background preloader

Mycologie

Facebook Twitter

Champ

Scientists Discover That Plants Communicate via Mycorrhizae. By Dr. Mercola Human arrogance has always assumed we are evolutionarily superior to plants, but it appears that modern science may be the antidote to this egocentric view. Researchers in the UK have discovered an extensive underground network connecting plants by their roots, serving as a complex interplant communication system... a “plant Internet,” if you will. One organism is responsible for this amazing biochemical highway: a type of fungus called mycorrhizae. Researchers from the University of Aberdeen devised a clever experiment to isolate the effects of these extensive underground networks.

They grew sets of broad bean plants, allowing some to develop mycorrhizal nets, but preventing them in others. Underground Communications Network Thwarts Infestation Miles of Mycorrhizae in One Thimbleful of Soil Making Farming More Eco-friendly The discovery that fungi may be providing plants with an early warning system has profound implications for how we grow our food. Mycoremédiation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette technologie environnementale fait partie des techniques dites de bioremédiation et est parfois classée parmi les techniques de phytoremédiation, improprement car les champignons ne sont pas des plantes.

Quand il s'agit dépurer de l'eau, de l'air ou un autre fluide, on parlera plus précisément de mycofiltration. Si l'opération se passe dans un bioréacteur, celui-ci peut être qualifié de biofiltre. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot « mycoremédiation » est un néologisme créé par Paul Stamets à partir du grec « mycos» = champignon, et du latin « remedium » = rétablissement de l'équilibre, remédiation. Principe[modifier | modifier le code] La technique utilise deux des capacités des mycéliums La mycoremédiation repose sur la connaissance de l'affinité marquée de certains champignons pour certains polluants. Intérêt et avantages[modifier | modifier le code] Limites[modifier | modifier le code] Champignons. Des enzymes de champignons pour mieux recycler les plastiques. Des champignons pour recycler du plastique. C’est l’idée saugrenue du très sérieux Austrian Centre of Industrial Biotechnology (ACIB) dont les chercheurs étudient actuellement le potentiel des enzymes de champignons pour obtenir un plastique recyclé aussi pur que l’original.

Explications. Améliorer le recyclage du plastique Traditionnellement, les plastiques comme les bouteilles d’eau – majoritairement du PET (Polyéthylène Téréphtalate), et du PEHD (Polyéthylène Haute Densité) – débarquent au centre de tri lavés, mis en balle et refondus pour fabriquer de nouveaux produits. Problème : la matière recyclée devient alors moins noble et perd ses qualités à force de recyclages successifs. « Les propriétés et les taux de recyclage sont limités à cause des contaminants présents dans le plastique comme les colorants » explique le Dr.

Enrique Herrero Acero, coordinateur de l’ACIB. Modèles d'enzymes utilisées par l'ACID Un champignon casseur de polymères Une solution « industrialisable » ? La radioactivité dans les champignons. Un champignon qui mange la pollution. Champignons - Quel est l'intérêt nutritionnel des champignons ? Certains champignons ont un effet anti-cancer Selon le docteur Sheldon Hendler (Université de Californie, San Diego), « les chercheurs s’intéressent aux propriétés de deux champignons asiatiques : le shiitake (Lentinus edodes) et le rei-shi (Ganoderma lucidium). Le premier possède des effets anti-tumeurs, anti-viraux et immuno-stimulateurs, probablement liés à la présence d’un polysaccharide, le lentinan. Cette substance augmente les productions d’interleukine-1 et d’interféron. Le shiitake peut aussi diminuer le cholestérol et la tension artérielle. Dès lors qu’il est comestible, un champignon ne peut être toxique Pour le professeur Noël Arpin (Université de Lyon), « les champignons métabolisent très vite.

Les champignons n’ont pas de valeur nutritionnelle « Le champignon a peu d’intérêt, car il est pauvre en protéines et en graisses. Les champignons font progresser les sciences de la nutrition et de la médecine Composition nutritionnelle moyenne pour 100 g de champignons. Culture de champignons comestibles. Simple & Perfect Mushrooms (Recipe) Every time I go to my local organic grocer, I stare longingly at their huge variety of mushrooms, but I just get too overwhelmed or intimidated to buy anything other than your average crimini or button. That’s why I was so thrilled to find this great recipe — it calls for a medley of mushrooms, all cut in different shapes and sizes. Now the only problem is remembering which type of mushroom is which! Though they do make a great addition to crostini’s, pizza, or salads, these mushrooms are so tasty on their own you probably won’t even make it that far!

