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Droits au logement et luttes sociales

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Permisdevisite.noblogs.org | blog du guide à l'usage des proches de personnes incarcérées. Le Squat de A à Z. Ceci est le produit d’une écriture collective, par des squatteur-euse-s, pour des squatteur-euse-s ou personnes forcées ou tentées de le devenir. Envoyez vos contacts, critiques, idées, infos ou propositions de modifications à a-z at squat.net. Cette adresse e-mail peut aussi être utilisée pour poser des questions spécifiques auxquelles ne répondrait pas ce guide, pour faire des demandes de jurisprudences, de documents juridiques, de défense-type...

Envoyez-nous vos jurisprudences, récits, bilans d’expériences, notamment ce qui pourrait s’avérer contradictoire avec ce qui est écrit dans ce guide, pour que l’on puisse continuer à l’améliorer en fonction de l’évolution des situations et continuer à diffuser les documents et infos utiles à travers la France.

Le squat de A à Z étant régulièrement réédité, demandez-nous la dernière version ! Sur squat.net où vous trouverez aussi de nombreuses infos sur les squats à travers le monde, ainsi que quelques textes de fond et divers documents. Florian Philippot à "SLT" : les 9 mensonges du FN sur l'immigration enfin dévoilés. C’est ainsi que Plenel a porté une ou deux attaques, violentes mais desquelles Philippot s’est sorti à chaque fois avec les honneurs, comme par exemple, quand le journaliste nous a expliqué que le FN n’avait "pas changé" et que "sous le capot", le moteur était le même, il y avait l’extrême-droite.

Ce à quoi le politique lui a répondu avec un sens impressionnant de la répartie que "sous la moustache", le journaliste non plus n’avait pas changé, évoquant son sectarisme et son côté procureur. Match nul, balle au centre. Edwy Plenel est certes un débatteur de qualité mais prévisible et face à Florian Philippot qui manie la rhétorique comme personne, ce n'était pas gagné. Donc, il fallait trouver un autre type de contradicteur pour parvenir à faire dévier de sa course et pousser à s’autodétruire Philippot le missile bleu marine lancé à l’assaut de nos intelligences et de nos cœurs. Ce fut fait et j’y reviendrai. En juin dernier, la première manche Une arme de destruction massive 1. 2. 3. 4. 5. A Toulouse, squat et autogestion comme alternative aux foyers d'urgence. A Toulouse, des personnes dorment et meurent encore dans la rue alors que des milliers de logements sont vides.

Un groupe de squatteurs a décidé de lutter contre cette aberration en ouvrant des centres sociaux autogérés dans des squats. A l'intérieur, les habitants organisent ensemble le quotidien sans aucune subvention. Ils sont sans domicile fixe, sans papiers, sans emploi, souvent les trois à la fois. Depuis 2011, ils sont entre 100 et 200 à bénéficier à Toulouse d’un logement dans des bâtiments (majoritairement) publics jusque là inoccupés. Sauf que ces lieux de vie principalement habités par des familles ne sont gérés ni par la mairie, ni par le département, ni par l’Etat. Et pour cause. . « Cette vie de chien nous pousse à nous auto-organiser », estime Ali, ancien chauffeur routier qui dénonce le fichage des « pauvres » et la nécessité de quémander pour survivre qu’il a observé dans les centres d’hébergement classiques. Autogestion à tous les étages Une grande famille. A Montreuil, la boulangerie anarchiste fait du bon pain. Ce n’est surement pas un hasard si la jeune équipe militante de cette boulangerie a choisi comme nom le titre éponyme du livre de Kropotkine , anarchiste communiste russe (1842-1921).

Cette Scop créée en avril 2010 (ouverture en septembre 2010) est composée de cinq salariés, Pierre, Thomas, Mathieu, Florence et Benoît, chacun étant responsable d’un secteur d’activité. Ici, l’autogestion n’est pas qu’une utopie mais est vécue quotidiennement. Au cours de l’Assemblée générale qui a lieu tous les quinze jours, chacun fait un compte-rendu du mandat reçu pour les quinze jours précédents et les décisions sont prises pour la quinzaine suivante. Tout le monde touche le même salaire. Chacun travaille ici de 50 à 55 heures par semaine.

