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Le meilleur du DIY

Manufacturing: The third industrial revolution. THE first industrial revolution began in Britain in the late 18th century, with the mechanisation of the textile industry. Tasks previously done laboriously by hand in hundreds of weavers' cottages were brought together in a single cotton mill, and the factory was born. The second industrial revolution came in the early 20th century, when Henry Ford mastered the moving assembly line and ushered in the age of mass production. The first two industrial revolutions made people richer and more urban. Now a third revolution is under way. Manufacturing is going digital. As this week's special report argues, this could change not just business, but much else besides. A number of remarkable technologies are converging: clever software, novel materials, more dexterous robots, new processes (notably three-dimensional printing) and a whole range of web-based services.

Towards a third dimension The old way of making things involved taking lots of parts and screwing or welding them together. L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain. "Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd'hui autour de l'impression 3D", s'énerve Christopher Mims pour la Technology Review.

Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs - la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars - et que Pirate Bay estime que les "physibles" - les plans d'objets qu'on peut réaliser via des machines 3D et qui s'échangent dès à présent sur The Pirate Bay - sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de "l'expédition". C'est-à-dire qu'il sera bientôt plus coûteux d'expédier une pièce depuis la Chine ou de n'importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Bref, nous devrions commencer à prendre pour réel les fantasmes que décrit l'écrivain de science-fiction Cory Doctorow dans son roman Makers ou dans sa nouvelle Printcrime, explique Mims : un monde dans lequel n'importe quel objet peut rapidement être "synthétisé", fabriqué.

Avec Physibles, The Pirate Bay se lance dans le P2P des objets. Avec l'émergence des imprimantes 3D qui sculptent le plastique, le métal ou la cire pour "imprimer" des objets, c'est une véritable révolution technologique et économique qui est en train de s'amorcer. Si jusqu'à présent, la reproduction à l'identique de biens matériels était réservée au monde industriel, cette technique de production commence peu à peu à s'en extraire pour toucher de nouveaux secteurs. Preuve en est, des imprimantes tridimensionnelles pour le grand public commencent à voir le jour et à un prix relativement raisonnable. C'est par exemple le cas du modèle iModela iM-01 de la société nippone Roland DG. L'appareil a été mis en vente en 2011 à moins de 800 euros, là où des produits similaires étaient vendus en 2008 autour de 5000 euros. Signe de la tendance, en plus de l'intérêt de sociétés comme Dassault ou HP, les responsables de The Pirate Bay viennent justement d'ouvrir une nouvelle catégorie sur le portail.

Et si le P2P amorçait une révolution communiste ? Regardez ce reportage où l'on voit une imprimante 3D, dont nous avons déjà parlé, en plein travail : Nous le répétons souvent, chercher à lutter contre les réseaux P2P est une lutte vaine. Le téléchargement est là pour rester, et rien ne pourra l'arrêter. Non seulement il s'agit d'une pratique déjà beaucoup trop installée dans les moeurs pour qu'elle s'en aille sous un simple coup de trique, mais surtout elle s'inscrit dans une certaine logique de l'histoire. Ce qui a commencé avec la musique et qui a continué avec les films se poursuivra demain avec les objets de notre quotidien. Le piratage, qu'il vaut mieux appeler "duplication personnelle", est simplement la traduction difficile à accepter d'un mouvement beaucoup plus profond où tout ou presque pourra être dupliqué de chez soi, et amélioré grâce à l'open-source et aux outils de production de plus en plus simples à utiliser.

Mais vous qui utilisez BitTorrent, Wikipedia ou Linux... vous sentez-vous communiste ? The Art of 3-D Printing. As part of our special report on manufacturing, we asked Neri Oxman, a professor at the MIT Media Lab and an internationally recognized artist whose work is part of the permanent collection at the Museum of Modern Art in New York, to create a sculpture that would illustrate the future of manufacturing. (See a gallery of images here.) What she produced, in collaboration with MIT materials science professor Craig Carter, is a powerful demonstration of the possibilities of 3-D printing, using techniques that take advantage of the capabilities of 3-D printers in ways that conventional manufacturing techniques cannot.

