraine.Refusant la défaite, c’est avec sa mère Marcelle et son frère aîné Claude que Josiane rejoint le Royaume-Uni. Alors que Claude argue de sa citoyenneté britannique pour rejoindre la Royal Air Force, Marcelle et Josiane s’engagent quant à elles dans le corps des volontaires féminines de la France Libre.
Originellement secrétaire, son talent pour décrypter les messages et déchiffrer les transmissions à Carlton Gardens la fait repérer par le BCRA pour lequel sa mère Marcelle travaille à partir de février 1944. Plus jeune agente envoyée en France sur l’autorisation spéciale du colonel Passy, Josiane Somers est parachutée dans la région du Blanc (Indre) en juillet 1944. Mary-Elmes. Notice Mary Elmes*, irlandaise, est née le 05/05/1908 à Cork d'une famille de pharmaciens. Elle fait ses études à l'école Rochelle et au Trinity College de Dublin d'où elle sort première en Littérature moderne et médaille d'or en Espagnol et en Français. Elle part pour la Grande-Bretagne où elle poursuit sa formation à la London School of Economics. En février 1937, Mary Elmes* part pour l'Espagne déchirée par la guerre. En janvier 1938, son père meurt, mais elle ne peut partir et abandonner son poste. En juillet 1939, l'AFSC lui demande de soutenir une action culturelle dans les camps.
Après la défaite de la France en juin 1940, les travailleurs britannique doivent quitter leurs postes. En novembre 1942, les allemands occupent la zone sud. Après la guerre, Mary Elmes* refusera la Légion d'Honneur que le gouvernement français a voulu lui accorder. Lien vers le Comité français pour Yad Vashem Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre] Disparition de la tarnaise Renée Taillefer, grande dame de la Résistance. Renée Mège est décédée vendredi 12 février. Elle était née Renée Taillefer à Montans (Tarn) en 1928 et c'était une figure de la Résistance qui a témoigné toute sa vie dans les collèges et les lycées, notamment aux côtés de Raymond Aubrac L'essentiel du jour : notre sélection exclusive Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Printemps 1943, Renée Taillefer n'a que 15 ans quand elle devient agent de liaison pour le Corps Franc Roger, groupe de maquisards dirigé par René Toinote. En hommage à ce parcours exceptionnel, son nom a été donné au collège de Gaillac en 2011. "Je n’ai fait que mon travail de Française": figure de la Résistance, Josette Molland-Ilinsky est décédée sur la Côte d’Azur. Elle avait la Résistance modeste, Josette Molland-Ilinsky. "Je n’ai fait que mon travail de Française!
" Modestement, comme elle a résisté et comme elle a vécu, Josette Molland-Ilinsky vient de clore un siècle de vie. Elle s’est éteinte samedi à Falicon. Son village. Où elle vivait depuis tant d’années. Où elle avait son atelier de peintre. Modeste et pourtant héroïque. Déportation Le 3 mars 1944, la Gestapo l’arrête. À son silence, l’ennemi oppose la déportation. Puis ce sera Holleischen, en Tchécoslovaquie. Inlassable passeuse de mémoire À Holleischen, l’enfer toujours. Chaque jeudi, le meilleur de Nice : ce qui fait parler en ville, la question de la semaine, les bons plans du week-end… Elle a 22 ans. Peu à peu, la vie reprend le dessus et Josette le pinceau. Eve Curie, une héroïne de la France Libre dans les conflits du Proche et Moyen-Orient (1904-2007) Grandir à l’ombre de la science Eve Curie naît le 6 décembre 1904. Sa sœur, Irène, son aînée de sept ans, se consacrera à la recherche scientifique. L’année précédente, en 1903, Pierre et Marie Curie ont été avec Henri Becquerel, lauréats du prix Nobel de physique.
