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Politique Francaise d'innovation

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Carte à puce. Une histoire à rebonds. Exposition, Musée des Arts et Métiers C'est une expo, petite mais sympathique, qui raconte 40 ans de la carte à puce, de la carte de téléphone, à la carte SIM, à la carte de paiement, à la carte santé. Des milliards de telles cartes sont fabriquées chaque année. Le commissaire scientifique de l’exposition est Pierre Paradinas, un des éditeurs de Binaire. Il est professeur titulaire de la chaire « Systèmes Embarqués » au Cnam. Il a notamment dirigé le laboratoire de recherche de Gemplus, un des industriels clés de l'histoire de la carte à puce. Surtout ne pas rater le film de 5mn "Michel et la cryptographie" des Chevreaux Suprématistes.

Serge Abiteboul Maquette de terminal de paiement, Roland Moreno, vers 1975. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité, Industrie, Informatique, Numérique, avec comme mot(s)-clef(s) carte à puce. Revue des 11 plans numériques avec leurs chefs de projet - Politique. EMMANUELMACRON AXELLELEMAIRE MINISTRE DE L’ECONOMIE,DE L’INDUSTRIE SECRETAIRE D’ETAT AUNUMERIQUEET DUNUMERIQUEC o m m u n i q u é d e p r e s s ep r e s s ed e C o m m u n i q u é www.economie.gouv.frParis, le 16 mars 2015 N° 474 Emmanuel MACRON et Axelle LEMAIRE passent en revue les 11 plans numériques avec leurs chefs de projetEmmanuel MACRON, ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, et Axelle LEMAIRE, secrétaire d’Etat chargée du numérique,ont réuni vendredi 13 mars et lundi 16 mars les chefs de projet des onze plans numériques de la Nouvelle France Industrielle.

Ces nouvelles réunions de travail de la revue des 34 plans voulue par le ministre de l’Economie,de l’Industrie et du Numériqueétaient l’occasion de réaliser un point d’avancement des feuilles de route et de préciser le calendrier des prochaines réalisations : nouveaux investissements, commercialisation de nouvelles offres de produits et de services, créations d’emplois. Pour une Europe numérique forte. L'Europe est pionnière dans l'utilisation des cartes à puce pour sécuriser les télécommunications mobiles grâce aux cartes SIM, les paiements électroniques grâce à la carte à puce et les passages aux frontières grâce aux passeports électroniques. La valeur de cet objet portable sécurisé (carte à puce) que chacun peut avoir dans sa poche croît chaque jour un peu plus.

Grace à elle, le consommateur retrouve de la confiance dans un monde numérique qui en manque cruellement. Cet objet portable sécurisé est comme un coffre-fort numérique contenant notre identité, nos données personnelles et nos droits, nous permettant un accès sécurisé aux services numériques. Ces solutions techniques doivent être accompagnées par un cadre juridique qui favorise l'usage de cet objet sécurisé, ce qui évitera que la gestion de l'identité numérique ne soit gérée par les fournisseurs de réseaux sociaux privés ou professionnels. Les citoyens européens, vers un contrôle accru de leurs données. Redressement productif : le gouvernement valide les plans cybersécurité, cloud et souveraineté télécom.

On connaissait déjà le casting des différents plans de reconquête industrielle, annoncés en septembre 2013 par le ministère du Redressement productif. Il n’a pas vraiment changé : on retrouve le tandem Octave Klaba (Ovh) et Thierry Breton (Atos) à la tête du plan cloud, Guillaume Poupard (Anssi) pour la cybersécurité ou encore Vincent Marcatté (Orange Labs) en charge du plan réalité augmentée. Mais la validation par le cabinet ministériel de 7 nouveaux plans nous en dit un peu plus sur ce que prévoient ces différentes actions et l'agenda qui sera mis en place. Pour l’instant, 16 feuilles de route ont déjà été approuvées et le gouvernement promet que l'ensemble des 34 plans seront étudiés d'ici le 14 juillet 2014. Parmi ces plans, quelques uns concernent prioritairement les secteurs de l’informatique professionnelle : le cloud computing, les supercalculateurs, la cybersécurité, le Big Data et les logiciels et systèmes embarqués.