Oxman, who trained as an architect, says buildings are designed today with an eye toward the components they can be made of—sheets of plywood, panes of glass, steel beams, and concrete columns. As a result, those designs are limited, in much the way Lego bricks constrain the shapes that children can build. To help develop the algorithms needed, Oxman has teamed up with Carter. Makible combine crowdfunding et chaîne de fabrication. La plate-forme propose aux porteurs de projet de faire part de leur idée, de l'affiner avec leurs pairs ou avec les internautes, puis de le faire financer. La startup gère ensuite sa conception et sa distribution. Le financement par des particuliers (crowdfunding) facilite l’accès à l’entreprenariat et à la réalisation de projets. Mais pour en profiter, il faut maîtriser tout le reste de la chaîne. Or certaines personnes ont les idées mais pas les moyens de les réaliser. Pour combler ce manque, Makible, basée à Hong-Kong, propose du coup aux internautes de financer différents projets.

La différence, c’est que les produits élaborés sont le fruit d’une collaboration entre inventeurs et internautes. De multiples options, de l'investissement à la distribution "Les projets auront plus de chance d'aboutir en un temps relativement court et les inventeurs ne seront pas bloqués par les contraintes et impératifs matériels. " Des délais de réalisation plus courts. 3D printing. Understand the 3d printing paradigm shift. Klaus Stadlmann: The world’s smallest 3D printer. Sculpteo propose l'impression d'objets 3D pour le grand public.

Nous avons plusieurs fois évoqué sur Numerama la révolution technologique et économique amorcée par les imprimantes 3D, qui "sculptent" le plastique pour sortir des objets. Jusqu'à présent, la reproduction à l'identique d'objets matériels était réservée au monde industriel, comme l'étaient autrefois les livres et la musique avant la démocratisation des photocopieuses et autres magnétophones. Aujourd'hui encore, les objets matériels sont à l'abri du piratage ou, plus simplement, de la co-création qui permet de diffuser et de reproduire des modèles d'objets créés en collaboration par les internautes, sur le modèle des logiciels libres. Mais pour combien de temps encore l'industrie conservera-t-elle son monopole ? Le principal obstacle au développement de l'impression d'objets est bien sûr le prix de l'imprimante 3D.

Nous avions ainsi évoqué le cas de la société Dassault Systèmes, qui a ouvert en 2007 la place de marché 3DVia pour les objets 3D, placés sous licence Creative Commons. DIY.

Labs

Matos. L’Open hardware, open source pour bricoleurs du XXIe siècle. Dans le cadre de SFR Player 2010, SFR organisait hier soir une conférence en partenariat avec Digital Arti sur les FabLab. Après un petit tour dans l’univers futuriste et ultra-geek de l’Atelier SFR, retour donc aux objets concrets et réels avec un topo très intéressant sur les FabLabs. Un FabLab, c’est quoi ? Le concept est né au MIT. Proposé par Niel Gershenfeld, le FabLab est défini comme un « atelier communautaire de prototypage rapide à commande numérique ». Les FabLabs sont conçus en réseau mondial dans lequel chaque FabLab partage ses plans de fabrication, des connaissances, des questions, avec les autres FabLabs. On retrouve donc l’esprit de l’open source sur les objets, dans la même mouvance que des projets de crowdsourcing tels que ikeahacking.

Un FabLab, ça sert à quoi ? Les FabLabs sont des lieux d’open innovation dans le domaine industriel. Maison solaire réalisée par le FabLab espagnol Rien de tel pour finir qu’une vidéo pour comprendre « en trois mots » les FabLabs. OpenHardware. Machines That Make | MtM | An MIT Center for Bits and Atoms Project.

For the price of a TV you can start a FabLab. This Christmas season you could buy a loved one an HDTV, a low end MacBook, or a suite of tools that enable them to create anything they can imagine. MIT Media Lab professor Neil Gershenfeld coined the term “FabLabs” to describe such a set of customization manufacturing tools (CNC mills, 3D printers, etc.) that would theoretically enable people to make almost anything. His vision was that these labs could be deployed to the inner city or developing world helping people fashion appropriate technology.

A typical FabLab costs $25,000 to setup, but the entry level cost has been reduced dramatically. Low Cost FabLab Ingredients 3D Printer – MakerBot $750 The MakerBot has severe limitations, but there is no other sub $1000 option (The lowest cost 3D printer is more than 10X the cost). If you are looking to print objects that are about the size of a clementine or larger the MakerBot will provide decent results. 3D Mill – Unimat $499 I learned about the Unimat system via AdaFruit Industries. L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain. « Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D », s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les « physibles » – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de « l’expédition ».