Cast-Iron Mushrooms Ingredients: 2 pounds assorted mushrooms: crimini, white button, oyster, portobello, etc. Instructions: 1. Recipe Credit: Epicurious See Also:Which Health Drinks are Actually Healthy? Mycoremédiation. Initiation à la mycologie: Mode de vie et écologie. Mode de vie - Ecologie Les modes de nutrition Les champignons sont-ils des plantes ? Les végétaux à chlorophylle sont capables de fabriquer leurs constituants carbonés par photosynthèse en transformant le CO2 contenu dans l'air en diverses substances organiques: sucres, lipides, cellulose… L'unique source d 'énergie étant le soleil. On les dit autotrophes.

Les champignons, par contre, sont dépourvus de chlorophylle, et ne sont pas capables de fabriquer les substances organiques nécessaires à leurs cellules pour la croissance. Les champignons se nourrissent par l'intermédiaire de leur organe végétatif appelé mycélium constitué de fins filaments parfois visibles à l'œil nu.

Le mycélium Le mycélium a 2 fonctions : sécrétion: il sécrète des enzymes puissantes capables de décomposer la matière organique la plus résistante (bois par exemple) absorption: Il absorbe les éléments carbonés nécessaires à la survie de ses cellules Propriétés du mycélium Pouvoir de pénétration Pouvoir de dissémination. Bactériologie médicale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La bactériologie médicale est une branche de la Biologie médicale qui consiste en l'analyse de divers liquides biologiques (parfois de tissus) dans le but d'isoler et/ou de caractériser une ou des bactéries pouvant être responsables de la pathologie suspectée à l'aide de techniques directes ou indirectes.

En fonction de la bactérie suspectée, un ou des prélèvements particuliers devront être réalisés dans le but d'isoler au mieux cette bactérie et ainsi de poser un diagnostic le plus fiable possible et, après la réalisation ou non d'un antibiogramme, de traiter au mieux la pathologie engendrée par des antibiotiques. Chaque résultat devra être contrôlé et si possible interprété par un Biologiste médical. Préalables indispensables[modifier | modifier le code] Il faut distinguer les produits fermés des produits ouverts. Un sujet peut être porteur sain d'un germe pathogène c'est-à-dire qu'il ne développe aucune maladie suite à ce germe. Legionella. Biologie médicale. Biologie médicale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La biologie médicale (France, Afrique du Nord et de l'Ouest), biologie clinique (Belgique, Pays-Bas, Autriche, Luxembourg ), médecine de laboratoire (Allemagne, Suisse, Roumanie, Pologne, Europe de l'Est), pathologie clinique (Pays anglophones, Italie et Portugal) ou encore analyses cliniques (Espagne) [1] est une spécialité médicale qui consiste en l'exécution d'analyses sur les liquides biologiques et en l'interprétation médicale des résultats dans le but de caractériser l'origine physiopathologique d'une maladie.

C'est une des deux branches de la pathologie avec l'anatomopathologie. Dans certains pays francophones (Canada, Belgique), le terme de biologie médicale se réfère plutôt à la filière universitaire des sciences biomédicales. Domaines d'investigation[modifier | modifier le code] Les domaines d'investigation sont les suivants[2][réf. insuffisante] : Professions de la biologie médicale[modifier | modifier le code] Microbiologie médicale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La microbiologie médicale est une branche de la médecine s'attelant à la recherche des microbes dans les prélèvements d'origine humaine dans le but de diagnostiquer des pathologies infectieuses associées. Elle est dans certains pays une spécialité médicale à part entière (associée le plus souvent à l'infectiologie) et dans d'autres une sous-spécialité de la biologie médicale. Elle se subdivise en : Mycologie médicale.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mycologie médicale est une branche de la médecine, plus spécifiquement de la Biologie médicale, qui consiste à isoler et caractériser les levures, champignons filamenteux ou champignons dimorphiques dans divers liquides ou tissus d'origine humaine dans le but de caractériser l'origine mycologique ou non d'une pathologie. Principaux champignons en pathologie humaine[modifier | modifier le code] Les principaux types de champignons responsables de mycoses sont : Levures[modifier | modifier le code] Dermatophytes[modifier | modifier le code] Moisissures[modifier | modifier le code] Champignons dimorphiques[modifier | modifier le code] Histoplasmose Champignons divers[modifier | modifier le code] Pneumocystis Principaux antifongiques en thérapeutique humaine[modifier | modifier le code] Principaux tests et analyses au laboratoire de mycologie médicale[modifier | modifier le code]