La famille, très unie, connaît un drame. Le 19 avril 1906, Pierre Curie est renversé par une voiture dans Paris. Eve Curie, âgée d’un an, n’aura aucun souvenir de son père. Marie Curie, trop marquée par le deuil, sera dans l’incapacité de mentionner son nom devant sa cadette. Sa jeunesse se passe entre Paris et la maison de l’Arcouest, à la pointe de la Bretagne face à l’île de Bréhat, entourée des plus grands scientifiques de l’époque qui témoignent à Marie Curie un profond respect. Son intérêt se concentre sur le piano et l’écriture. . « Madame Curie », ou le deuil éclatant de l’écriture L’engagement au sein de la France libre et séjour au Levant L’échange avec le général Catroux est très cordial.
LE TAC Yvonne - Mémoires des Résistants et FFI de l'arrondissement de Brest. Yvonne Manière est institutrice puis directrice d’école à Paris. Elle épouse André Le Tac, le 17 décembre 1903 à Paris et de cette union naîtront trois enfants, Roger en 1904, Yves en 1908 et Joël en 1918. Après la naissance de leurs deux premiers garçons, Yvonne et André découvrent la Bretagne et tombent amoureux de Saint-Pabu où ils font construire en 1910 une maison sur la pointe de Kervigorn.
Bénéficiant de deux mois de congés l’été, la famille s’y retire tous les ans ainsi qu’à Pâques. La Première Guerre mondiale éclate et son mari part au front tandis qu’Yvonne continue d’enseigner. Yvonne et son mari se revendiquent pacifistes, de gauche, libres penseurs et patriotes. En 1937, Yvonne prend sa retraite d’enseignante. Lors de la débâcle en 1940, Yvonne et André reçoivent une carte postale de Joël leur indiquant qu’il veut continuer la guerre. Fin mars 1941, Joël Le Tac les retrouve à Saint-Pabu.
En octobre 1941, Joël Le Tac revient à Kervigorn chez ses parents. Résistantes de la Seconde guerre mondiale, héroïnes de l'ombre information.tv5monde. Sans les femmes, la résistance intérieure n'aurait jamais pu exister : dactylos, radios, agentes de liaison, en charge de la presse clandestine, convoyeuses de soldats évadés, ravitailleuses de maquis ou maquisardes elles-mêmes, espionnes, parfois cheffes de réseaux de centaines d'hommes.
Les actes de bravoure de ces femmes invisibles ont souvent été sous-estimés ou oubliés, l'Histoire glorifiant d'abord une vision guerrière et masculine de la Résistance. Héroïnes invisibles "On estime entre 12 et 25% la proportion des femmes dans les mouvements de résistance, mais ce chiffre est très trompeur, souligne l'historien Laurent Douzou, spécialiste de la Seconde guerre mondiale. Leur nombre et leur rôle sont mécaniquement minorés par le processus d'homologation, déclaratif, les femmes ayant moins tendance à revendiquer ce qu'elles avaient fait". Leur invisibilisation ramène aussi au statut des femmes de l'époque.