C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l’impression 3D Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir. La fabrication est plus complexe « Commençons par regarder le mécanisme.

Numérique: de l’économie de la pauvreté à l’ère de l’offre • espace_temps. iPad contre Arduino: la révolution du matériel open source. Les exemples sont nombreux: prenez l'iPad ou le nouvel iPhone, avec un écran tactile multi-touch vraiment précis ou une batterie qui font rougir nos ordinateurs portables avec une longévité de plus de 8 heures (contre 2-3 maximum pour les autres batteries)... ajoutez à cela un design bien pensé et des processus industriels maîtrisés et vous avez un véritable bijou technologique à la portée de (presque) tous. Tout cela est très bien à une seule exception près, ces merveilleux gadgets sont tous "bloqués" aussi bien au niveau logiciel que matériel.

Aucune possibilité de modifier ne serais ce le code source des logiciels qui le pilotent, que de modifier, bidouiller le matériel que vous avez acheté. Il y a peu, une cour de justice américaine à légalisé le fait de "jailbreaké" votre iPhone (de passer outre la restriction logicielle), mais avec le risque de se voir annuler la garantie par Apple. Reprendre la main sur la technologie Définition et utilité Deux exemples: le RepRap et l’Arduino.

Stories

Genèse. Shops. Is It Time to Rebuild & Retool Public Libraries and Make “TechShops”? To me, public libraries — the availability of free education for all — represent the collective commitment of a community to their future. They symbolize what is most important, a commitment to educating the next generation. The role of a public library should also adapt over time, and that time is finally here. It’s time to plan how we’re going to build the future and what place public libraries have, should have, or won’t have. The goal of this article is to get everyone talking about one of our great resources, the public library, and its future.

If you’re reading this, you’re likely not reading it in a public library. Computers are cheap, and internet access is pretty good for most people. So where does this leave libraries? Let’s explore what could be ahead for public libraries and how we could collectively transform them into “factories” — not factories that make things, but factories that help make people who want to learn and make things. First up: Librarians: 47,926 And lastly: The Public Library, Completely Reimagined. Teaching Strategies Fayetteville Free Library, by Lauren Smedley You’ll hear a lot of talk about the “death of the public library” these days. It isn’t simply the perpetual budget crises that many face either. It’s the move to digital literature, and the idea that once there are no more print books (or rather if there are no more print books), the library as an institution will cease to exist. Librarians will remind you, of course, that a library is much more than a book repository.

But these new formats will indeed change libraries — how they operate as well as how they look. Earlier this year, MAKE Magazine’s Phillip Torrone wrote a provocative article asking “Is it time to rebuild and retool libraries and make ‘techshops’?” “Yes!” Lauren Smedley, assembling the MakerBot So far, the Fab Lab is equipped with a MakerBot, a 3D printer that lets you “print” plastic pieces of your own design. Smedley says she plans on adding other equipment as well, including a CNC Router and a laser cutter. Desktop Factory: 3D Printers. [Carte] Le Grand Emprunt booste les fab labs. À la traîne en France, les fab labs, ces mini-usines collaboratives permettant de créer ou fabriquer des objets à la demande, vont se multiplier, entre autres grâce au projet interrégional de médiation scientifique Inmediats. 5 millions d'euros y seront consacrés.

Hop ! Nous sommes en 2020, les hackerspaces, fablabs et autres usinettes (le nom importe peu) se comptent par milliers en France et pas seulement dans les grandes villes. Des gens de bonne volonté se sont regroupés dans certains villages désertiques, dans d’anciennes MJC-Algeco de banlieues “chaudes”, dans des usines désaffectés.

Le passionné de mécanique auto prête ses outils et donne des cours à des types qui font en échange un peu d’ingénierie inverse sur la puce qui contrôle l’allumage de sa fourgonette TDCI. En 2009, Alexandre Korber, créateur d’Usinette, anticipait une France où les fab labs pulluleraient autant que les Leroy-Merlin. . « On ne veut pas institutionnaliser » Retrouvez les autres articles du dossier FabLab.