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Mujeres famosas

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Mujeres relevantes. Celia Cruz. Celia Cruz le 11 avril 1980 à Paris (Olympia) Úrsula Hilaria Celia Caridad de la Santísima Trinidad Cruz Alfonso alias Celia Cruz, née le 21 octobre 1925 à La Havane et morte le 16 juillet 2003 à Fort Lee, était une chanteuse de musique cubaine et de salsa. Biographie[modifier | modifier le code] Celia Cruz est originaire de Santos Suárez, un quartier pauvre de La Havane, où elle est née en octobre 1924[1].Mais elle disait : « Aussi longtemps que je vivrai, je ne dirai jamais en quelle année je suis née ».

On raconte beaucoup de choses très fantaisistes sur moi. En 1960, à la suite de la révolution cubaine et de la chute du dictateur Fulgencio Batista, avant l'arrivée de Fidel Castro à la présidence de Cuba, elle et son groupe cubain La Sonora Matancera émigrent aux États-Unis[1],[3]. En 1966, Celia Cruz et Tito Puente commencent leur association, éditant huit albums ensemble pour Tico Records. Elle rend célèbre le slogan « ¡Esto sí es volar! Discographie[modifier | modifier le code] Celia Cruz. Reine insubmersible de la salsa, mais aussi symbole de la déchirure cubaine, Celia Cruz (1924-2003) symbolise à sa façon ces légendes vivantes de la chanson, qui se montrent si peu enclines à raccrocher les gants qu’on en arrive à les croire immortelles. Pleine d’humour et d’énergie, Celia Cruz était à la salsa ce que Tina Turner est à la soul : une boule d’énergie défiant le temps.

Úrsula Hilaria Celia Caridad Cruz Alfonso naît à La Havane (Cuba) le 21 février 1924 (ou le 21 octobre 1925, selon les sources). Elle grandit dans un milieu populaire et, accompagnant fréquemment sa tante pour écouter de la musique dans des cabarets, développe bientôt une vocation artistique. Son père l’encourage à suivre une scolarité régulière, dans l’espoir de la voir devenir enseignante. Ay Cubana ! Elle enregistre son premier disque en 1948. Mais Celia Cruz bénéficie du soutien de ses camarades et finit par trouver ses marques. A bas la révolution ! Salsa piquante. Rigoberta Menchú. Rigoberta Menchú, née le 9 janvier 1959 à Chimel (Guatemala), est une figure indigène guatémaltèque luttant pour les droits humains. Elle a reçu le prix Nobel de la paix en 1992, « en reconnaissance de son travail pour la justice sociale et la réconciliation ethno-culturelle basées sur le respect pour les droits des peuples autochtones ».

En 1998, elle fut aussi premier prix Princesse des Asturies de coopération internationale. En 2007, elle fut candidate à l'élection présidentielle du Guatemala et obtint 3,09 % des voix, arrivant à la cinquième place. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Fille de Vicente Menchú Pérez et Juana Tum Kotoja ( qui exerçait la profession traditionnelle de sage-femme dans la communauté indigène à laquelle appartenait la famille), Rigoberta Menchú naît dans l'ethnie maya des Quichés au Guatemala le 9 janvier 1959.

Son père était un homme engagé. La guerre civile[modifier | modifier le code] Rigoberta est mère. Rigoberta Menchù : sa vie, son oeuvre - ClubQuetzal. Rigoberta Menchú Tum est née à Chimel (Guatemala) le 9 janvier 1959 dans une famille de pauvres paysans indiens. Elle appartient à la communauté des Quiché, l’une des plus importantes communautés de la culture Maya. Sa vie incarne l’oppression et la discrimination auxquels sont soumis les Indiens du continent américain depuis la conquête espagnole. Rigoberta déclare avoir commencé à travailler dans les fincas (vastes domaines agricoles) dès l’âge de cinq ans. Des familles entières sont alors convoyées en camion depuis les montagnes vers les plaines côtières pour y récolter le café. Elle s’implique bientôt dans des activités sociales à travers l’Eglise Catholique et se fait connaître dans les mouvements pour le droit des femmes alors qu’elle n’est encore qu’une adolescente.

