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Consommation internet

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Sous la main

Conditions de vie-Société - La consommation des ménages en TIC depuis 45 ans. Un renouvellement permanent Régis Arthaut, division Synthèse des biens et services, Insee Résumé La part des produits des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans le budget des ménages est passée de 1,3 % à 4,2 % entre 1960 et 2005. Cette hausse quasiment ininterrompue n'a pas d'équivalent parmi les autres postes de taille significative. La demande est très dynamique : elle a augmenté de 12,6 % par an en volume sur 45 ans. Cette forte croissance est aussi favorisée par 20 ans de baisse continue des prix, principalement ceux des micro- ordinateurs, et la mise à disposition de produits toujours plus performants.

Sommaire Encadré Prix et valeurs unitaires moyennes : des évolutions très variables Publication Des produits innovants en expansion continue Retour au sommaire Croissance sans interruption de l'équipement des ménages Le progrès technique et sa diffusion ont depuis été très rapides. Entre 1960 et 2005, la part des TIC a triplé en valeur dans le budget des ménages. 1. Évolution des comportements et des habitudes - TPE : La consommation des TIC. II. Regard sur les enjeux sociaux Associer mentalement le terme enjeux sociaux aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, parait presque incongru au premier abord. Quand nous pensons aux enjeux sociaux, nous entendons acquisition du nécessaire, nous songeons à quelque chose de vital et de fondamental que tous devraient posséder et dont il est injuste que certain ne puisse pas accéder à cette ressource. Nous pensons à l’accès à l’eau, à la nourriture, à un toit sur la tête ou encore à l’instruction.

Alors, quand nous pensons au TIC nous ne les associons pas forcément aux enjeux sociaux immédiatement, car il existe des besoins beaucoup plus fondamentaux à satisfaire en premier lieu. 2.1 Évolution des comportements et des habitudes 2.1.1 Les TIC : de simples gadgets pour ados et adultes immatures ? Ici, un gamin faisant un caprice pour avoir le dernier MP4 à la mode. Bien sûr, ces exemples peuvent paraitre caricaturaux, mais croyez-nous, ils sentent le vécu. Combien de CO2 pèsent un mail, une requête Web et une clé USB. Surfer sur le Net, envoyer un email, télécharger des documents, les partager : toutes ces actions ont un poids pour la planète, d’autant plus important que nous sommes actuellement 1,5 milliard d’internautes à naviguer sur le Web quasi quotidiennement, tant pour notre vie professionnelle que personnelle.

Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l’agence d’évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne. Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos modes de vie. Les emails. Chaque jour, c’est une inflation de messages qui se bousculent dans nos boîtes : des courriels professionnels, des messages personnels mais aussi d’innombrables newsletters, chaînes de mails ou publicités. Les requêtes Web. La clé USB. Comment expliquer cet impact ? Photo : The Opte project. Réduire ses émissions de CO2 Internet | Love the World. Après le rapport de l’ADEME sur le cycle de vie des technologies et leur impact environnemental, voici quelques conseils pour réduire ses émissions. #1 Faire durer autant que possible la durée de vie des équipements. #2 Éviter d’imprimer systématiquement chaque document, quelle que soit sa nature. #3 Optimiser ses recherches sur Internet.

Vous pouvez surfer sur des navigateurs verts, plusieurs existent (www.veosearch.com, www.doona.fr…) et permettent de financer des projets environnementaux. #4 Rationaliser le nombre de destinataires des courriels. Inscrivez vous également sur MailforGood qui grâce à l’insertion d’une bannière dans vos mails permet d’agir pour le développement durable. #5 Nettoyer régulièrement sa messagerie électronique. #6 A l’achat, choisir de préférence un ordinateur certifié par l’écolabel européen ou Energy Star. Vous pouvez par exemple le revendre à des sites spécialisés comme Love2recycle. #8 Éviter de distribuer systématiquement des clés USB de type publicitaire. Impact internet sur environnement (CO2) Google : une usine à CO2 ? - Internet. 16 - Le Green IT est mort, vive le Green IT ? Que se passe-t-il ?

