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Laïcité-philosophie

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Portrait païen : ARCHAÏON. Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par <img width="39" height="25" src=" alt="WebAnalytics" /> Portrait païen 05 août 2016 Né en 1962 à New York d’une mère d’origine anglo-irlandaise et d’un père brabançon, j’aurais pu devenir a quite American si mes parents n’avaient décidé de revenir en Europe. De fait, j’ai vécu et continue de vivre à Bruxelles, capitale d’un pays bizarre que Baudelaire, cette mauvaise langue, décrivait comme le résultat du mariage de la carpe et du lapin. La Belgique est un pays fort singulier, difficile à comprendre, car encore très médiéval, traversé de clivages qui peuvent (à tort) prendre l’apparence de frontières : la langue, l’argent (comme partout), la sensibilité philosophique. Lors de ces fouilles et de ces randonnées, j’ai perçu confusément la présence du divin, la subtile approche des Dieux.

J’étais alors un jeune lettré, lecteur de Nietzsche, admirateur de Julien et de la résistance païenne. Mars MMXVI. La loi du cœur et le délire de la présomption. Les Athées de Belgique | La laïcité face à la radicalisation islamiste. Barbara Mourin Au-delà de ce qu’en disent leurs auteurs, une analyse des actes terroristes perpétrés au nom de l’islam qui se déploierait dans toute sa complexité fait cruellement défaut dans les médias mainstream, comme si la lecture exclusivement culturo-religieuse expliquait tout, offrant encore cet « avantage » de dédouaner la société dans son ensemble d’une auto-introspection critique.

S’il y a bien actuellement trois grilles de lecture à l’œuvre pour tenter de comprendre ce qui se joue, une seule d’entre elles questionne plus globalement le fonctionnement de nos sociétés, ses dérives et ses manquements ; les deux autres, soit ciblent une « communauté » plus imaginaire que réelle, soit cherchent dans la fragilité psychologique des auteurs l’unique explication de leur passage à l’acte. Une première grille essentialiste Depuis le 11 septembre 2001, la thèse du « choc des civilisations » a repris le devant de la scène médiatique, politique… et populaire. Et la laïcité dans tout ça ? Notes. Les Athées de Belgique | A propos de l’article du « SOIR » du 05/10/2013 « Les athées disent urbi et orbi « Dieu n’existe pas »  » ? Athéophobie: un préjugé très ancien et pourtant très actuel - LeMag.

Un préjugé qui remonte à l’Antiquité Depuis que les êtres humains ont inventé leurs premiers dieux, l’athée est marginalisé. Se dissociant de leur propre sens moral inné en le projetant sur ces divinités fantasmées, ou dans le «Dieu» unique et despotique d’un monothéisme, les humains en sont arrivés à l’idée que celui qui ne reconnaît pas ces divinités serait dépourvu de morale, dépravé. Ils en ont fait un objet de méfiance totale et ont jeté anathème sur lui. Cette haine, cette antipathie pour les athées et pour l’athéisme s’appelle athéophobie. Platon fut apparemment le premier à codifier formellement cette haine. Dans son Livre X, Les lois, ou contre l’incroyance, il préconise une répression draconienne des athées, des impies et de plusieurs catégories d’individus (magiciens, sorciers, etc.) qu’il assimile aux athées au sens large. La bible déclare la dégradation morale de l’athée: «L’insensé dit en son coeur: il n’y a point de Dieu!

L’athéophobie moderne Sortir du placard Conclusion. Une intelligence artificielle globale et agnostique peut-elle exister ? - Sciences. Aussi spectaculaires soient-ils, les récents progrès de l’intelligence artificielle ont été principalement le fait de logiciels ultra spécialisés, élaborés grâce à un travail de longue haleine. Mais l’intelligence artificielle de demain pourrait être, au contraire, polyvalente et autodidacte. « Nous vivons une époque à la fois fantastique et dangereuse. En effet, nous sommes témoins de bouleversements majeurs, auxquels nous allons nécessairement devoir nous adapter. Notre manière d’apprendre, en particulier, va devoir changer. » En novembre dernier, au Web Summit de Lisbonne, Antoine Blondeau donnait le ton dès le début de son intervention.

