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MYTHOLOGIE GREC/ROMAINE

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Cybèle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cybèle

Cybèle (en grec ancien Κυϐέλη / Kybélê signifiant « gardienne des savoirs ») est une divinité d'origine phrygienne (connue également sous le nom d’Agdistis en Phrygie), importée en Grèce et à Rome, personnifiant la nature sauvage. Elle est présentée comme « Magna Mater », Grande Déesse, Déesse Mère ou encore Mère des dieux. Cybèle est sans doute l'une des plus grandes déesses de l'Antiquité au Proche-Orient. Mythe[modifier | modifier le code] Cybèle[modifier | modifier le code] On retrouve Cybèle dans des mythes contradictoires. Déesse phrygienne et dans la tradition lydienne, Cybèle est issue du père des Dieux, mais est abandonnée à la naissance et recueillie par un léopard ou un lion. On a établi un rapport étroit entre l’Artémis vénérée à Éphèse et les grandes déesses d’autres peuples : on pense d’ailleurs qu’elles ont une origine commune.

Titan (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Titan (mythologie)

Pour les articles homonymes, voir Titan. Dans la mythologie grecque, les Titans (en grec ancien Τιτάν / Titán et Τιτᾶνες / Titãnes au pluriel) sont les divinités primordiales géantes qui ont précédé les Dieux de l'Olympe. Ils étaient fils d'Ouranos et de Gaïa. Tête de Titan, National Archaeological Museum, Athens Les premiers enfants d'Ouranos et de Gaïa étaient les trois Hécatonchires, chacun ayant cent mains, et les trois Cyclopes, chacun ayant un œil unique. Puis, il s'unit à Gaïa et, restant en elle, empêcha ses autres enfants, les Titans, de sortir du ventre de leur mère.

Furieuse, Gaïa incita les Titans à renverser Ouranos, mais seul Cronos (le plus jeune) réagit. Ainsi fécondés par le sexe d'Ouranos, les flots formèrent une écume d'où, au large de l'île de Cythère, naquit Aphrodite, comme le suggère l'étymologie de son nom (en grec, Ἀφρός / Aphrós signifie écume). Neptune (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Neptune (mythologie)

Pour les articles homonymes, voir Neptune. Neptune, en latin Neptūnus, est originellement, dans la mythologie romaine, le dieu des Eaux vives et des Sources[1]. Après le lectisterne de 399 av. J. -C., il est assimilé au dieu des Océans de la mythologie grecque, Poséidon[2]. Après cette assimilation, la divinité italique Neptune prend une grande partie des caractéristiques et attributs de Poséidon. Cette transformation s'illustre notamment par l'association de Neptune à la déesse Salacia[3], divinité de l'eau salée et donc de la Mer, qui complète les attributs de Neptune. Les Étrusques ont récupéré le nom de Neptune, transformé en Nethuns[4], pour désigner leur dieu de l'eau et des Océans, clairement inspiré de Poséidon.

L'étymologie de Neptune est complexe et loin d'être totalement élucidée. Les légendes et mythes au sujet de Neptune proviennent essentiellement de la réappropriation par les Romains des mythes grecs. Voir : Poséidon. Phorcydes. Nérée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nérée

Hésiode, qui le fait naître de Pontos sans aucun concours féminin, et Pindare célèbrent sa justice bienveillante. D’où ses épithètes, « véridique », « bienveillant », « sans mensonge ni oubli ». Sources[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Céto. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Céto

Dans la mythologie grecque, Céto (du grec ancien Κητώ / Kêtố, « monstre marin », de Κῆτος / Kễtos, « gros poisson, animal énorme vivant dans l'eau » et en particulier « baleine »), ou encore Cétus, fille de Pontos (le Flot) et de Gaïa (la Terre), est une divinité marine primordiale. La scholie d'Apollonios de Rhodes donne Phorcys et Céto comme les parents des Hespérides, mais ceci ne se retrouve dans aucun autre texte ancien. Céto est à l'origine du terme « cétacé ». La déesse et le monstre marin[modifier | modifier le code] La culture populaire différencie, ou, a contrario, confond Céto la déesse avec Cétos le monstre marin. Pline l'Ancien mentionne un culte de la « légendaire Céto » à Joppé (actuelle Jaffa), dans une seule référence, indiquant qu'on y trouve les restes des chaînes d'Andromède[2].

Évocation(s) hors de la mythologie[modifier | modifier le code]