Le pain est issu de farine biologique provenant de Seine-et-Marne Un tarif social existe d’ailleurs pour le pain, sur demande et sans justificatif de revenu, qui fait passer la baguette de 1 euro à 0,75 euro et le pain d’1 kg de 5,50 à 4,20 euros. Leur site. Et Pourquoi Pas ? présente La Place, un livre sur un centre d'hébergement atypique. Présentation détaillée du projet Avant-propos Il aura fallu environ 5 ans pour en arriver là, trois ans de terrain, de prises de vues, de receuils de témoignages et d’ateliers d’expressions puis deux ans de rédactions. Ces cinq ans, nous les avons fait bénévolement. L’histoire que nous souhaitons vous raconter est celle d’une structure sociale grenobloise. Il s’agit de mettre en lumière la réalisation d’un projet socio-éducatif ambitieux à destination des personnes dites en “errance” avec des mots, des images et des illustrations. Nous avons écrit ce livre à la fois avec la volonté d'illustrer l'accompagnement des personnes en "errance" et dans un souci de vulgarisation du travail social réalisé à La Place.

Aujourd’hui, nous sommes dans la dernière ligne droite. La Place, un CHRS de stabilisation La Place était un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) géré par l’association Le Relais Ozanam à Grenoble qui a ouvert ses portes en 2008 et les a fermé en 2011. Le fond : La forme. « La liberté de consommer est une illusion bien cher payée » - Décroissance. Basta! : Instaurer un revenu de base, aussi appelé revenu d’existence ou allocation universelle, est une revendication qui commence à émerger. Vous faites une nouvelle proposition en ce sens. En quoi votre projet est-il original ? Vincent Liegey [1] : Le revenu d’existence consiste à donner à tous, de la naissance à la mort et de manière inconditionnelle, un revenu. C’est une idée très ancienne que l’on a contribué à exhumer, mais avec un regard critique : ce type de revenu peut très bien s’inscrire dans le système économique actuel, sans le renverser ni le questionner.

Même Milton Friedman, l’un des pères du néolibéralisme, était favorable à un revenu d’existence – en supprimant minimas sociaux et syndicats, et en laissant agir la « main invisible » du marché ! Nous avons développé une proposition, la dotation inconditionnelle d’autonomie (DIA), qui s’appuie sur les réflexions passées, mais qui se situe hors du système marchand. Comment ce revenu sera-t-il versé aux citoyens ? Marinaleda, Andalousie : Un modèle d'auto-gestion unique en Europe. A propos du projet Éditer Depuis 1978, dans le village de Marinaleda en Andalousie (Espagne), tout le monde gagne le même salaire, qu’on travaille au champ, à l’usine ou dans les bureaux, soit 1128 € par mois.

De quoi bien vivre, puisque tous les services et le logement sont gratuits, ou presque. Les loyers sont en effet de 15 € par mois pour une maison de 90 mètres carrés. Le droit au logement est garanti : la municipalité fournit le terrain et la personne qui souhaite s’installer est aidée pour construire elle-même sa maison.L’accès à la santé, à l’éducation et aux activités culturelles est gratuit ou presque, ainsi que les services comme la garderie… Marinaleda a une taxation parmi les plus faibles d’Andalousie. En quoi ce projet est-il singulier et créatif ? Éditer Le système est simple : les habitants ont créé une coopérative qui ne redistribue pas les bénéfices.

Les maisons sont construites sur des terrains municipaux. Quelle est la plus-value sociale du projet ? Emergencetoulouse | entrezone culturelle autogérée. Les pauvres fraudent dix fois moins que les riches - Stigmatisation. Au squat-cantine des Pyrénées, menu à 5 euros et police au dessert. Intervention policière à La Cantine des Pyrénées, dans le XXe arrondissement de Paris, 19 mars 2013 (Pascal Riché/Rue89) Parfois, c’est l’actualité qui vient à Rue89, et pas l’inverse. En 2009, la pépinière d’entreprises où nous étions installés rue des Haies, dans le bas du XXe arrondissement de Paris, avait été occupée par les mal-logés en colère.