La famille de Rigoberta est accusée de prendre part à la guerrilla et Vicente est emprisonné et torturé pour avoir prétendument participé à l’exécution d’un propriétaire local. Rigoberta Menchú Tum : « Les droits des femmes sont au cœur de l’État de droit ». Rigoberta Menchú Tum est Prix Nobel de la Paix depuis 1992. Issue de la communauté des Quiché au Guatemala, elle consacre sa vie à la réconciliation fondée sur le respect des droits des peuples autochtones et la justice sociale.

Elle crée en 1993 à Mexico une fondation pour renforcer le respect des droits de l’homme et la recherche de la paix : la Fondation Rigoberta Menchú Tum. Dans le cadre de la journée internationale des femmes, Rigoberta Menchú Tum accorde un entretien exclusif à l’association LATFRAN (France–Amérique latine, latfran.fr), en partenariat avec la Revue politique et parlementaire. Elle répond aux questions de Pascal Drouhaud, Président de LATFRAN, pour faire le point sur la situation des femmes dans le monde, et plus particulièrement dans la région Amérique latine-Caraïbes, après une année de pandémie qui a bouleversé la vie quotidienne de la planète.

LATFRAN : Pourquoi est-il important de célébrer la Journée des droits des femmes ? Rigoberta Menchú : Oui, absolument. Michelle Bachelet. Michelle Bachelet [miˈtʃel βatʃeˈle][1], née le 29 septembre 1951 à Santiago, est une femme d'État chilienne, présidente de la République de 2006 à 2010 et de 2014 à 2018. Membre du Parti socialiste du Chili, elle est ministre de la Santé, puis de la Défense dans les gouvernements de Ricardo Lagos. Elle est présidente de la république du Chili, une première fois, de 2006 à 2010. Elle est la première femme à occuper ce poste. À ce titre, elle est présidente de l'Union des Nations sud-américaines de 2008 à 2009 et est à la tête de l'ONU Femmes de 2010 à 2013. Elle est Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme de 2018 à 2022.

Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Durant le gouvernement du président Salvador Allende, le général Bachelet est nommé à la tête du Bureau de distribution de produits alimentaires. Après avoir été réfugiée politique, Michelle Bachelet a élevé seule ses trois enfants[6]. Études[modifier | modifier le code] Michelle Bachelet, première femme présidente de la république chilienne. Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 15 janv. 2006 | Date d'évènement : 15 janv. 2006 Contexte historique Élue le 15 janvier 2006 avec 53,5 % des suffrages, Michelle Bachelet est devenue la première femme présidente de la République d'un État d'Amérique du Sud.

L'élection à la plus haute magistrature d'une femme divorcée, élevant seule ses trois enfants et agnostique (dans un pays largement conservateur, comptant plus de 80 % de catholiques et dans lequel le divorce n'a été autorisé qu'en 2005) constitue un véritable événement. L'engagement socialiste de Michelle Bachelet est précoce. Lorsqu'elle entreprend de briguer la succession du président Ricardo Lagos, elle sait qu'elle doit affronter des préjugés misogynes, notamment ceux du candidat de la droite Sebastian Pinera, et plus encore qu'un homme, faire la preuve de ses compétences.

Éclairage média Ce reportage diffusé par France 2 le jour de l'élection présidentielle propose un portrait de la candidate. Le grand retour de Michelle Bachelet. Tailleur bleu et collier de perles, elle esquisse quelques pas de danse sur une musique cumbia avec "Don Francisco", le présentateur vedette de la chaîne Canal 13. Plus tard, elle rigole devant les caméras : "Quand j'ai décidé de me ­représenter, ma mère m'a dit : t'es mal barrée! " Et pourtant… Chaleureuse, décontractée et sûre d'elle-même, Michelle Bachelet est de retour. À 62 ans, l'ex-présidente du Chili de 2006 à 2010 devrait facilement remporter l'élection de dimanche. D'après le dernier sondage du CEP (Centre d'études publiques), elle remporterait une victoire écrasante, avec 47% des voix contre 18% pour la candidate de droite, Evelyn Matthei, une ancienne camarade de jeu. La suite après cette publicité Son retour sur le devant de la scène, elle l'a savamment orchestré.