Dans le privé, si le phrasé est plus relâché, le discours reste le même : l’évolution, l’adaptation sont pour lui les clefs ouvrant les portes du futur. Un futur où l’intelligence humaine pourra compter sur l’aide des machines. De Deep Blue à AlphaGo Ces réalisations demeurent l’apanage de logiciels qui doivent tout au labeur humain. Laïc ou laïque - laïque définition - Dictionnaire Mediadico. Michel Onfray : Manuel Valls est un "crétin" - Video. TéléchargerS'abonner au podcast S'abonner au podcast : "La question qui fâche" Vous pouvez vous abonner au téléchargement périodique d'un fichier audio.

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La laïcité est un instrument de cohésion sociale et un engagement contre toute forme de discrimination. Elle impose d’être plus clair que ne le sont les partis de gauche, ainsi que nombre d’intellectuels. Refuser la discrimination n’implique pas de s’aligner sur le modèle anglo-saxon du droit à la différence, qui oppose les minorités et favorise le communautarisme. Certains dans notre pays (Indigènes de la République, Cran) voudraient pourtant le promouvoir. Pour ceux-ci, comme pour l’extrême gauche, l’ethnocentrisme parfois « racialiste », qui a servi d’idéologie à la domination coloniale, sert à la contestation de tout universalisme. L’ingérence des religions est insupportable. La déclaration à l’encontre de la loi sur la fin de vie émanant des représentants des trois monothéismes publiée dans le Monde constitue le dernier avatar de l’emprise croissante des religions dans le débat public.

Déjà, lors de la nécessaire campagne de lutte contre la discrimination filles-garçons à l’école ou à l’occasion des débats accompagnant la loi pour le mariage pour tous, la sainte alliance des monothéismes s’était peu à peu reformée. En intervenant dans le débat sur la fin de vie, on pourrait soupçonner les prêtres, rabbins et imams de venir défendre leur fonds de commerce, tant il est aujourd’hui encore difficile de pouvoir mourir en paix sans que de bonnes âmes ne veuillent récupérer la nôtre. Aujourd’hui, même le concept de laïcité apparaît de nouveau contesté, car derrière l’apparente condamnation unanime des assassinats de janvier, plusieurs représentants du culte ont exprimé leurs réserves, pour ne pas dire leur réprobation des caricatures portant sur la religion. Alain Finkielkraut est stupéfait et désemparé d'être taxé de racisme. Alain Finkielkraut réagit en exclusivité pour FigaroVox à la lettre envoyée au CSA par deux membres du PS après sa prestation dans Des Paroles et des Actes.

Après l’émission, Des Paroles et des Actes ce jeudi 6 février, deux membres du conseil national du PS, Mehdi Ouraoui, ancien directeur de cabinet d’Harlem Désir et Naïma Charaï, présidente de l’Agence national pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE) ont saisi le CSA. Dans une lettre envoyée à son président, ils qualifient l’intervention d’Alain Finkielkraut «d’inacceptable» et «dangereuse».

Ils s’inquiètent précisément de l’usage par le philosophe de l’expression «Français de souche», «directement empruntée au vocabulaire de l’extrême droite». «Je suis totalement abasourdi. Source. Laïque. Un contenu exceptionnel avec un dictionnaire de langue illustré, des explications d’ordre encyclopédiques, un thésaurus, un atlas de 200 cartes, une chronologie, des proverbes, une galerie d’images et des jeux. L’excellence Larousse, pour répondre à vos questions, apprendre, réviser, vérifier, se cultiver et jouer.

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Les personnes qui n'en relèvent pas font partie du laïcat. Dans l'Église catholique romaine, on désigne comme « laïc » les personnes qui, tout en appartenant au sacerdoce commun des fidèles, n'ont pas la responsabilité du sacerdoce ministériel. Cette simple complémentarité des genres clerc/laïc s'est finalement transformée, avec la loi de séparation des Églises et de l'État survenue en France le 9 décembre 1905, en opposition entre les deux : l'État laïque n'autorise plus aucune influence du religieux sur ses institutions comme l'école publique.

Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme laïc vient du latin laicus qui signifie « commun, ordinaire, qui est du peuple »[1] lui-même issu du grec laikos signifiant « du peuple ». Sens moderne[modifier | modifier le code] Laïc ou laïque ? Laïc, laïque. Mais qu'est-ce que c'est, au juste, un état laïque. L’évolution de la notion de laïcité. Le principe de la Liberté Religieuse résulte actuellement en France de textes du droit positif marqués d’ailleurs par une découverte progressive de son contenu et d’une doctrine émanant des plus hautes autorités.

L’article 10 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, placé en tête de la constitution de 1791 actuellement intégré dans le préambule de la constitution et auquel le Conseil constitutionnel a conféré une valeur législative puisque le non-respect de ses principes par les lois de la république peut servir de fondement à un recours en inconstitutionnalité de la loi : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ».

L’article 9 de la convention européenne des droits de l’homme du 4 novembre 1950, entrée en vigueur en France le 3 mai 1974 : « Toute personne a droit à la liberté de pensée et de religion. La séparation brutale de 1905 La question. Déraison. Dans notre monde rationnel et technologique, la déraison se porte bien. Longtemps la France laïque a été à la pointe du combat contre les dérives sectaires, qui sont une des manifestations les plus inquiétantes de l’irrationnel contemporain. Mais elle a été dénoncée par des instances internationales d’esprit souvent anglo-saxon qui considèrent que toute croyance religieuse est légitime, serait-elle proche de l’aliénation ou du fanatisme. L’idée d’une «laïcité positive», à la mode depuis quelques années, et qui détourne la conception originelle en se superposant à la laïcité tout court, a aussi handicapé le travail des parlementaires français : comme il ne fallait pas mettre en cause les grandes religions, dont certains éléments intégristes relèvent pourtant de toute évidence du sectarisme, les objectifs sont devenus incertains et flous.

Onfray, Zemmour, Houellebecq : la pensée française et le sentiment de la fin d'un monde. FIGAROVOX/TRIBUNE - Michel Onfray a annoncé l'effondrement de notre civilisation dans un entretien au Figarovox. Un sentiment de fin d'un monde qui traverse la pensée française de façon de plus en plus prégnante analyse Mathieu Bock-Côté. Mathieu Bock-Côté est sociologue (Ph.D). Il est chargé de cours à HEC Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal ainsi qu'à la radio de Radio-Canada. Il est l'auteur de plusieurs livres, parmi lesquels «Exercices politiques» (VLB, 2013), «Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois» (Boréal, 2012) et «La dénationalisation tranquille: mémoire, identité et multiculturalisme dans le Québec post-référendaire» (Boréal, 2007).

La formule avait quelque chose de crépusculaire sans pour autant être morbide. Les mauvais esprits pourraient voir dans cette déclaration une pose littéraire. Une chose est certaine: le sentiment de la fin d'un monde traverse aujourd'hui la pensée française. Que faire? Il y a une grandeur admirable dans ce choix. Laïque. Quelle est l'origine et la signification exacte de ce mot laïque, d'où la génération contemporaine a tiré le néologisme laïcité ? Test ce que nous allons essayer d'expliquer en quelques lignes. Au moyen âge, on disait lai. Il y avait dans les couvents des frères lais, des soeurs laies : c'étaient des personnes qui, vivant dans l'enceinte d'une communauté monastique sans avoir prononcé de voeux, y remplissaient des offices de domesticité.

La forme laïque est moderne. Les deux vocables, lai et laïque, sont ce qu'en grammaire historique on appelle des doublets : ce sont deux formes du même mot, l'une populaire et l'autre savante (comme le sont, par exemple, les formes frêle et fragile, raide et rigide, pâtre et pasteur, porche et portique, etc.). Mais que voulait dire ce mot latin, et d'où venait-il ? Le mot qui s'oppose, étymologiquement et historiquement, à laïque, de la façon la plus directe, ce n'est pas ecclésiastique, ni religieux, ni moine, ni prêtre : c'est le mot clerc.