Victoire de Syriza en Grèce : les réactions politiques en France. Marine Le Pen : "La gifle démocratique monstrueuse" Invitée sur RTL Marine Le Pen s'est exprimée sur la victoire de Syriza en Grèce.
Se réjouissant "de la gifle démocratique monstrueuse que le peuple grec vient d'administrer à l'Union européenne", elle s'est félicitée que le débat sur l'austérité a été relancé en Europe, tout en nuançant : "Là où Syriza fait une erreur, c'est qu'il pense pouvoir séparer l'euro de l'austérité. Or c'est l'austérité qui est imposée précisément pour sauver l'euro".
Refusant qu'une politique d'extrême-gauche des Grecs n'influence sur la France, elle s'est prononcée en faveur de la suspension de Schengen, ajoutant : "Nous avions tout à fait prévu que la Grèce ne rembourserait pas, au moment où l'UMP et le PS votaient, ensemble comme d'habitude, un prêt que le peuple français allait payer" Regardez RTL en direct et en vidéo par rtl-fr Jean-Luc Mélenchon : "L'Histoire de l'Europe est en train de basculer" François Bayrou : "Beaucoup de désillusions" Ashifa Kassam, Henry McDonald, Stephanie Kirchgaessner, Anne Penketh: Syriza’s election victory in Greece – how Europe reacted.
Spain Unemployment rate (% as of November 2014): 23.9 Debt as % of GDP (as of Q3 2014): 96.8 Deficit (+) and surplus (-) as % of GDP (2013): -6.8 The Greek campaign was closely followed in Spain, where many drew parallels between the electoral battle being waged between anti-austerity party Podemos and the governing right-wing People’s party.
Barely one year old, Podemos has quickly become a dominant player on the Spanish political scene, with polls consistently suggesting that the party could put an end to the bipartisan political system that has ruled Spain since the death of Franco. As Greece announced it would hold snap elections, Pablo Iglesias of Podemos seized on the opportunity to label the widely-anticipated Syriza win as the beginning of power for the citizen-drive response to austerity. “2015 will be the year of change in Spain and Europe.
The victory of Syriza will provoke something new in the political panorama of Greece – they’re going to have a real Greek president. Ireland. Frédéric Lemaître : l’Allemagne joue la discrétion après la victoire de Syriza. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Frédéric Lemaître (Berlin, correspondant) S’il ne fallait qu’une preuve de l’embarras de Berlin après la victoire de la Syriza en Grèce, le communiqué publié par Angela Merkel l’apporterait.
D’habitude très prompte à féliciter ses homologues, la chancelière allemande a cette fois attendu mardi matin, à 11 heures, pour publier un communiqué qui tient en quelques lignes : « Très honoré monsieur le premier ministre, je vous félicite pour votre nomination comme premier ministre de la République grecque. Vous prenez vos fonctions dans une période difficile et faites face à une grande responsabilité. J’espère que la collaboration avec vous permettra de consolider et d’approfondir la traditionnelle et profonde amitié qui lie nos deux peuples. La différence de ton avec le communiqué de l’Elysée est frappante. . « Un vieux routier de la politique » C’est aussi ce qu’espère une partie de la presse. Un Parlement démocratiquement élu.