Cloud Souveraineté télécom Cybersécurité. Thales s’accapare les divisions cybersécurité d’Alcatel-Lucent. Voilà un projet de rachat qui ne devrait pas susciter l’ire du gouvernement. Thales, groupe français spécialisé dans l’aérospatial, la défense et les technologies de l’information, pourrait racheter la branche cybersécurité de l’équipementier télécom Alcatel-Lucent. Les négociations ont débuté et devraient concerner au total 70 salariés d’Alcatel-Lucent, dont les différentes composantes de sa division cybersécurité sont reparties entre Toulouse, Orveaux, Villarceaux ainsi qu’en Allemagne, en Belgique et au Royaume Uni. Ce rachat s’accompagne d’un partenariat entre les deux groupes, qui devraient collaborer dans le domaine de la sécurité.

Alcatel-Lucent avait annoncé en fin d’année dernière un plan social de grande ampleur, nommé Shift, qui prévoit un recentrage de l’entreprise sur ses cœurs d’activités. Au niveau mondial, Alcatel-Lucent doit ainsi supprimer 10.000 postes, dont 900 en France. Google Glass : le Crédit Mutuel-Arkéa prend date. Accueil > Actualité économique Par Vincent MIGNOT - Mardi 11 février 2014 à 17h35 Mots-clés : Crédit Mutuel, Internet. © martinmatthews - Fotolia.com Dans un communiqué, Arkéa annonce le lancement d’une application bancaire adaptée à Google Glass, les lunettes connectées développées par le géant de l’internet.

Un bon coup de pub pour la banque brestoise. Du minitel… à Google Glass. Dans son communiqué diffusé ce mardi, Arkéa, une des deux principales confédérations du Crédit Mutuel (1), rappelle sa « fibre novatrice » au moment d’annoncer sa dernière nouveauté en date : une application bancaire, développée en collaboration avec l’éditeur de logiciel AMA Studios et destinée aux lunettes high tech développées par le moteur de recherche californien. Depuis 2012, Google teste en effet un nouveau type d’appareil mobile, prenant la forme d’une paire de lunettes qui embarque notamment une caméra, un micro et des mini-écrans, le tout connecté en permanence à internet.

Des fonctionnalités classiques. Dans quel monde voulons-nous être connectés ? J’ai eu l’occasion d’animer le 3 décembre 2013 une table ronde sur l’impact sociétal du numérique lors des Assises du Numérique 2013. Celle-ci comprenait Philippe Portelli, le Directeur des Usages Numériques de l’Université de Strasbourg, spécialiste des méthodes et outils pédagogiques numériques, Isabelle Flory, Directrice Entreprise et Solution Europe de l’Ouest d’Intel et Benoit Thieulin, le fondateur de la Netscouade et aussi Président du Conseil National du Numérique.

Nous sommes près de deux mois plus tard et il me semble intéressant de revenir sur l’intervention de la quatrième des panélistes : Laurence Allard. C’est une sociologue de l’innovation, une sémiologue et ethnographe des usages des TIC, et elle s’intéresse aujourd’hui à l’anthropologie des puces, des capteurs, du tout connecté et du Big Data. Cela n’enlève rien à la qualité des autres intervenants ! Je vous rassure : Opinions Libres ne devient pas un blog de sociologie du numérique ! Addiction ou attachement ? Fleur Pellerin veut mettre en place une "cité des objets connectés" 01net. le 16/01/14 à 18h20 Fleur Pellerin veut réunir les différents métiers et savoir-faire impliqués dans les objets connectés : de la conception à la fabrication Lors de la présentation de ses voeux à la presse, Fleur Pellerin a déclaré qu'elle allait inciter à la création d'une cité des objets connectés, au cours du deuxième semestre 2014.

Cette évocation recouvre la création d'un espace permanent, dont le lieu reste à déterminer, réunissant tous les savoir-faire impliqués dans la conception des objets connectés. L'idée sous-jacente est de réunir tous les acteurs de la chaîne en y associant la dimension fabrication, dans le but d'essayer de produire en France les objets connectés plutôt que de les faire fabriquer à l'étranger. « Il faut rapprocher les métiers de la plasturgie, de la mécanique avec les informaticiens et les électroniciens qui développent ces produits d'avenir.

Lire aussi : La Ville de Paris aux petits soins pour ses start-up. L'innovation en France est trop technologique. Les dégâts de la guerre des brevets. Le brevet, titre de propriété sur une invention, permet à son titulaire, comme tout droit de propriété, de jouir souverainement de son bien, et plus particulièrement d'interdire tout usage de l'invention sans autorisation (par le biais de licences), à l'instar d'un artiste qui détient le droit de contrôler l'exploitation de l'œuvre qu'il a créée.