On identifie souvent aussi les résistants comme ceux ayant agi armes à la main. Histoire de femmes résistantes. Geneviève Fertel. Dénoncée aux Allemands… Le 3 juin 1944, Geneviève, son fils Gilbert et sa jeune épouse étaient arrêtés par les Allemands. Gilbert et sa femme purent s’enfuir à Paris le 9 juin 1944. Ils furent cachés du 30 juin au 20 septembre 1944 à l’Abbaye du Val Duc, par Salive, dans la Côte d’Or (Groupe mobile «Tarzan»). Ils purent revenir au village le 30 septembre 1944. Moins heureuse, Geneviève fut envoyée au camp de Ravensbrück. Après un transport interminable, sous une chaleur torride, dans des wagons à bestiaux plombés où l’on comptait les morts par dizaines, elle a connu l’atrocité des camps de concentration. A chaque fois que les militaires libéraient un camp, c’était le même spectacle qui s’offrait à leurs yeux : restes en vrac de ce qui avait été des humains, tas d’ossements, chambres à gaz, salles de tortures, potences, fours crématoires…
Le sourire d'Auschwitz. Dora Schaul, « Renée Fabre » dans la résistance (1913-1999) 1Dora Schaul est née Davidsohn en 1913 à Berlin dans une famille de la petite bourgeoisie juive allemande, mais a passé toute sa jeunesse en Rhénanie du Nord : 2« À la fin de la Première Guerre mondiale, ma famille a quitté la capitale pour Essen, car mon père y avait trouvé un travail intéressant dans une usine de tabac. Par ailleurs, les conditions de vie y étaient à l'époque bien meilleures qu 'à Berlin. En effet, on y recevait fruits et légumes venant de Hollande. » 3En 1933, Dora, comme beaucoup de jeunes Juifs, quitte l'Allemagne [1][1]Ses parents, Julius et Else Davidsohn, sa sœur, Lotte et son…[1]Ses parents, Julius et Else Davidsohn, sa sœur, Lotte et son… et s'établit à Amsterdam où elle fait la connaissance d'Alfred Benjamin, dit Benn, qui est un militant communiste allemand réfugié en Hollande : 4« Je n'étais pas communiste, bien que me sentant de gauche. 5En 1934, Benn est envoyé par le parti communiste allemand à Paris. 10« Benn était tuberculeux et il n'a pas été accepté.
Jeanne Brousse. Fondation pour la mémoire de la déportation - youtube. Les conductrices ambulancières de la Croix-Rouge française : héroïnes de la Libération - Archives nationales (France) Du Débarquement au rapatriement des déportés et prisonniers de guerre : l'épopée des « Amazones bleues » < Cliquer sur l'image pour l'agrandir.
Bulletin des conductrices n°35 du 1er juin 1945, 20200063/143, © Arch. nat. Lors des combats de la Libération et des nombreux bombardements des villes côtières, les conductrices-ambulancières de la Croix-Rouge sont fortement mobilisées. Les traces de ces engagements sont particulièrement visibles dans les récits, rapports, journaux de marche et dans le Bulletin des conductrices (revue d'information mensuelle) conservés dans le fonds de la Direction des conductrices ambulancières. En tout, 1200 conductrices étaient en activité pendant la guerre, 9 d'entre elles y ont perdu la vie. En 1944, les Sections sanitaires automobiles régionales (SASR) forment des groupes mobiles où les conductrices suivent les armées alliées et participent aux débarquements de Normandie et de Provence.
C'est le cas de Jacqueline Heiniger, affectée à la Section du Calvados. OLIVIER Lucette, Thérèse, Fernande - Maitron. Née le 5 Juin 1924 à Nyons (Drôme), abattue par une patrouille allemande le 14 juillet 1943 au Teil (Ardèche) ; ouvrière en soie ; militante des Jeunesses communistes ; médaillée de la Résistance à titre posthume. Ouvrière au moulinage du Frayol, Lucette Olivier faisait partie en 1943 d’un groupe clandestin des Jeunesses communistes dans la localité cheminote du Teil. Son père était agent des chemins de fer. Lucette Olivier demeurait chez ses parents, au numéro 3 de la Cité SNCF. « Le père de la jeune Lucette Olivier n’est pas connu comme communiste », notait dans un rapport daté du 16 juillet 1943 le commissaire des Renseignements généraux de l’Ardèche.Dans la nuit du 13 au 14 juillet 1943, Lucette Olivier participa à une distribution de tracts du Parti communiste, rue de la République, au Teil.
ICONOGRAPHIE : Lucette Olivier, photographie dans l’Ardèche martyre, p 19, (voir sources). SOURCES : Arch. Dép. Ardèche, 72 W 108. – A. Découvrez le parcours Résistantes, femmes dans la - Mairie du 14ᵉ. Militante communiste, comme son mari, Louise s’engage en Résistance dans « l’organisation spéciale » et devient agent de liaison de Raymond Losserand.