Le Green IT n'a plus la cote : les agences d'évaluation revoient leurs critères, les pouvoirs publics remettent en cause leurs efforts, les associations de consommateurs et la presse tirent à boulets rouges sur tout effet d'annonce. Le Green IT a pourtant contribué à relancer l'innovation numérique : les nouveaux ordinateurs recourent moins à des matériaux polluants; mais ils épuisent des ressources rares, et l'incitation au rééquipement a peuplé les cimetières de matériels. Le cloud computing a favorisé la dématérialisation; mais la consommation énergétique de l'internet représente 6 fois celle du transport aérien. Les compteurs intelligents, les capteurs, les transports "souples" ont permis à chacun de réduire sa consommation; mais l'effet rebond a joué à plein, et chacun consomme aussitôt autrement les économies réalisées. Quand ? Qn2012, green. Internet dans le monde : L'évolution d'internet, le web 2.0.

Evolution ou révolution, le web 2.0 est bien là. Laurence Allard, maître de conférences à l'Université de Lille, nous en donne les caractéristiques et ce qui fait d'abord sa dimension sociale : « Ecrire, commenter, copier-coller, mixer, publier, partager ou échanger des photos, vidéos, liens et tag, sur des sites de présentation de soi et de ses univers relationnels, développer des expérimentations cartographiques ou de moblogging articulant le web et le mobile dans un "espace augmenté", la dimension massive de l'usage des technologies sociales est frappante.

Ces dispositifs et agencements machiniques, ces pratiques et expérimentations forment désormais un continuum socio-technique appréhendé actuellement sous le terme discutable et discutée du web 2.O, désignant le deuxième âge d'internet et du Web et son tournant expressiviste. »Source : Laurence Allard, Revue MediaMorphoses n° 21, septembre 2007, Armand Colin/INA Mais d'où vient le terme "web 2.0" Agrandir l'image.

Internet et la consommation des ménages. Après un premier article consacré au taux d’équipement d’Internet des foyers français, cet article aborde son utilisation et plus particulièrement la manière dont celui constitue un outil d’arbitrage pour des consommateurs « malins ». Utilisation : des copains et des infos Internet est désormais largement diffusé en Europe. Aujourd’hui, sur le Vieux continent 178 millions d’individus (soit 60% de la population globale) déclarent se connecter régulièrement en semaine. 66% des Français disent se rendre généralement sur Internet en semaine et 60% le week-end. Parmi les internautes européens, les Français sont les plus « accros au surf quotidien » : 2/3 d’entre eux déclarent surfer quotidiennement, contre une moyenne européenne de 55%.

Une volonté d’arbitrage facilité qui fait exploser le e-commerce Les ventes sur le net ont augmenté de 29% pour atteindre en 2008 un total de 20 milliards d’euros . Une tendance de fond qui s’est accélérée depuis 2005 Le profil des e-acheteurs. Mails, recherches en ligne, clé usb : quels impacts sur la planète ? Surfer sur le web, envoyer un mail, télécharger des documents, les partager… Toutes ces actions polluent. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l’agence d’évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne.

Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos comportements. Les 8 conseils de l’Ademe 1° Misez sur la durée ! 2° Evitez d’imprimer systématiquement chaque document, quelle que soit sa nature. Evaluez rapidement la taille du document reçu avant de privilégier la lecture à l’écran ou l’impression. 3° Optimisez vos recherches sur Internet. Enregistrez en « Favoris » les sites fréquemment consultés, ou alors entrez directement l’adresse url dans la barre de navigation, plutôt que de recourir à un moteur de recherche. 4° Rationalisez vos mails. 6° Misez sur les green labels. Nombre d'emails envoyés dans le monde. 107 billions = d'emails ont été envoyés dans le monde en 2010 ! 89.1% – de ces emails étaient des spams soit 262 billion de spams par jour 2.9 billion – de comptes emails sont actifs dans le monde.25% – de ces comptes sont des comtes d'entreprise. 90 billions d'emails sont envoyés en 2009, mais plus de 75% des mails envoyés dans le monde sont des spams.

En 2009, près de 81% des emails envoyés sont du spam. (petite augmentation prévue jusqu'en 2013 (84%)) puis stagnation grâce aux filtres anti-spam: environ 20% de tous les messages qui arrivent à atteindre les boîtes mails des utilisateurs sont du spam. 2 milliards =nombre de comptes e-mail existant dans le monde en 2008. Prévision pour 2012 : 2.7 milliards. pour un nombre de d'utilisateurs de 1,4 milliard en 2009 (Prévision 2013 : 1.9 milliard) (Radicati Group). En France, on compte 25.9 millions d'utilisateurs en 2009. L'utilisation des emails Nombre d'adresses emails par internaute Source : Valentine Radford, 2002 source : royal.pingdom.com.