WIKILEAKS PHENOMENA. 12 Theses on Wikileaks. These 0.
“What do I think of Wikileaks? I think it would be a good idea!” (after Mahatma Gandhi’s famous quip on ’Western Civilisation’) These 1. Disclosures and leaks have been a feature of all times, but never before has a non state- or non- corporate affiliated group done this at the scale Wikileaks managed to with first the ‘collateral murder video’, then the ‘Afghan War Logs’ and now ‘Cablegate’. These 2. For better or for worse, Wikileaks has skyrocketed itself into the realm of high-level international politics.
These 3. The Drum 15/12/10. WikiLeaks Reloaded: Les suites de la fuite » Article » OWNI, Digital Journalism. Plus que la transparence, WikiLeaks pose la question du fonctionnement de la machinerie diplomatique.
Pour Jean-Noël Lafargue, cela vient renforcer un climat de méfiance généralisée. Retour en quatre articles sur le "CableGate". Voilà, c’est fait, WikiLeaks a effectivement entamé la diffusion des centaines de télégrammes diplomatiques qui lui ont été transmis et, comme prévu, on s’affole un peu partout. Les journaux qui ont accompagné l’opération se confondent en explications déontologiques ; la diplomatie mondiale est embarrassée mais s’affirme solidaire ; de nombreuses personnalités de la politique mondiale proposent la mise hors-la-loi de WikiLeaks et de ses responsables ; Élisabeth Roudinesco affirme: […] Il faudra trouver une parade à la sottise infantile des nouveaux dictateurs de la transparence.
Le problème n’est pas la transparence, mais la manipulation Des maîtres du monde bien plus faibles que prévu Julian Assange, énigme au cœur des attentions Martyr de la liberté d’informer ? Jay Rosen and the Watchdog Web. I have to say what nearly fifty thousand Twitter followers already know: nobody does a better job of following and writing about what’s going on in journalism than Jay Rosen.
The dude just nails it, over and over and over again. His latest, From Judith Miller to Julian Assange: Our press somehow got itself on the wrong side of secrecy after September 11th, puts the whole Wikileaks matter in the the closest thing we have to an objective view. That is, anchored here: outside the mainstream media. In this Vimeo, he says The watchdog press has died. We have this instead. It’s true. Here are Jay’s latest tweets, all more than worth reading (amazed here that I can copy and paste this in WordPress, but with a little HTML hacking, it sort of works): Important. Here’s the highest respect I can give to Jay’s authority on this stuff: he’s changed my mind. As Scoop Nisker so perfectly puts it, “If you don’t like the news, go out and make some of your own.” PdF Presents: A Symposium on Wikileaks and Internet Freedom. The Scoop - The Future of the Web. More WikiLeaks: The 24-hour Athenian democracy.
6 questions sur WikiLeaks, le Napster du journalisme » Article » OWNI, Digital Journalism. WikiLeaks est-il vraiment transparent?
Fallait-il publier les mémos diplomatiques? Nous apprennent-ils quelque chose? Le processus est-il réversible? Assiste-t-on à une évolution structurelle de la société? OWNI essaie de répondre à ces interrogations. Près d’une semaine après le début de leur mise en ligne, les mémos diplomatiques révélés par WikiLeaks continuent d’agiter le landerneau politico-médiatique. Transparence = totalitarisme, vraiment? NON. La transparence, ça veut dire qu’il n’y a plus d’intimité, plus de discrétion [...] Quel rapport? Tous ces télégrammes ont été publiés après que les cinq rédactions partenaires (le Guardian, le New York Times, Der Spiegel, Le Monde et El Pais) les aient parcourus, étudiés, contextualisés, vérifiés.
Fallait-il publier ces documents? OUI. Mais il y a une seconde question. C’est aux gouvernements, pas à la presse, de garder les secrets tant qu’ils le peuvent, et de s’ajuster vis-à-vis de la réalité quand ceux-ci sont découverts. OUI.