Elle est arrêtée le 16 mai 1942 lors d’un coup de filet par la police. Son mari est exécuté au stand de tir de Balard. Elle est déportée le 24 janvier 1943 dans un convoi de 230 résistantes envoyées à Auschwitz, elle est transférée à Ravensbrück puis à Mauthausen. Elle est libérée en avril 1945. Dès les débuts de l’Occupation, Berty Albrecht aide des prisonniers évadés. Aux côtés de son compagnon Henri Frenay, elle participe à la rédaction de journaux clandestins. Avec son mari Jean, Germaine Vogel fait partie de l’antenne de Soisson du réseau « La Vie Française » qui édite un journal résistant à partir de septembre 1940.
Marie Politzer, appelée Maï, dirige une maternité. Dentiste, Vincentella, dite Danielle, Casanova est secrétaire générale de l’Union des Jeunes Filles de France (communiste) à sa fondation, en 1936. Suzanne Borel : le visage d'une femme pionnière, première diplomate française. La journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars, est l’occasion de mettre en lumière le portrait de la première diplomate française, Suzanne Borel.
Elle est l’une de ces nombreuses femmes ayant participé à l’écriture de l’Histoire française, et qui, pourtant, restent inconnues du grand public… Suzanne Borel, une ancienne expatriée Suzanne Borel naît au début du 20e siècle. Fille d’un colonel du cadre colonial en retraite, elle passera son enfance à parcourir le monde. Elle grandit en France, mais également au Sénégal, à Madagascar ainsi qu’au Vietnam. Ses yeux imprimeront une ouverture d’esprit qui la conduira alors, à vouloir devenir diplomate, un métier pourtant refusé aux femmes. Un parcours semé d’embûches Suzanne Borel est déjà une femme pionnière en ayant accès à des études à la Sorbonne dans les années 1920, où elle décrochera une licence en lettres et philosophie. 1928 : ouverture aux femmes au concours du Quai d’Orsay.
Qui était Simone Segouin, dernière résistante d'Eure-et-Loir, morte à 97 ans ? Simone Segouin s'était engagée dans la résistance eurélienne à seulement 18 ans en 1944, et avait fui les honneurs le reste de sa vie. Elle est décédée ce mardi 21 février à Courville-sur-Eure, à l'âge de 97 ans. Une page de l'Histoire se tourne. Ce mardi 21 février, L'Écho républicain a appris le décès, à 97 ans, de Simone Segouin, survenu à Courville-sur-Eure. Cultivant une certaine discrétion, loin des honneurs et des fastes cérémoniels, elle avait pourtant participé, dès ses 18 ans, à la Résistance en Eure-et-Loir.
En 1944, les Allemands occupent l'Eure-et-Loir, et tentent de recruter Simone Segouin en tant que couturière. "Simone est obligée de prendre la clandestinité. Retraité de l'Administration des finances, passionné d'histoire, il se consacre depuis le début des années 2010 à la mise en avant de la Résistance en Eure-et-Loir, et a écrit un ouvrage sur le sujet en 2015.
Pendant un an, la jeune femme parcourt l'Eure-et-Loir en tant qu'agente de liaison. Claude Cahun et Marcel Moore : une résistance surréaliste : un podcast à écouter en ligne | France Culture. Vareuse du sous-lieutenant Marie-Louise Cloarec | Chemins de mémoire. Émilienne MOREAU-EVRARD. (Leila du Luart) Gali Hagondokoff, grande dame de la France Libre | Ofpra. Aimée Lallement, Juste parmi les nations.
Danielle Casanova, née Vincentella Perini Musée de la résistance en ligne. Lucie Aubrac Portraits. Jeanne Bohec Musée de la résistance en ligne. Geneviève de Gaulle-Anthonioz (1920-2002) | Service historique de la Défense. Les Résistantes : un podcast à écouter en ligne | France Inter. Renée Louise Julienne Marie Touron dite Davelly épouse Vallée / Chudeau - Les Français Libres. Madeleine Riffaud, la mémoire sauve : un podcast à écouter en ligne | France Culture.