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Les dangers / Les avantages

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VIDÉO - Comment piéger facilement une voiture autonome ? L’automatisation, la robotisation et l’intelligence artificielle sont des enjeux majeurs. La voiture autonome est également au centre des débats, certains préfèrent conduire et avouent ne pas trop faire confiance aux voitures autonomes, d’autres acclament qu’il s’agit là d’une avancée majeure que l’on doit accepter. Les constructeurs automobiles s’enfoncent bien évidemment dans la brèche et proposent à tour de rôle des véhicules autonomes ou semi-autonomes. Mais voilà, la législation n’autorise pas encore la conduite 100 % autonome, il faudra donc patienter encore quelques années. Vous aimerez aussi : PSA - Des voitures autonomes bientôt confiées aux clients Comme tout système, les voitures ont des failles et celle illustrée dans la vidéo prête à sourire.

L’idée est de tracer au sol deux cercles. Résultat, le véhicule reste à l’intérieur sans possibilités d’avancer ni de faire marche arrière. Lire aussi : Nio - Un nouveau concept et des voitures autonomes sur les routes en 2020. Après un accident, Uber suspend ses essais de voiture autonome. La société californienne Uber a annoncé samedi qu'elle suspendait ses essais de voiture autonome à la suite d'un accident impliquant un des véhicules intégrés à ce programme pilote. Percutée par un véhicule qui lui a refusé la priorité. L'accident, qui s'est produit vendredi soir à Tempe, dans la banlieue de Phoenix, n'a pas fait de victimes graves, précise l'entreprise de services, rendue célèbre par sa plateforme de mise en relation entre chauffeurs privés et clients. Selon la police locale, la voiture autonome a été percutée par un second véhicule qui lui a refusé la priorité. Deux observateurs se trouvaient à bord de la voiture Uber, qui se déplaçait alors en mode autonome.

Mulhouse | Mulhouse mise sur la voiture autonome. À quand le véhicule autonome à Mulhouse ? « Très rapidement, probablement d’ici deux à trois ans » , répond Michel Basset. Ce professeur à l’Ensisa, directeur de l’équipe Miam (Modélisation et identification en automati-que et mécanique) au laboratoire Mips (Modélisation, intelligence, processus et systèmes) rattaché à l’université de Haute-Alsace, a achevé hier une série de tests du véhicule autonomie développé avec son équipe à Mulhouse.

Ces tests, qui se sont révélés concluants, ont été réalisés sur une route fermée pour l’occasion à la circulation, le long de la voie de tramway menant au Parc des expositions de Mulhouse. C’est en effet sur une zone dédiée, sans risque de croiser d’autres véhicules, que l’équipe Miam développe un véhicule autonome dont la spécificité est qu’il sera adapté et même destiné aux personnes à mobilité réduite.

Du premier au dernier kilomètre Pour lui, « le véhicule autonome sur lequel nous travaillons est celui du premier comme du dernier kilomètre. Voiture autonome: le partage des données, essentiel pour les assureurs. La voiture autonome ou semi autonome va transformer profondément le business de l'assurance auto, confirme l'agence Fitch dans une étude publiée ce mercredi. Et cette transformation a déjà débuté dans certains pays, où le cadre règlementaire évolue déjà.

Ainsi, au Royaume Uni, le gouvernement a annoncé ses propositions pour les voitures autonomes. Mais quels sont les principaux enjeux? Le principal a trait à la collecte et au partage des données, souligne Fitch. Une assurance toujours attachée au propriétaire du véhicule En fait, comme a eu l'occasion de le souligner François Nédey, Directeur Technique d'Allianz France, il est impensable que l'assurance auto se fasse à l'avenir dans le cadre législatif actuel.

Évolution au niveau international Cette évolution du modèle de l'assurance pourrait avoir lieu, du point de vue de la législation, au niveau international, estime Fitch. Les assureurs déjà engagés dans la télématique, avantagés Baisse des indemnisations et des primes. Le véhicule autonome : des freins subsistent | Transportissimo. Les progrès du véhicule autonome semblent fulgurants et les expérimentations se succèdent. Sa généralisation, cependant, n’est pas forcément pour demain, estime la société des ingénieurs et scientifiques de France (IESF). De plus en plus connecté, de plus en plus autonome, le véhicule de demain sera bourré de capteurs, et de logiciels, pour faciliter la vie, voire remplacer, le conducteur. Vraiment ? L’IESF, qui vient de publier une étude réalisée avec l’institut Vedecom du véhicule décarboné et communicant et de sa mobilité (les Cahiers n°23 de septembre 2016, « Véhicules autonomes : accompagner la transition ») , vient mettre un peu d’eau dans le vin des plus enthousiastes.

Mais, surtout, éclairer le débat. Car, de quoi parle-t-on ? Il n’existe pas, pour l’heure, de véhicule tout autonome, mais des véhicules dotés d’une plus ou moins grande autonomie. Deuxième interrogation : faut-il, pour faire circuler ces véhicules, rendre la route vraiment intelligente ? Qui sacrifier en cas d'accident ? Si les voitures autonomes sont trop morales, les conducteurs ne monteront pas dedans. Atlantico : Vous avez publié une étude qui révèle que les voitures autonomes pourraient vouloir se crasher et blesser leur passager plutôt que de risquer de blesser ou tuer un plus grand nombre de victimes.

Pourquoi la question concernant le sacrifice ou non des occupants d'une voiture autonome se pose chez les concepteurs de voitures autonomes ? Jean-François Bonnefon : Il s'agit d'une sous question de ce sujet des voitures autonomes. La question plus large que les concepteurs se posent, c'est celle du choix que va devoir faire le véhicule autonome dans une situation complétement improbable. Ils doivent penser à une situation très rare ou un accident va être inévitable, mais auquel il existe plusieurs trajectoires possibles que le véhicule autonome pourra emprunter. Pour chacune des trajectoires, il va y avoir des dégâts occasionnés ou des gens seront blessés. Doit-on en déduire que l'intelligence artificielle sera placée en situation de choix moral très difficile à prendre ?

Je m'abonne. Réchauffement climatique : l'impact des voitures autonomes. Bien que les dirigeants du monde entier aient conclu un accord "historique" sur le réchauffement climatique lors du sommet de la COP21 à Paris, les bonnes solutions pour réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre restent difficiles à trouver. Heureusement, les voitures autonomes ont le potentiel de réduire considérablement la gigantesque empreinte écologique du secteur des transports: Le transport est le secteur économique avec le plus grand effet net sur le changement climatique. Alors que certains autres secteurs (tels que l'industrie ou la production d'électricité) émettent plus de gaz à effet de serre, ces industries émettent cependant d'autres substances qui conduisent au refroidissement de l'atmosphère (aérosols sulfatés, nitrates, etc.).

Les voitures sans chauffeur ne vont pas réduire le nombre de trajets ou de kilomètres parcourus. Il ne fait aucun doute que les voitures autonomes vont changer la nature de la mobilité urbaine.