Cette autorisation est accordée contre redevances, tant afin de permettre la mise sur le marché de l'invention, au bénéfice du consommateur, que de rémunérer les coûteux efforts de R&D réalisés par ledit titulaire pour aboutir à cette invention. Tel est l'esprit positif qui doit guider le monde des brevets. Mais comme pour tout droit, certaines pratiques jouent avec les limites de la légalité et freinent la mise sur le marché de technologies concurrentes. En période de renégociations commerciales USA-UE, les rapports entre consommateurs et droits de propriété intellectuelle restent dès lors tendus. Des "patent pools" aux "patent trolls"

Pôles de compétitivité : les milliards de l'Etat ont-ils servi à quelque chose ? Lancés en 2005, les pôles de compétitivité, dont l'objectif était de développer des réseaux comprenant des entreprises et des organismes de recherche et de formation, ont-ils accéléré les efforts de recherche des PME et des ETI ? Les résultats d'une étude de l'Insee dévoilée ce jeudi comparant les entreprises des pôles à des entreprises semblables restées hors du dispositif et portant sur la période 2005-2009 laissent plutôt songeur. Pourtant, l'État n'a pas ménagé ses efforts en faveur des 71 pôles, via les subventions publiques et le crédit impôt recherche (CIR).

Entre 2005 et 2009, le financement public de la recherche et développement (R&D) a atteint entre 2,5 et 3 milliards d'euros par an selon l'Insee, auxquels s'ajoutent également chaque année quelques centaines de millions de financements européens. Pas d'effet d'aubaine "Nos résultats montrent que, suite à leur participation aux pôles de compétitivité, ces PME et ces ETI auraient augmenté leurs dépenses de R&D.

Fleur Pellerin : « L’innovation, c’est un projet de société » Pourquoi une « nouvelle donne pour l'innovation » ? Fleur Pellerin : l'innovation est un facteur essentiel de la montée en gamme de notre économie et un antidote au "low-cost". La compétition uniquement par les coûts entraînerait la France dans une spirale infernale qui n'est pas compatible avec notre modèle social. C'est pourquoi il faut nous différencier et donc innover. Or nous ne maximisons pas ce potentiel de l'innovation. Par exemple, le numérique a contribué à 25% de la croissance française contre 37% aux Etats-Unis ces 25 dernières années, ce qui représente un manque à gagner de 0,5 à 0,6 point de PIB par an pendant vingt ans. Le numérique et l'innovation en général ne jouent pas tout leur rôle dans la création de valeur et d'emploi en France.

Nous avons un problème de logiciel dans notre manière d'appréhender l'innovation, qui est souvent perçue comme un accessoire de la Recherche & Développement. L'innovation n'est pas toujours issue d'une recherche scientifique. L'incubateur de Boucicaut cherche des start-ups en phase de décollage. L’incubateur Boucicaut va accueillir des start-up dans les domaines de la e-santé, de la ville de demain et du design, ainsi que dans le cadre de deux programmes « industriels » avec la SNCF et Alcatel One Touch. (crédit : AUA Paul Chemetov) Plus de 90 candidatures ont été reçues par Paris Incubateurs pour le site de Boucicaut qui doit ouvrir en janvier autour de cinq programmes d'incubation.

La plupart concernent des start-ups en phase d'amorçage. L'appel se poursuit, le site visant principalement des entreprises en phase de décollage. Paris Incubateurs recherche toujours des projets pour le site de Boucicaut qui doit ouvrir en janvier prochain dans le 15ème arrondissement. L'appel à candidatures de start-ups, lancé au milieu de l'été, a réuni 94 dossiers à sa clôture fin septembre. Des lots de 25 à 100 m2 Une première sélection sur les dossiers reçus lors du 1er appel à candidatures s'opère néanmoins en ce moment et des réponses seront fournies dans la semaine. Bee-Wall : the Home Information Panel of your daily life. A “Bɘe-Wall” is a connected Home Information Panel (HIP) displaying applications that are easily created by you, by us, by anyone.The first available Bɘe-Wall is the Melipona, a 15" connected touch screen that you can mount onto a wall.One of the goals of this IndieGogo campaign is to fund the development of Trigona, the next generation dedicated device.