La fille d'un général tué sous Pinochet Depuis son entrée en politique, tout sourit à cette descendante d'un vigneron de Bourgogne immigré au Chili. Alliance avec les communistes Source: JDD papier. Eva Perón, la madone du peuple argentin. María Eva Duarte est née le 7 mai 1919, fruit des amours illégitimes d’un fermier de Chivilcoy (province de Buenos Aires) et de sa servante. Devenue veuve, Madame Duarte ouvre une pension de famille à Junín, où elle s’obstine à pousser ses enfants à faire de beaux mariages. Seule Evita refuse. En lisant les revues de cinéma, elle rêve d’un autre destin : conquérir la capitale et devenir actrice, comme Jean Harlow, la belle blonde de Hollywood. Elle veut la gloire. La jeune femme débarque à Buenos Aires en 1935, où elle s’installe dans une pension du quartier de La Boca.

Pétrie d’ambition, elle ne renonce pas. Début 1944, elle rencontre le colonel Juan Domingo Perón, secrétaire d’État au travail, de vingt-quatre ans son aîné. Perón est vice-président d’un régime militaire qui s’est imposé en 1943 par un coup d’État quand l’Allemagne s’effondre en 1945. Quatre jours plus tard, Eva Duarte devient Eva Perón. Le peuple l’appelle Evita. Cinquante ans après sa mort, le mythe Evita demeure. Eva Perón est morte à 33 ans, il y a 72 ans. María Eva Duarte de Perón [maˈɾia ˈeβa ˈðwaɾte ðe peˈɾon], mieux connue sous le nom d’Eva Perón ou d’Evita, née le 7 mai 1919 à Junín ou Los Toldos (province de Buenos Aires) et morte le 26 juillet 1952 à Buenos Aires, est une actrice et femme politique argentine.

Elle épousa en 1945 le colonel Juan Domingo Perón, un an avant l’accession de celui-ci à la présidence de la république argentine. D’origine modeste, elle alla à l’âge de quinze ans s’établir à Buenos Aires, où elle s’initia au métier de comédienne et acquit un certain renom au théâtre, à la radio et au cinéma. En 1943, elle fut l’un des fondateurs de l’Asociación Radial Argentina (ARA, syndicat des travailleurs de la radiodiffusion), dont elle fut élue présidente l’année d’après. Elle œuvra en faveur du droit de vote pour les femmes et en obtint l’adoption juridique en 1947. Elle décéda le 26 juillet 1952 des suites d’un cancer fulgurant du col de l'utérus, à l’âge de 33 ans. Source : Wikipedia. Eva Eva Perón : Le destin tragique de la madone argentine devenue femme de légende. Sa trace est indélébile. Maria Eva Duarte, plus connue sous le nom d’Eva Perón, est de ces figures qui marquent tout un pays. Née le 7 mai 1919 à Los Toldos, une province située non loin de Buenos Aires, elle est le fruit d’une relation illégitime entre le propriétaire agricole Juan Duarte et une certaine Juana Ibarguren.

Lorsque son père décède des suites d’un accident de voiture, Maria Eva Duarte, accompagnée de sa mère et de ses quatre frères et sœurs, doit déménager, faute de revenus. La grande famille s’installe donc dans un appartement étroit, bien différent du domaine dans lequel elle vivait précédemment, et subsiste grâce aux revenus de couturière de Juana Ibarguren, qui éduque ses enfants avec sévérité, tout en veillant à ce qu’ils ne manquent de rien. De son côté, Maria Eva Duarte aspire à un avenir rempli de paillettes. Eva Perón en 1950. ullstein bild Dtl. Une Première dame adulée. La légende de “la llorona” De nos jours, la légende de la Llorona continue d’exister à travers les arts, comme la poésie, le théâtre, la littérature et le cinéma.