Voilà La Cantine des Pyrénées, un squat organisé en « cantoche qui veut changer le monde » comme l’écrit Guillemette Faure dans Le Monde magazine, prise pour cible d’un impressionnant dispositif policier. Cela se passe toujours sous nos fenêtres, mais cette fois rue des Pyrénées, où la rédaction a déménagé en mars 2010. Même arrondissement, autre quartier populaire du nord-est parisien. Monroe et Chaplin, reliques du Bar des amis Le principe du lieu est simple : le plat est à 3 euros, le menu complet à 5 euros et « le reste est gratuit » : les cours de français, le ciné-club, les ateliers d’écriture... Le (maigre) stock d’alcool photographié. Soin, santé, social. Loi Dalo : « les travailleurs sociaux de Toulouse vont porter plainte contre l'Etat » Une manifestation était organisée hier devant le commissariat central de Toulouse pour dénoncer le non-respect de la loi Dalo.

Photo / CTI Ce mardi, une manifestation était organisée devant le commissariat central de Toulouse. Elle avait pour but de dénoncer le non-respect de la loi Dalo (Droit au logement opposable) par la classe politique. Une centaine de personnes, militants et sans-abris, étaient rassemblées ce mardi devant le commissariat central Toulouse pour dénoncer le non-respect de la loi Dalo. Régis Godec, candidat Europe Ecologie Les Verts, Geneviève Genève, coordinatrice du collectif inter-association de Toulouse étaient présents afin de protester contre la fermeture de 65 places à la Halte de Nuit ainsi qu’à l’accueil d’urgence familiale de Muret. « Une plainte symbolique contre l’Etat va être déposé par les travailleurs sociaux de Toulouse », explique Geneviève Genève. Cette loi sur le logement opposable est donc mal appliquée. Charles Monnet.

Droit au logement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Plusieurs législations fondamentales mentionnent ou garantissent un droit au logement. Il est mentionné dans des textes constitutionnels, ou à valeur constitutionnelle, en Espagne, en Finlande, au Portugal, en Grèce, en Suisse, entre autres. Il est également inscrit dans plusieurs textes internationaux de droits de l'homme et dans plusieurs instruments régionaux[1] y compris la Charte sociale européenne[2] et la Convention relative aux droits des personnes handicapées[3].

Il est ainsi affirmé dans le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels à l'article 11 : « Les États parties au présent Pacte reconnaissent le droit de toute personne à un niveau de vie suffisant pour elle-même et sa famille, y compris une nourriture, un vêtement et un logement suffisants, ainsi qu'à une amélioration constante de ses conditions d'existence. Couverture du supplément illustré du Petit Journal le 11 février 1912 10. 11. Nouvelle expulsion à Toulouse. Relaxe générale pour le procès en appel du campement du 30 mars » DAL Droit Au Logement (86) Vienne - Grand Poitiers. SQUATS ET RÉQUISITION DE BATIMENTS VIDES À TOULOUSE. « Je veux, si je suis élu président de la République, que d’ici à deux ans plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid. » [...] « Le droit à l’hébergement, c’est une obligation humaine. Si on n’est plus choqué quand quelqu’un n’a plus un toit lorsqu’il fait froid et qu’il est obligé de dormir dehors, c’est tout l’équilibre de la société, où vous voulez que vos enfants vivent en paix, qui s’en trouvera remis en cause. » Tels sont les mots que Nicolas Sarkozy avait prononcé en décembre 2006.

Il est vrai que les promesses n’engagent que celles et ceux qui y croient…. Quelques réquisitions à Toulouse : L’AUTOPHAGE, le GPS, le CREA, Le 16 ALLÉES DES DEMOISELLES, L’EMERGENCE... Un nouveau lieu, "Le Château des Miracles" vient d’ouvrir. D’autres vidéos sont à venir sur Tv Bruits et cet article sera régulièrement réactualisé. "4 bis rue Goudouli" - le GPS , Groupement Pour la Défense du Travail Social" Durée : 6’53" Un autre film sur le GPS : Durée : 19’ La Chapelle.

Droit au logement (association) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Droit au logement (parfois abrégé en DAL) est une association française loi de 1901 créée en 1990 dont le but est de permettre aux populations les plus fragilisées (mal logés et sans-logis) d'avoir accès à un logement décent, en exerçant leur droit au logement. C'est dans ce contexte que le DAL sera créé par les militants associatifs Jean-Baptiste Eyraud et Jean-Claude Amara. Selon Jean-Baptiste Eyraud, ce sont des familles du campement qui leur auraient demandé de créer l'association[4][réf. insuffisante].