While companies like Microsoft and Samsung often claim that they will offer Home Information Panels (HIP) to their customers soon, Bɘe-Walls make it happen right now ! We are already developing dozens of Bɘe-Notes that will be available from the Fundatrix Gallery to upload on your Bɘe-Wall You can also create new Bɘe-Notes fitting your own needs with a few lines of JavaScript, thanks to the Bɘe-Wall SDK (already available).

If the Bɘe-Note that you create is of general interest, you are free to publish it onto the Fundatrix Gallery or on your own site. The Bɘe-OS makes Home Information Panels (HIP) easier to use than any tablet. Privacy. La France se dote du plus gros incubateur de start-ups au monde - BFMTV.com. Rapport_beylat-tambourin.pdf. Innovation : les investissements dans les starts-up bondissent. Selon le baromètre FIBAMY, paru ce vendredi, les investissements dans les PME du numérique ont détoné au premier semestre 2013. 80 % d’investissements en plus chez les Pigeons L’envolée des pigeons. Les derniers chiffres du baromètre FIBAMY indiquent un progrès de 80 % des investissements dans les Petites et Moyennes Entreprises au premier semestre de cette année.

Le montant total atteint près de 15 millions d’euros. En chute de 40 % au dernier trimestre 2012, les investissements, ainsi que le nombre de levées de fonds (+ 108 %), sont remontés en flèche dans le secteur du numérique. La torpeur, engendrée par le projet de loi de finances en 2012, est désormais bien loin. Les chiffres ont rattrapé leur retard et ont même pris de l’avance.

Le combat féroce des Pigeons n’aura pas été qu’illusoire. Pour preuve, « ceux qui investissent dans les PME sont fiers de le faire et d’en parler autour d’eux », constate Jean-David Chamboredon, président du Fonds d’investissement ISAI. Noëmie Beillon. Silver Economy : pourquoi les technologies ont du mal à se développer. Le secteur des technologies à destination des Seniors peine à décoller dans beaucoup de pays et notamment en France. Les raisons sont multiples et sont détaillées dans cette analyse. Nous verrons le timing du lancement de la filière SilverEconomy est le bon pour que la France adopte des initiatives de façon à soutenir ce secteur qui est estimé à 2,7 milliards d'euros en 2010 (25 milliards en 2020) et pourrait concerner l'équivalent de 80.000 à 150.000 emplois en France d'ici à 5 ans. Quand on parle des technologies à destination des Seniors, il ne s'agit pas de la radio, télévision ou autres appareils que toutes les générations utilisent avec habitude mais de technologies répondant à un besoin lié à l'âge ou à une génération, en l'occurrence celle des Seniors.

Les spécialistes parlent de 5 principaux secteurs : téléassistance, télémédecine et santé à la maison, technologies pour faciliter l'emploi, les transports intelligents et la domotique. Manque de politiques publiques. Les grandes entreprises déçues par leurs efforts d’innovation. Le top 100 du numérique made in France pèse plus de 10 Md€ La Bourse des PME enfin lancée. Investissements d'avenir : 150 millions d’euros pour soutenir les technologies du coeur de filière numérique.

FilePreview-1365175160rapport_beylat-tambourin.pdf. Innovation : le gouvernement veut une nouvelle donne. Hollande présentera fin avril ou début mai un "choc de compétitivité" pour les PME. Le plateau de Saclay est prêt à vivre une seconde existence. Les 10 jeunes les plus innovants de France selon le MIT. « Paris Capitale Numérique » : appel à contributions. Simulation médicale. Bug dans la feuille de route numérique.

10 mesures à retenir de la feuille de route sur le numérique. Le gouvernement donne une nouvelle impulsion à la politique des pôles de compétitivité. La troisième phase des pôles de compétitivité. Quelle réforme pour la recherche ? Participez aux journées du patrimoine des Start-up les 14 et 15 septembre 2012 - Inscription sur Cup of teach. Innovation : la France fait partie des chefs de file au niveau mondial. Aides au numérique : le rapport de l'Inspection des finances qui dérange.

Innovation: Mme Pellerin veut cibler les aides sur les secteurs compétitifs. IDéNum, une mauvaise idée ? « Initiative ISCN ? Quand la R&D booste la compétitivité, Sciences. "Investissements d'avenir" et politique industrielle en Europe (Note d'analyse 236 - Sept. 2011. Innovation: les PME traditionnelles laissées pour compte. "Mettre vraiment l'investissement au service de l'avenir"