Jayro Bustamente est directeur, scénariste et producteur de cinéma guatémaltèque. Il fut l’un de ceux qui ont revisité la légende de la Llorona au cinéma. Son film la Llorona réinterprète cette légende ancienne à travers une perspective sociale et politique. Le film raconte l’histoire de la famille d’un dictateur guatémaltèque, le général Enrique Monteverde, poursuivi en justice pour crime de guerre pour le génocide du peuple Maya-Ixil.

Ici, la Llorona, jouée par Alma, la nouvelle domestique, tourmente le général responsable de la mort de ses deux enfants. À travers son adaptation, Jayro Bustamante a réinventé le personnage de la Llorona pour le transformer en justicière, et en une Madre Tierra pleurant la mort de ses enfants disparus. Durant le film, La Llorona cesse d’être une mère matricide, abandonnée par un homme comme dans le mythe initial. La Llorona. La Llorona (API : /la ʝoˈɾona/, prononcer « Yorona » ou « jorona », « la pleureuse » en espagnol), est un fantôme issu du folklore d'Amérique hispanique. Selon la légende, elle se présente comme l'âme en peine d'une femme ayant perdu ou tué ses enfants, les cherchant dans la nuit près d'un fleuve ou d'un lac, effrayant ceux qui entendent ses cris de douleur perçants.

Il existe beaucoup de versions différentes de cette légende selon les régions, mais elles s'accordent toutes plus ou moins. Origine du mythe[modifier | modifier le code] « …Très souvent on l’entendait : une femme pleurait, criant la nuit, errant en hurlant : « Mes enfants, déjà nous devons partir loin ! » Et parfois elle disait : « Mes enfants, où donc vous conduirai-je ? »… » (Traduction du livre de Bernardino de Sahagún, Historia general de las cosas de Nueva España, 1956, IV, p. 82) Enfin, Cihuacóalt était, pour les mexicains, la déesse de la terre (Coatlicue) et de la fertilité et des accouchements (Quilaztli).

La figura de la Malinche. Introducción La Malinche, conocida también como Malinali, Malintzin o doña Marina, es una figura central de la conquista de México. Considerada por muchos como la madre del país por el vínculo que creó entre españoles e indígenas, otros la designan como «la traidora». Como explica Cristina González-Hernández en su libro Doña Marina (La Malinche) y la formación de la identidad mexicana: «se trata de un ser que se ha instalado en la memoria colectiva como un símbolo maldito y ambivalente: es el arquetipo de la traición a la patria y al mismo tiempo la madre simbólica de los mexicanos, el paradigma del mestizaje». Veremos que esta ambigüedad procede de las diferentes interpretaciones que se hizo de este personaje a lo largo de la historia y en función de la idea de identidad mexicana que se tenía en aquellos distintos momentos. Historia: la conquista de México y el papel de la Malinche Numerosas son las fuentes que mencionan la Malinche en sus testimonios de la conquista de México.

La Malinche, personnage controversé. La Malinche est une femme indienne probablement originaire de la tribu des Nahua. Elle fut la maîtresse du conquistador Hernan Cortés, avec qui elle eut un fils. Elle joua un rôle central dans la conquête espagnole en tant que guide, interprète et informatrice. La Malinche est un personnage central dans le souvenir collectif mexicain et dans l’histoire du pays. Aujourd’hui la figure de La Malinche est omniprésente dans la culture mexicaine mais son interprétation reste très contradictoire. Elle est d’un côté considérée comme le symbole de la traîtrise et de la collaboration et d’autre part le symbole du Mexique moderne, métissé. Il existe de nombreuses versions de l’origine de La Malinche mais ces dernières paraissent peu crédibles tant les descriptions faites par les espagnols, conquistadors et biographes, paraissent bibliques.

La Malinche était initialement une esclave qui fut offerte aux espagnols par le peuple Maya à leur arrivée avec une vingtaine d’autres esclaves. La Malinche. Frida Kahlo, peintre mexicaine. Dolores Ibárruri, La Pasionaria. Dolores Ibárruri. Alexia Putellas - La biographie de Alexia Putellas avec Gala.fr. Alexia Putellas. Penélope Cruz. Penélope Cruz - Sa bio et toute son actualité.