Selon les acteurs les plus proches des événements, ce serait suite à de multiples tractations et injonctions des futures forces de la gauche plurielle et pour mettre au pas cette lutte qui les débordaient en créant une association concurrente ayant les faveurs des principaux médias aux ordres[1]. Dans un premier temps, le DAL s'adresse surtout à des familles mal logés. Le CREA réquisitionne 5400m2 innocupés depuis six ans. (Actualisé) Une semaine après leur expulsion, les militants du CREA ont réquisitionné des locaux de 5400m2 vides et inoccupés depuis six ans à quelques mètres à peine de leur ancien squat.

Ils espèrent pouvoir l’occuper tout l’hiver. >> Actualisé avec la réaction de Jean-Luc Moudenc, député UMP de la Haute-Garonne le 11 septembre 2012 à 19h24 « On est à 50 mètres à peine à vol d’oiseau (de l’ancien bâtiment occupé, ndlr). Cela montre bien qu’en terme de gestion du patrimoine il y a un problème ». Depuis le toit du bâtiment du 22 rue Demouilles dans le quartier du Pont des Demoiselles, l’ancienne résidence du CREA (Collectif pour la Réquisition l’entraide et l’autogestion) se profile à quelques pâtés de maisons cossues. Cuisine équipée, salle de réunion et moquettes de direction Inhabités depuis toutes ces années, les locaux semblent pourtant en bon état. Dans les étages, les bureaux vides se succèdent, le nom de leurs derniers occupants parfois encore inscrits sur les portes. Google+ Au coeur d'un squat expulsable.

Réquisition, expulsion. Réquisition, expulsion. Invisibles pendant ces temps forts parfois médiatiques, des familles sans hébergement sont ballotées au gré des expulsions et de l’ouverture de nouveaux locaux. C’est le cas rue du professeur Jammes, où 46 personnes attendent avec anxiété une prochaine expulsion au coeur de l’hiver. Une escale au milieu de la rue C’est un immeuble de quatre étages datant des années cinquante comme on en trouve des dizaines dans le quartier des Minimes. Occupés depuis la fin août dans le cadre de la campagne de réquisition, la dizaine de logements accueille entre quarante et cinquante personnes dont neuf familles avec plusieurs enfants.

Au premier, on trouve Igor* et Vassili*, d’origine Bulgare. A l’évocation du mot « police », son fils sort de la chambre en courant : « Qu’est-ce qu’il se passe ? Droit à l’hébergement opposable et en squat Repartir vivre dehors C’est la question que se posent Miglena, son mari et ses deux enfants. . * Les prénoms ont été changés. Les militants du droit au logement enchaînent les actions. Crea Toulouse | Tout pour tou-te-s, pouvoir au peuple !

Communiqué de presse du crea suite à l'expulsion du 16 janvier 2013. Mercredi 16 janvier 2013 3 16 /01 /Jan /2013 19:00 Les expulsions ne nous arrêtent pas ! En plein hiver, des bâtiments vides réquisitionnés par des familles, des femmes seules, des travailleurs pauvres, des chômeuses et des étudiantes précarisées sont expulsés par la Préfecture de Haute-Garonne. Pour prévenir l'expulsion de l'immeuble du 35 rue du Professeur James (immeuble effectivement expulsé le 3 janvier), le 28 décembre, ses habitants, à travers la campagne de la réquisition, ont occupé un bâtiment appartenant à Habitat Toulouse (dirigé par la Mairie) pour s'y loger et créer des espaces d'activités pour les adultes et les enfants (cantine populaire, salle de jeux, cours de français..). Or, cet immeuble a été loué à l'Association Espoir qui assure une mission d'hébergement pour des familles.

La campagne de réquisition a proposé une rencontre avec la veille sociale, la Directrice de l'association « Espoir » et la Direction Départementale de la Cohésion Sociale. Centre Social Autogéré de Toulouse. Divers luttes, anarchisme, alternatives. Prison, répression, sécuritaire. Anarchisme(s) Presse noire. Sites d'associations. Répression de l'immigration, frontières. Autogestion. Info Alternative. Le Manifeste des Desobeissants. Les anars français formés à la violence en Grèce: histoire d'une intox. Adhérer à Tv Bruits ? Les méthodes de l’action nonviolente. CQFD, mensuel de critique et d'expérimentation sociales. La Boutique militante.