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Communication

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Communication dans le changement
communication de crise

Communication de crise. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La communication de crise est l'un des domaines de la communication institutionnelle avec la communication interne, la communication externe, les relations publiques, les relations presse, la publicité. Il faut cependant comprendre que la communication de crise est transversale et concerne l'ensemble des domaines de la communication. La communication de crise est également l'une des composantes de la gestion de crise, elle peut se distinguer en deux branches : la communication directement utile à la gestion de crise (alerte des clients ou des populations, consignes, communication de coordination des opérations) qui se destine à réduire les impacts directs de la crise et la communication sur les enjeux, qui se destine à limiter les polémiques et à protéger la réputation d'une organisation en crise[1].

Crise[modifier | modifier le code] Définition[modifier | modifier le code] Caractéristiques[modifier | modifier le code] Méthode historique. Changement: Communication et changement : les principes. Pour une raison inconnue de moi, l’idée s’est répandue que le changement était une question de communication. Et, depuis quelques années, les entreprises se sont mises à investir des sommes impressionnantes en publicité interne. C’est un gâchis. Il s’explique parce qu’elles n’ont pas compris les mécanismes qui transforment les groupes humains. Edgar Schein dit que le mécanisme de résistance au changement le plus efficace est le lien social. Ce qui signifie qu’un groupe humain change en bloc, ou ne change pas. Comme dans le film 12 hommes en colère, il suffit d’une seule personne pour bloquer un changement.

Ensuite, comme le savent tous les publicitaires, le changement se fait par « leaders d’opinion ». Les techniques de conduite du changement consistent donc à repérer et à mobiliser ces personnes clés. Ce mécanisme par hommes clés explique pourquoi les actions de communication traditionnelles ne fonctionnent pas. Compléments : Communication et changement dans les organisations. 1Ce dossier vous convie à explorer la relation entre la communication et le changement au sein des organisations. Si ce thème a été ainsi mis à l’ordre du jour par l’équipe québécoise responsable de ce dossier, c’est qu’il nous est apparu prioritaire dans le champ des communications organisationnelles. En effet, des transformations majeures tant technologiques que culturelles, économiques et politiques remettent aujourd’hui en question la structure et le fonctionnement de bon nombre d’organisations. Confrontées aux défis de la mondialisation des marchés, de l’interculturalisme, de l’informatisation, de la constitution de nouvelles entités politiques et économiques, les organisations doivent s’adapter à ce nouveau contexte dont les règles du jeu sont encore en définition. 2Cette turbulence de l’environnement n’est pas nouvelle.

Elle a déjà été soulignée par Emery et Trist (1965) mais elle semble augmenter (McCann et Selsky, 1984) tant par son intensité que par son ampleur. Communications internes, levier pour faciliter le changement. La communication et le changement. En matière de communication, quatre fonctions différentes et complémentaires doivent être correctement remplies dans une démarche de changement : « Faire savoir » qui consiste à transmettre des informations aussi factuelles que possible ;« Faire comprendre » qui, en faisant preuve de pédagogie, vise à expliquer ce qui n’est pas forcément compréhensible au premier abord ;« Faire s’exprimer » qui offre l’opportunité aux parties prenantes de réagir, de donner leur opinion et de faire part de leur point de vue ;« Faire agir » qui permet aux acteurs d’apporter leur pierre à l’édifice du changement, d’écrire leur petite page de texte.

Les deux premières fonctions relèvent de l’information, la troisième de la communication et la quatrième de l’association (voir mon billet sur la différence entre l’information et la communication). Les deux premières de la logique directive, les deux dernières de la logique participative (voir mon billet sur les logiques de changement). La phase de dégel.

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