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Le noble Octuple sentier. Les deux branches qui suivent, l'attention juste et la concentration juste font référence à la pratique de la méditation. Il n'y a donc que deux branches qui font référence à la méditation proprement dites:La contemplation du corps, des sentiments, de l'esprit, et des phénomènes. - En savoir plus : Lire sur ce blog L'Etablissement de l'Attention ou les quatre Objets de l'Attention : ICI C'est la fixation de l'esprit sur un seul objet.Vous trouverez ci après : - L'Octuple Sentier présenté par Ajahn Suriyo. - Le noble oculpte sentier Présenté par Michel henri Dufour - Versets sur le sentier L'Octuple Sentier présenté par Ajahn Suriyo: L'Octuple Sentier est parfois simplement appelé en pâli magga , ce qui signifie "sentier" ou "voie" et parfois cette voie est appelée "Voie du Milieu" parce qu'elle évite les deux extrêmes et même tous les extrêmes.

Pour Michel Henri Dufour : Dans les Textes classiques la Voie est ainsi présentée :I. 1. conception correcte La vue, la compréhension non viciée. II. IssueAtHandFrench. Access to Insight. Shingyo. Soutra%20du%20Diamant. Bouddhisme vajrayāna. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le vajrayāna (sanskrit : वज्रयान) est une forme de bouddhisme d'origine indienne, nommée aussi bouddhisme tantrique, dont la compréhension nécessite celles du Mahāyāna et du Hīnayāna.

Il contient des éléments semblables à l'hindouisme et en particulier au shivaïsme cachemirien. Au Tibet, le vajrayāna et le bön, religion locale, se sont eux aussi influencés réciproquement. Son nom sanskrit signifie « véhicule » ( yâna) du diamant ou adamantin (vajra). Il est apparu en parallèle avec l’hindouisme tantrique. Principes fondamentaux[modifier | modifier le code] Un vajra rituel, symbole polymorphe, notamment de l'habilité, l'inventivité et l'inflexibilité dans la mise en œuvre du dessein du bodhisattva. Le Vajrayāna s’inscrit dans le cadre bouddhique et philosophique du Mahāyāna et nécessite une bonne compréhension de la compassion et de la vacuité (shunyata). Une forme de Mahāyāna[modifier | modifier le code] Pratiques[modifier | modifier le code]

Sutta Pitaka. Portail sans porte du Canon pali. Le lotus de la bonne loi. Textes du bouddhisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les différents courants du bouddhisme s'appuient sur de nombreux textes compilés après la mort du Bouddha, celui-ci n'ayant rien écrit. La transmission des paroles du Bouddha s'est faite oralement pendant trois à quatre siècles environ, avant que les suttas du canon pāli ne commencent à être écrits. La base du canon bouddhique est constituée de textes en pāli, sanscrit, chinois et tibétain ; le bouddhisme au Japon s’appuie aussi de façon importante sur des textes composés en japonais. Les premiers textes bouddhiques furent tout d’abord rédigés en prakrits, langues indo-aryennes vernaculaires proches du sanscrit, dont fait partie le pāli, langue du canon theravada.

Les textes du canon mahayana furent rédigés dans une variété de prakrits, puis ultérieurement traduits en une forme hybride de sanscrit[1]. Ces textes se sont longtemps transmis à travers des copies successives. Des origines à l'ekayana[modifier | modifier le code] 18_%20Three%20Baskets%20_Tipitaka_%20in%20Buddhism. Môhan Wijayaratna.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Môhan Wijayaratna (né en 1947) est un anthropologue français spécialiste du bouddhisme et du theravada en particulier, expert en langues pâli et sanskrit, et traducteur depuis ces langues. Ses travaux ont en partie porté sur la vie du Bouddha, dans le cadre de la société indienne de l'époque. Wijayaratna a travaillé sous la direction d'André Bareau. Ouvrages[modifier | modifier le code] Traductions de textes bouddhiques Sermons du Bouddha, Éditions du Cerf, 1988La Philosophie du Bouddha, 2000.Les Entretiens du Bouddha, Seuil, 2001.Sermons du Bouddha, Seuil, 2005.Digha Nikaya (3 tomes), Éditions Lis, 2007-2008.Majjhima Nikaya (5 tomes), Éditions Lis, 2009-2011.Autres ouvrages Le Moine bouddhiste selon les textes du Theravâda, Éditions du Cerf, 1983.Le Bouddha et ses disciples, Éditions du Cerf, 1990.Les Moniales bouddhistes, Éditions du Cerf, 1991.

Références[modifier | modifier le code] Présentation des livres de Wijayaratna.