background preloader

Willy Ronis

Facebook Twitter

Willy Ronis. Willy Ronis - Partie 5. Sans titre - n.d - Crédit Photo: © Willy Ronis Biographie de Willy Ronis Willy Ronis est né en 1910, dans le 9e arrondissement de Paris.

Willy Ronis - Partie 5

Sa mère, juive lituanienne, et son père, juif ukrainien, sont venus en France pour fuir les pogroms. Ils sont tous deux mélomanes, et elle est pianiste. Son père, ouvrier retoucheur dans un studio photo, ouvre son propre studio boulevard Voltaire. Willy Ronis travaille donc pendant quatre ans dans le studio de son père.

Dès 1934, il photographie les manifestations ouvrières, la Fête de l’Humanité à Garches, le 20e anniversaire de la mort de Jean Jaurès, une manifestation au Mur des Fédérés. 1936, année du Front populaire, est une année charnière. Jusqu’à la guerre, Ronis parcourt Paris, accumulant des archives. En 1938, il fait un reportage sur une grève à l’usine Javel-Citroën, pour le magazine Regards. Quand Willy Ronis retrouve sa ville natale, fin 1944, le travail ne manque pas. »La reprise de l’activité après la Libération fut assez fascinante.

Willy Ronis - Partie 6. Sans titre - n.d - Crédit Photo: © Willy Ronis n Biographie de Willy Ronis Willy Ronis est né en 1910, dans le 9e arrondissement de Paris.

Willy Ronis - Partie 6

Sa mère, juive lituanienne, et son père, juif ukrainien, sont venus en France pour fuir les pogroms. Ils sont tous deux mélomanes, et elle est pianiste. Willy Ronis travaille donc pendant quatre ans dans le studio de son père. Dès 1934, il photographie les manifestations ouvrières, la Fête de l’Humanité à Garches, le 20e anniversaire de la mort de Jean Jaurès, une manifestation au Mur des Fédérés. 1936, année du Front populaire, est une année charnière. Jusqu’à la guerre, Ronis parcourt Paris, accumulant des archives. En 1938, il fait un reportage sur une grève à l’usine Javel-Citroën, pour le magazine Regards. Willy Ronis a d’ailleurs retrouvé Rose Zehner, bien des années après. aussi : sa cousine l’a reconnue quand la photo a été publiée dans un livre et elle a contacté le photographe.

Willy Ronis - Partie 7. Sans titre - n.d - Crédit Photo: © Willy Ronis.

Willy Ronis - Partie 7

Willy Ronis - Partie 4. Sans titre - n.d - Crédit Photo: © Willy Ronis n Biographie de Willy Ronis Willy Ronis est né en 1910, dans le 9e arrondissement de Paris.

Willy Ronis - Partie 4

Sa mère, juive lituanienne, et son père, juif ukrainien, sont venus en France pour fuir les pogroms. Ils sont tous deux mélomanes, et elle est pianiste. Willy Ronis travaille donc pendant quatre ans dans le studio de son père. Dès 1934, il photographie les manifestations ouvrières, la Fête de l’Humanité à Garches, le 20e anniversaire de la mort de Jean Jaurès, une manifestation au Mur des Fédérés. 1936, année du Front populaire, est une année charnière. Jusqu’à la guerre, Ronis parcourt Paris, accumulant des archives. En 1938, il fait un reportage sur une grève à l’usine Javel-Citroën, pour le magazine Regards. Willy Ronis a d’ailleurs retrouvé Rose Zehner, bien des années après. aussi : sa cousine l’a reconnue quand la photo a été publiée dans un livre et elle a contacté le photographe.

Willy Ronis vient de mourir. Crédit photo: © Actu Photo Willy Ronis est décédé.

Willy Ronis vient de mourir

Il aurait eu 100 ans le 14 Août prochain! C’est un monument de la photographie qui s’est éteint. Une page vient de se tourner! Toutes ses photos tournent encore dans nos têtes, Le Nu à la Fenêtre, les amoureux de la Colonne Bastille, Rue Rambuteau…. Willy Ronis - Partie 2. Willy Ronis. Willy Ronis - Partie 3. Hommage à Willy Ronis. Les gamins de Belleville – 1959 - Crédit Photo: © Willy Ronis Le Café de France – 1979 – Crédit Photo: © Willy Ronis Les amoureux de la Bastille – Crédit Photo: © Willy Ronis « Je suis allé les voir, ils s’appelaient Riton et Marinette, et j’ai vu qu’ils avaient le poster encadré dans le café, qui se trouvait à l’angle de la rue du Faubourg-Saint-Antoine et de la rue des Tournelles.

Hommage à Willy Ronis

Ils m’ont accueilli cordialement. Ils n’étaient montés qu’une seule fois sur la colonne, ils s’en souvenaient parfaitement.